Ses réflexions lui firent envisager, dés la fin de 1939, une défaite de la France non seulement comme très possible, mais même comme probable. Même une invasion de l'Angleterre n'était pas, selon lui, inimaginable. Mais il ne pensait pas que la guerre serait perdue pour autant.
5 questions posées à Bernard Legoux, à l'occasion de la parution de son livre 17 juin 1940, l'armistice était indispensable (L'esprit du livre).