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Critique de __Troubles__
Me voilà déambulant dans les allées du cimetière Nord, le cimetière de Montmartre, un lieu que je n'ai jamais visité, pas encore du moins… ce roman me donne envie de m'y rendre et de venir passer un moment au milieu des âmes de Montmartre.
Le plan mis à disposition dès le début du roman vous permet de vous repérer dans les allées, vous vous sentez tel un visiteur virtuel de cet endroit. J'apprends à connaître Victor, un jeune garçon de 11 ans, décédé d'une maladie et dont l'âme ère maintenant dans ce havre de paix et de repos éternel.
Un concept de roman intéressant, qui vous donne parfois la chaire de poule juste à l'idée que ce soit une notion plausible : « Quand un vivant meurt par maladie il intègre le monde des âmes au sein d'un cimetière » et pourquoi pas après tout ? Si vous avez perdu un être cher ce roman vous donne comme une sorte de lueur d'espoir en pensant que peut-être l'âme de cet être cher déambule elle aussi dans les allées du cimetière et vous voit lorsque vous venez vous recueillir près de sa dernière demeure. Personnellement, cela m'a fait du bien.
Victor vous permet de « rencontrer » les âmes de Montmartre tout au long du roman, ainsi lors de votre lecture vous croiserez peut-être Dalida, Stendhal, La Goulue et bien d'autres. Les descriptions sont très bien faites et l'auteur met un point d'honneur à décrire l'environnement dans lequel ses personnages évoluent ce qui vous donne l'impression vous aussi de vous balader dans l'enceinte du cimetière, ambiance zen : venez, respirez, et libérez votre esprit, laissez-le divaguer un instant.
Certains rebondissements sont pour moi attendus, prévisibles, ainsi je ne suis pas surprise de découvrir la vérité sur la nouvelle amie de Victor, la petite Sophie. L'écriture est fluide, agréable et on le dévore il faut bien le dire. Ce roman m'a amené à faire des recherches sur internet sur le cimetière lui-même et sur ses « résidents », j'aurais peut-être aimé quelques pages centrales avec les photos des monuments, des stèles et autres édifices.
J'ai trouvé le roman d'une jolie tendresse, d'une vraie douceur, cela étant certains passages m'ont dérangé : lorsque Victor explique à Sophie ce que les fantômes sont capables de faire, j'y ai retrouvé énormément de ressemblance avec le film Ghost lorsque le héros Sam découvre ce que les âmes errantes sont capables de faire s'ils se concentrent bien et ce afin d'interagir avec le monde des vivants. Les détails dans le roman sont pour certains identiques à ceux du film, alors simple inspiration de l'auteur, ou copier / coller difficile à dire mais personnellement cela m'a dérangé dans ma lecture. de même lorsqu'ils décident de hanter certains vivants… Si vous n'avez pas vu Ghost alors pas de soucis pour vous.
Des indicateurs de jour et d'heure ponctuent le roman c'est une sorte de guide dans vos journées au cimetière mais prêtez-y attention tout de même car certaines fois l'auteur revient sur des morceaux du passé afin de mieux comprendre certains détails.
La fin du roman ne devrez pas vous laisser indifférent, alors pour terminer cet article je citerais simplement l'auteur « il faut être de retour avant minuit sans quoi il faut lui remettre l'esprit d'un vivant. C'est ça le deal ! »
Le plan mis à disposition dès le début du roman vous permet de vous repérer dans les allées, vous vous sentez tel un visiteur virtuel de cet endroit. J'apprends à connaître Victor, un jeune garçon de 11 ans, décédé d'une maladie et dont l'âme ère maintenant dans ce havre de paix et de repos éternel.
Un concept de roman intéressant, qui vous donne parfois la chaire de poule juste à l'idée que ce soit une notion plausible : « Quand un vivant meurt par maladie il intègre le monde des âmes au sein d'un cimetière » et pourquoi pas après tout ? Si vous avez perdu un être cher ce roman vous donne comme une sorte de lueur d'espoir en pensant que peut-être l'âme de cet être cher déambule elle aussi dans les allées du cimetière et vous voit lorsque vous venez vous recueillir près de sa dernière demeure. Personnellement, cela m'a fait du bien.
Victor vous permet de « rencontrer » les âmes de Montmartre tout au long du roman, ainsi lors de votre lecture vous croiserez peut-être Dalida, Stendhal, La Goulue et bien d'autres. Les descriptions sont très bien faites et l'auteur met un point d'honneur à décrire l'environnement dans lequel ses personnages évoluent ce qui vous donne l'impression vous aussi de vous balader dans l'enceinte du cimetière, ambiance zen : venez, respirez, et libérez votre esprit, laissez-le divaguer un instant.
Certains rebondissements sont pour moi attendus, prévisibles, ainsi je ne suis pas surprise de découvrir la vérité sur la nouvelle amie de Victor, la petite Sophie. L'écriture est fluide, agréable et on le dévore il faut bien le dire. Ce roman m'a amené à faire des recherches sur internet sur le cimetière lui-même et sur ses « résidents », j'aurais peut-être aimé quelques pages centrales avec les photos des monuments, des stèles et autres édifices.
J'ai trouvé le roman d'une jolie tendresse, d'une vraie douceur, cela étant certains passages m'ont dérangé : lorsque Victor explique à Sophie ce que les fantômes sont capables de faire, j'y ai retrouvé énormément de ressemblance avec le film Ghost lorsque le héros Sam découvre ce que les âmes errantes sont capables de faire s'ils se concentrent bien et ce afin d'interagir avec le monde des vivants. Les détails dans le roman sont pour certains identiques à ceux du film, alors simple inspiration de l'auteur, ou copier / coller difficile à dire mais personnellement cela m'a dérangé dans ma lecture. de même lorsqu'ils décident de hanter certains vivants… Si vous n'avez pas vu Ghost alors pas de soucis pour vous.
Des indicateurs de jour et d'heure ponctuent le roman c'est une sorte de guide dans vos journées au cimetière mais prêtez-y attention tout de même car certaines fois l'auteur revient sur des morceaux du passé afin de mieux comprendre certains détails.
La fin du roman ne devrez pas vous laisser indifférent, alors pour terminer cet article je citerais simplement l'auteur « il faut être de retour avant minuit sans quoi il faut lui remettre l'esprit d'un vivant. C'est ça le deal ! »
