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3,04

sur 346 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Rachel a toujours vécu auprès d'une mère omniprésente et un brin fantasque. Son père, par contre, la seule chose qu'elle sait sur lui, c'est qu'il s'appelle James, sa maman n'ayant rien voulu lui dire à son sujet étant donné qu'il les a abandonnées alors qu'elle était encore une petite fille. Mais, à la mort de cette dernière, elle se met en tête de le rechercher. Pour cela, elle fait appel à un détective privé, un certain Brian Delacroix. Un homme qui, au premier contact, refuse de l'aider, étant donné le trop peu d'informations qu'elle détient à son propos. Devenue journaliste et l'épouse de Sebastian, elle semble heureuse. Mais un reportage à Haïti, peu de temps après le tremblement de terre, va l'ébranler et sa vie va, peu à peu, basculer...


Voilà un roman qui, certes, ne manque pas de rythme ni de rebondissements mais qui, au final, laisse une impression en demi-teinte. L'on fait la connaissance de Rachel, une jeune femme en quête de figure paternelle, qui, devenue journaliste, va peu à peu voir son monde s'écrouler. Divisé en trois parties bien distinctes, ce roman noir fait montre d'un scénario implacable tant tout va très vite. Malgré cela, le lecteur reste en marge de cette histoire un brin rocambolesque. Les personnages restent peu crédibles et l'on peine à éprouver le moindre sentiment de sympathie envers eux. L'ambiance, quant à elle, qui se voulait oppressante et haletante retombe comme un soufflé, et la fin, un brin tirée par les cheveux. Une franche déception que ce roman tant l'on a connu Dennis Lehane sous de meilleurs jours.
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Il aura fallu que j'arrive à la page trois cents pour voir ce thriller s'emballer.
Avant ? Beaucoup de blabla et pas grand-chose de prenant, heureusement la plume de l'auteur invite à pousser plus en avant.
Le père de Rachel reste un mystère à ses yeux, sa mère ne souhaite pas lui en parler, si ce n'est qu'il s'appelle James. Aussi après sa mort elle n'a de cesse que de trouver qui est son père, elle ira voir un détective privé pour lancer les recherches. Rachel est journaliste et sera envoyé comme reporter en Haïti pour couvrir un tremblement de terre. Elle en restera traumatisée.
Alors oui les trois quarts du livre sont un tantinet mou du genou, on ne comprend pas bien pourquoi l'auteur tourne et retourne à n'en plus finir. J'ai la nette impression d'avoir été tenue à l'écart tellement les personnages me semblent surfait. La suite prend enfin son envol et l'on rentre dans l'intrigue pur et dur : un vrai nectar.
La fin je vous laisse seul(e) juge n'ayant pas l'intention de la dévoiler … enfin bof … tout ça ne vaut pas tripette.
A se réserver les soirs intenses de boulot ou à la plage au lieu de regarder les filles en maillot.
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Thriller psychologique où on suit les malaises d'une femme qui sera aux prises avec de l'agoraphobie et les personnalités de ses maris.

On suit les difficultés de Rachel : elle a été victime d'une mère troublée, elle cherche son père en vain et comme journaliste, elle a du mal à supporter le malheur lorsqu'elle est envoyée en reportage après le tremblement de terre en Haïti. Une histoire de femme et de troubles mentaux qui m'a un peu rappelé « La fille du train » de Paul Hawkins.

Mais ensuite, comme ça se veut un thriller, on doit bien y trouver un peu d'action, alors tout bascule dans la deuxième partie. On se demande si c'est bien la même histoire. le suspens est bienvenu, mais la mise en scène devient tirée par les cheveux et le dénouement un peu trop incroyable. J'attendais mieux…

Un roman qui a quand même ses qualités, mais vraiment pas le meilleur de Lehane!
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Coïncidence amusante: j'ai reçu d'abord "Ascension" de Vincent Delecroix, et voilà qu'on m'envoie maintenant...."Après la chute"! Des vraies montagnes russes! Merci, au passage, à Babelio et aux éditions Rivages.

Après lecture, je suis assez partagée. Il y a eu pour moi un côté addictif dans ce livre, sans conteste.Je voulais des réponses à mes questions,au malaise ambiant. Dans la première partie, qui commence par un meurtre, celui du mari de Rachel par elle-même, sans qu'on en sache la raison ,on remonte ensuite le temps pour découvrir la vie de Rachel avant sa chute, professionnelle ( elle est journaliste) et sentimentale( elle divorce de son premier mari, non ,pas celui qu'elle a tué, vous suivez?)

J'ai eu l'impression d'être à mi-chemin d'un roman de Joyce Carol Oates, pour les tourments intérieurs et la folie sous-jacente de l'héroïne, Rachel, et de certains livres de Douglas Kennedy ,pour l'aspect descente aux enfers.

C'est vraiment dans la dernière partie du livre que les choses s'accélèrent et que l'on a les classiques éléments policiers:poursuite, coups de feu,fuite.. Pour faire court et ne rien révéler, les apparences sont trompeuses, on ne connaît jamais vraiment ceux qu'on considère comme ses proches...

Le rythme lent de la première partie puis l'accélération finale m'ont gênée. Et surtout, que d'invraisemblances! Les comportements des personnages sont aussi fort peu crédibles.D'autre part, les dialogues sont plats.

Bref, une lecture mi-figue, mi-raisin, haletante, oui, mais un peu décevante. Bon, je sens que je vais relire le beau poème de Baudelaire, "Élévation" pour rester dans le thème ...

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Premiere fois que je lis Dennis Lehane même si je connais l'adaptation cinématographique de shutter Island que j'avais adoré bien evidemment. Je suis mitigée j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire.
Il ma fallu arriver à la moitié du livre pour commencer à etre "happée".
L'héroïne nous fait part de ses ressentis concernant ses crises d'angoisse, elle est en pleine dépression et développe une agoraphobie vertigineuse qui l'empêche de sortir de chez elle.
Finalement, Rachel se rend compte de la vie que mène son deuxième mari et je la trouve bien courageuse.
Ici tout n'est pas bien qui finit bien....
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Bon… Cela ne me ressemble pas : j'ai terminé « Après la chute » il y a déjà plusieurs jours et je ne sais pas vraiment estimer ma lecture… Si je devais le résumer qu'à un mot, ce serait « Mouais… », cependant cela ne vous avancera pas… J'ai été très partagée par cet ouvrage où je n'ai pas retrouvé l'idée de « thriller diabolique » dont parle la quatrième de couverture. En effet, si les premières pages annoncent du bon en décrivant le meurtre de Brian, le mari de Rachel qui est assassiné par cette dernière, l'auteur décide finalement de remonter dans le temps par un système de flash-back chronologiques. Cela nous permet ainsi de découvrir Rachel, l'héroïne, qui va nous montrer les blessures de son passé et nous présenter plusieurs facettes de sa personnalité, à commencer par ses nombreuses angoisses ou son agoraphobie. le problème, c'est que Dennis Lehane va s'attarder sur les recherches de Rachel concernant son père : ne l'ayant jamais connu à cause de sa mère, elle enquête par tous les moyens… Cela va lui permettre de faire de nombreuses rencontres, d'analyser son passé et d'ouvrir les yeux sur sa génitrice qui s'avère être une femme adepte du mensonge et de la manipulation. Cette piste aurait pu être intéressante, toutefois cela n'a pas apporté grand chose à l'histoire principale, si ce n'est le développement du passé de Rachel ou encore la façon dont elle a rencontré Brian… À mes yeux, le début est très long et aurait mérité d'être un peu raccourci afin de rentrer plus rapidement dans l'intrigue. Non pas que ce soit inintéressant, mais j'attendais ce fameux thriller ! J'espérais atteindre rapidement le moment où je serais mise en haleine… Hélas, la suite mettant en scène le couple Brian/Rachel a mis longtemps avant de trouver une ambiance pleine de suspense. de ce fait, il a fallu attendre plus de la moitié du roman pour que tout bascule.

Une fois la première moitié passée, le rythme et le contexte ont effectivement su me captiver ! J'ai été vraiment ravie par les découvertes de la jeune femme, par ce qu'elle va vivre et par le mystère qu'elle va peiner à éclaircir… J'ai beaucoup aimé la tension grandissant au fil des pages. L'auteur a d'ailleurs su me surprendre avec un retournement de situation que je n'avais pas vu venir. On se rend compte que la toile avait été posée dès le départ : Dennis Lehane avait simplement noyé le poisson en s'attardant sur des scènes annexes et en faisant divers détours. de plus, on va effectivement assister à une suite d'événements déstabilisants : meurtres, tueurs à gages, magouilles liées à l'argent, mensonges, courses-poursuites, etc. J'étais réellement curieuse de voir où tout cela allait aboutir. Hélas, le dernier tiers va un peu trop vite et la fin n'a pas répondu à mes attentes… Je suis donc partagée par l'ensemble de l'ouvrage qui n'a cessé d'apporter des éléments plaisants et d'autres moins… Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages principaux, que ce soit Rachel, Brian ou encore Caleb, un collègue. Certes, chacun joue un rôle clef dans l'intrigue néanmoins, j'ai été assez insensible à leur sort…

Une lecture en dents de scie et un avis nuancé, c'est malheureusement ce qu'il me reste une fois la dernière page tournée… Mais je tiens tout de même à féliciter la maison d'édition pour la couverture qui m'a tapé dans l'oeil : elle est assez intrigante et le travail avec le filtre brillant du verre brisé me plaît beaucoup… Dommage que le contenu me laisse autant partagée. Je remercie Babelio et les éditions Payot et Rivages pour l'envoi de ce livre !

Lien : https://lespagesquitournent...
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Rachel, journaliste efficace et engagée, voit sa vie partir à vau-l'eau après un pétage de plomb en direct sur une chaine de grande écoute. Perte de confiance, crises d'anxiété qui vont peu à peu se calmer après son mariage avec Brian qui l'épaule et la soutient.
A vrai dire, ce roman est déstabilisant par rapport aux autres romans de Lehanne : pas désagréable, quoi qu'avec certains passages longuets, il m'a rappelé par instant Homeland, tant on se demande si l'héroïne, dont le roman suit le point de vue, souffre de paranoïa ou pas. J'ai trouvé cette partie en eaux troubles plutôt plaisante, après un début où l'on voit Rachel se débattre dans la recherche de son paternel. La fin du roman, plus grand-guignolesque qu'autre chose, ne m'a pas totalement convaincue ; ce livre m'a donné envie d'aller retrouver Kenzie et Gennaro dont j'ai un souvenir autrement plus impactant.
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Après la chute de Dennis Lehane
Rachel CHILDS n'a jamais connu son père, sa mère avait plusieurs fois promis de lui révéler qui elle était mais elle était morte subitement avant de le faire. Elizabeth avait connu son moment de gloire en publiant « L'escalier » un essai sur les clés pour un mariage réussi, puis deux suites moins bien reçues. Rachel à la mort de sa mère eut beau fouiller dans ses archives, se faire aider par un détective, aucune information précise ne put l'aider à retrouver la trace de son père. Il s'appelait James, était dans l'enseignement, rien de plus. Par le gynécologue d'à sa mère elle obtient un nom, Jeremy James et à partir de là elle le retrouve facilement. Mais, surprise l'histoire qu'il raconte est très différente de celle d'Elizabeth, Rachel était née deux mois trop tôt, Elizabeth n'a jamais voulu l'admettre mais Rachel ne pouvait être sa fille, des analyses sanguines le confirmèrent et il quitta Elizabeth! Elle le raya de son monde, Rachel avait deux ans. En regardant de vieilles photos du temps où Elizabeth était à John Hopkins, Jeremy pense que peut-être son père est l'un d'eux. Rachel est désormais une journaliste connue à Channel 6 et à l'occasion d'un cocktail elle croise le détective qu'elle avait utilisé à la mort de sa mère, Brian Delacroix. Elle se marie avec Sébastian, un des producteurs de Channel 6 et c'est Jeremy qui la conduit à l'autel. Rachel continue sa brillante carrière pendant que Jeremy tombe très malade et elle est envoyée en Haïti pour couvrir un tremblement de terre. Sur place elle perd pied boit trop et est remplacée par une autre journaliste. Elle enchaîne les reportages quand l'ouragan Thomas frappe Haïti, la chaîne la renvoie sur place, c'est sa dernière chance mais submergée par la misère et la vision d'apocalypse qui s'impose à elle, elle craque en direct. A son retour Sebastian met des distances ainsi que ses amis, elle se retrouve isolée, seul Brian Delacroix par mail l'encourage. Elle recommence à chercher son père aidée par les photos de Jeremy et à Baltimore croit l'avoir trouvé mais il est décédé en 2004 et avait connu beaucoup de femmes. Divorce à l'amiable et retrouvailles avec Brian le même jour, hasard? Rachel est terrorisée qu'on la reconnaisse après avoir présenté le journal télévisé pendant trois ans. Crises de panique régulières, mariage avec Brian qui voyage beaucoup puis un jour où il était supposé être à Londres elle croit l'apercevoir à Boston, réalisant qu'elle ne savait quasiment rien de lui…
Une vraie déception que ce roman qui ne démarre à aucun moment, impossible d'accrocher à l'histoire de Rachel.
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T'as lu « Mystic River » ou Shutter Island » ?
C'est lui qui les a écrits. du roman noir. Grave excellent. Relis-les si t'as un moment, une nuit d'insomnie. Relis-les.
« Après la chute », c'est le dernier roman de Dennis Lehane. Quand ce mec sort un bouquin, je me pose pas de question, je vais voir ma libraire et je sors mon billet de 20. C'est ce que j'ai fait. C'est un mec qui écrit mieux que la plupart de ceux qui commettent des romans. Ses intrigues sont velues (je sais pas si ça se dit, ça veut dire grave bien), et ses personnages sont toujours parfaits. Toujours.
Je croyais.
C'est drôle, parce qu'hier, je crois que j'ai dit que je tirais pas sur les ambulances, sauf s'ils vendaient des millions d'exemplaires.
« Shutter Island », c'est juste une merveille d'histoire, et « Mystic River », c'est un putain de roman aussi.
Mais là, il faut que je te cause de « Après la chute ».
Si tu t'attends à la même qualité d'écriture que dans ceux dont je viens de te parler, t'as tout faux. On est loin du compte. À croire que Monsieur Lehane a des impôts à payer et qu'il a vite écrit ce roman et vendu les droits au cinéma pour ce faire, parce que merde, faut quand même pas déconner. Alors me fais pas dire ce que j'ai pas encore dit.
C'est un roman. C'est une histoire. Et à ce titre, il a passé du temps à aligner ses 446 pages. Faut les taper sur le clavier (je suis sûr qu'il écrit pas au stylo, c'est pas Victor Hugo, non plus) et faut les faire relire, et puis appeler son éditeur pour lui dire que c'est fini, attendre que son éditeur se pointe, déposer le chèque à la banque, c'est du boulot, je te dis.
Tu me sens amer ?
Je suis amer. Pas énervé, mais amer, c'est sûr. Quand un type de cette pointure commence à faire du commercial, ça sent le sapin. Dans le sens où c'est sans doute la dernière fois que je sors un billet pour lui. Tant pis pour moi. Je vais sûrement passer à côté des romans cultes du milieu du 21e siècle, mais tant pis.
L'histoire, c'est celle de Rachel. Elle cherche son daron. Genre elle l'a pas connu, mais elle le cherche quand même pour pouvoir, sans doute, s'attacher à la terre de ses ancêtres. Je crois que c'est le but. Elle est triste Rachel. Pourtant, elle a un bon job, elle gagne de la thune, elle fait ce qu'elle aime, et elle croise Brian. Alors Brian, c'est le mec idéal. Intelligent, beau gosse, riche, bien élevé, poli avec les dames, tout ça tout ça.
Tu t'es cru dans la collection Harlequin ? Moi aussi.
Mais le suspense s'installe. Rachel se pète la gueule, en direct à la télévision pendant un reportage sur une catastrophe en Haïti, et elle se fait virer, juste après avoir divorcé, ou l'inverse, je sais plus.
On s'en fout.
C'est chaud.
Mais heureusement, Brian, qu'elle avait perdu de vue, revient. Harlequin je t'ai dit.
Après quelques pages, je me suis surpris à espérer que Lehane allait commencer à me faire de l'effet, comme dans les deux autres romans que j'ai dévorés (faudra d'ailleurs que je te fasse la chronique un de ces jours). Que nenni, comme disait un ami à moi.
Un amalgame de clichés, de twists faciles et sans intérêt, en un mot comme en cinq, je me suis fait chier.
Grave.
Je l'ai fini, parce que quand même, 22 balles, faut pas déconner, à 5 cents la page, je lis, et malgré tout, c'est du Lehane, et qu'il écrit mieux que la plupart de ceux qui font des romans, mais un putain de regret qui m'est tombé dessus quand j'ai tourné la dernière page.
C'est long.
Des passages sans intérêt, sur la vie de Rachel et ses recherches sur son père dont je n'ai strictement rien à péter, et qui apportent que dalle à l'histoire.
Du remplissage pour le film en devenir.
Sur la couverture, au dos du bouquin, y a écrit « Lehane demeure l'un des grands maîtres du thriller diabolique, il semble entretenir une relation intime avec les ténèbres. »
Ouais.
Ben j'ai pas vu ça dans ce bouquin. Mais alors pas du tout.
Voilà.
Comment dire…
Relis « Shutter Island ».
Lien : http://leslivresdelie.org
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Je me réjouis toujours de découvrir un nouvel auteur, et d'autant plus quand ce dernier a déjà écrit des romans qui font la quasi unanimité comme le tres connu Shutter Island ( que ca soit par le livre ou le cinéma, difficile de ne pas en avoir entendu parler). Je remercie donc sincèrement Babelio et les éditions RIVAGES pour ça.
D'ailleurs, ce fameux Shutter Island traine depuis quelques temps dans nos bibliothèques mais ayant encore en tête le film, je ne voulais pas faire l'amalgame et je me le réservais pour plus tard. L'occasion qui m'était offert de découvrir Denis Lehane avec son dernier titre me réjouissait donc à plus d'un titre.
Malheureusement, la mayonnaise n'a pas pris avec moi comme je l'espérais, certains passages m'ont paru longs et pour d'autres, au contraire, j'ai eu la désagréable sensation qu'ils avaient été négligés par l'auteur, ou tout du moins passés trop rapidement et je n'ai pas su ou pas pu m'imprégner complètement de l'univers de l'auteur. le passage notamment où Rachel bascule dans l'enfermement aurait pu être à mes yeux davantage développé afin de pouvoir se mettre un peu plus à sa place (pour les plus vieux comme moi, lors de ce passage, j'ai beaucoup pensé au film Copycat avec Sigourney Weaver) et pouvoir mieux comprendre les difficultés traversé par ce personnage par la suite.
J'avoue que je n'ai pas trouvé que l'histoire etait à tomber par terre non plus et je n'ai pas sauté au plafond lorsque j'ai découvert l'issue du scenario. Quant à la plume de l'auteur, je ne sais pas si c'est propre à ce roman, mais je ne l'ai pas trouvé aussi extraordinaire que ce que j'avais pu entendre. Alors, ça vient peut être de moi, et je n'ai pas su y être sensible, mais elle n'a rien d'exceptionnelle pour moi. Je verrai bien ce que ça donne avec Shutter quand je le lirais...
Mais peut être en attendais-je trop avec ce qu'on m'en avait dit.... Les goûts et les couleurs...😉
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