Carmen Cru, la vieille acariâtre, continue son bonhomme de chemin dans ce tome 8...
En ce qui me concerne, je suis passé des tomes 1-2-3 au 8, mais visiblement, je n'ai rien loupé. Et c'est bien là le problème.
Même si Lelong se moque gentiment, on sent qu'au bout de 8 tomes, on tourne toujours autour des mêmes sujets, et une fois l'effet de surprise passé, il est plus difficile d'accrocher.
Cet album sorti en 2008, compilation des pages retrouvées chez Lelong après sa mort, n'a pas le côté festival et hommage qu'on pourrait imaginer, sachant qu'il est posthume. On a plutôt l'impression d'assister à un fond de tiroir. Pas mauvais, mais pas folichon non plus.
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