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Critique de Bookworm84
La première fois que j'ai lu un texte de Tanith Lee, sa plume m'a ensorcelée. Depuis, l'enchantement s'est renouvelé sans faiblir et ses oeuvres étant trop peu traduites en France, je me suis lancée dans la lecture de ses ouvrages en langue anglaise. C'est ainsi que j'ai pu voir que la bibliographie de Tanith Lee comprenait plusieurs réécritures de contes classiques, le recueil Red as Blood en compilant neuf. Neuf histoires que je croyais connaître et que Tanith Lee fait revivre sous un jour nouveau.
Le sous-titre du recueil peut induire en erreur, si sept des nouvelles présentées sont en effet inspirées de sept contes des frères Grimm, deux sont issues d'autres contes : Beauty revisite La Belle et la Bête de Mme Leprince de Beaumont et Black as Ink un conte russe d'Afanassiev, La Cane blanche. Beauty est mon favori du recueil et le termine donc… et bien en beauté ! Tanith Lee situe l'histoire dans un contexte futuriste, la Bête étant une créature extraterrestre. Magnifique nouvelle où la tolérance, l'apprentissage de l'Autre et l'enrichissement mutuel via leurs différences sont élégamment mis en valeur. Au contraire, Black as Ink m'a peu marquée. Si l'écriture est belle, j'ai été moins charmée qu'avec d'autres textes, sans doute parce que je suis peu familière du conte originel. Mais le contexte russe est très séduisant ! [Lire la suite de la critique sur le site de Fées Divers]
Lien : http://feesdivers.fr/chroniq..
Le sous-titre du recueil peut induire en erreur, si sept des nouvelles présentées sont en effet inspirées de sept contes des frères Grimm, deux sont issues d'autres contes : Beauty revisite La Belle et la Bête de Mme Leprince de Beaumont et Black as Ink un conte russe d'Afanassiev, La Cane blanche. Beauty est mon favori du recueil et le termine donc… et bien en beauté ! Tanith Lee situe l'histoire dans un contexte futuriste, la Bête étant une créature extraterrestre. Magnifique nouvelle où la tolérance, l'apprentissage de l'Autre et l'enrichissement mutuel via leurs différences sont élégamment mis en valeur. Au contraire, Black as Ink m'a peu marquée. Si l'écriture est belle, j'ai été moins charmée qu'avec d'autres textes, sans doute parce que je suis peu familière du conte originel. Mais le contexte russe est très séduisant ! [Lire la suite de la critique sur le site de Fées Divers]
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