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Critique de Bouvy


Belle n'est plus l'employée de Smith. Elle tente de monter sa propre entreprise, une start up spécialisée dans la location de vêtement haute couture. Pour que les ennemis de Smith ne menace pas Belle, celui-ci l'humilie en publique et tente de lui faire croire ainsi qu'à ceux qui lui en veulent, qu'ils ont rompu. Belle doit alors se rendre à New-York pour une interview dans un magazine de mode prestigieux. Elle voyage en grand luxe, arrive dans un somptueux palace pour se rendre compte que c'est Smith Prince qui lui offre le voyage…
Ca fait un moment que j'ai fini ce cinquième opus de cette saga qui a en principe beaucoup d'atouts pour être plaisante. le dernier tome est annoncé pour cette semaine. Pour revenir au cinquième épisode, je dois avouer que c'est celui que j'ai trouvé le plus ennuyeux de toute la saga, y compris les trois opus qui concernaient Clara et Alexander. Trois chapitres d'introductions, le milieu du volume qui se déroule à New-York où les amoureux jouent à je t'aime moi non plus mais comme je mouille et que tu bandes quand on se regarde dans les yeux, on s'aime quand même surtout avec nos corps que l'on a beaux et performants. La romance n'est pas toujours au rendez-vous, entre les orgasmes multiples de nos deux amants qui savoure le plaisir d'être ensemble avant leur retour en Europe où les ennemis de Smith l'attendent au tournant, avec Belle pour cible car ils savent avant tout le monde qu'ils n'ont pas rompu. La surprise s'annonce en fin de ce pénultième tome. On y retrouve aussi, impliqué, Clara et Alexander. Mais, sans savoir, je pense que le terrain qui semble miné pour Smith ne facilitera pas la gaudriole entre nos amoureux. Serait-ce mon plaisir de lecteur qui s'émousse ou la plume de l'auteur qui fatigue ? J'espère juste que l'intensité reprendra force et vigueur pour l'ultime épisode. Ah, je ne vous ai pas dit : pour simplifier les choses, il y a aussi la mère de Belle qui devient un problème...
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