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Carmen, un prénom, une invitation au voyage . L'on se prend à rêver aux belles Andalouses à la peau ambrée dansant gracieusement un flamenco endiablé . Puis vient l'heure du réveil, brutal le réveil . Oublier les peaux brunies par le soleil, place à peau de vache qui fait, elle, danser la gigue plus souvent qu'à son tour . Aigrie, grincheuse, retorse, bref, en un mot comme en cent, chiante comme il est pas permis . Un troisième volet toujours aussi caustique . La vieille est égale à elle-même, insupportable . Des historiettes jubilatoires qui réservent ici une place prépondérante à un cureton comme il doit en exister bien peu, tout se perd...Fumeur, légèrement alcoolo sur les bords et jurant comme un charretier, une caricature du sacerdoce qui vaut largement son pesant d'osties, accompagné d'une bonne et généreuse rasade de vin de messe sinon ça colle au palais ! Carmen Cru se fout totalement des conventions et c'est toujours aussi bon ! |