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Yoko Tsuno tome 26 sur 30
EAN : 9782800148625
48 pages
Dupuis (16/11/2012)
3.38/5   88 notes
Résumé :
De retour en Écosse, Yoko et Emilia reçoivent une étrange visite. Un notaire vient leur annoncer que l'arrière-grand-tante d'Emilia lui a légué son cottage... pour la remercier de lui avoir sauvé la vie en 1935 ! Intriguées, les deux amies se rendent sur place pour y trouver le fiancé de l'arrière-grand-tante qui leur explique son histoire. En 1934, il a inventé une machine à remonter le temps et l'a utilisée pour voyager dans le futur afin d'y trouver un médicament... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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NON, NON ET RE-NON ! Qu'est-ce que c'est que ce bordel qui complique inutilement les choses pour transformer une excellente entrée en matière à la "Retour vers le futur III" en méli-mélo rocambolesque se terminant en eau de boudin ??? Les incohérences de ce tome 26 intitulé "Le Maléfice de l'améthyste" et publié en 2012 sont encore peut-être encore pires que dans le tome 20 qui faisait fort dans ce domaine hein...
On commence par 6 pages consacrées à vol d'essai réalisé par Yoko et Amélia pour la Comtesse Olga... Déjà qu'on raconte je ne sais pas combien de trucs en 48 pages, tout cela était-il nécessaire à part permettre à l'auteur de s'éclater avec les engins volants qu'il aime tant ?
On passe ensuite dans une phase série télé anglaise SFFF, puisque qu'Amélia entre par héritage en possession d'un cottage près d'Édimbourg, qui s'avère avoir été le lieu de morts mystérieuses, être sous la surveillance de la police, et être également le lieu de stockage d'une machine à voyager dans le temps...

On passe ensuite à une phase mélangeant Agatha Christie et "Retour vers le futur", avec Amélia toujours en deuil de sa mère russe qui découvre tous ses aïeux écossais et écossaises, et le racisme de ces derniers car en se faisant passer pour la nièce d'Archibald elle découvre une métisse anglo-kenyane qui tient déjà ce rôle ! (sans parler de Yoko la japonaise qui se fait traiter de chinoise et de jaune sans broncher : on est loin des premiers tomes de la série !)
On passe ensuite à une phase Maurice Leblanc et "Retour vers le futur" pleine de rebondissements, qui permet néanmoins à l'auteur de s'éclater en dessinant divers engins volants vintage...

Et on passe ensuite à un quatrième acte inutilement compliqué et qui vient tout gâcher !

Comment un auteur qui maîtrisait complètement les vibes dans les années 1970/1980 a-t-il pu devenir un auteur complètement dépassé par son œuvre dans les années 2000 ???
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Yoko Tsuno est une série que je suis depuis très longtemps et dont il ne me manque qu'un seul tome. J'aime beaucoup relire certains d'entre eux qui sont parmi mes préférés comme « L'Orgue du diable », « La forge de Vulcain », « La frontière de la vie » ou encore « le feu de Wotan », « L'astrologue de Bruges » et « La jonque céleste ».

J'apprécie tout particulièrement ses voyages dans le temps en compagnie de Monia et ses amis (Vic et Pol entre autre, puisqu'elle se fait toujours de nouveaux amis à la suite de ses aventures ^^) ainsi que sa vision du monde qui l'entoure (terrestre comme vinéen) et ses connaissances dans différents domaines.

Parlons maintenant de celui-ci, le tout dernier réalisé par Roger Leloup, le créateur de l'électronicienne japonaise, pilote d'avions en tous genres et amatrice de différents arts martiaux, Yoko Tsuno.

La couverture a légèrement changé par rapport aux tomes précédents au niveau du format du titre mais cela m'a néanmoins gêné car j'étais habituée à ce style qui allait très bien à cette série.

Nous retrouvons Yoko en compagnie de sa nouvelle amie Émilia, depuis « le Septième Code », qui la suit un peu partout car Yoko est devenue sa tutrice à la demande du paternel d'Émilia.

Dès leur arrivée à leur nouvelle résidence en Écosse, un cottage aimablement offert par Cécilia, elles reçoivent la visite d'un notaire qui leur transmet des lettres datant de 1934. Connaissant notre amie, je me dit « Chouette, on va revoir Monia » et c'est également ce que pense Yoko.

« Malheureusement » pour elle, quelqu'un d'autre a créé une machine à voyager dans le temps et l'envoie avec Émilia, un peu contre leur gré, dans le passé afin de sauver sa bien-aimée de la tuberculose. Elles se retrouvent donc propulser en 1934 sans trop de mal mais sans aucune préparation comme à chaque voyage dans le temps qu'ont fait Monia et Yoko. Celle-ci s'est néanmoins à quoi s'attendre contrairement à Émilia qui est complètement déboussolée, surtout qu'elle va y rencontrer certains membres écossais de sa famille. Après sa rencontre avec Khany et les vinéens, la voici maintenant dans le passé ^^ Yoko a vraiment des amis hors norme ^^

Comme toujours, Yoko arrive à se dépêtrer de la situation ainsi qu'à sauver ses amis et à punir les « méchants ». L'amitié et la famille sont très importants pour elle et elle fait toujours l'impossible pour les protéger. Elle met tout le temps ses différentes connaissances (avions, armes, combats, science...) au service des autres et comme elle est très curieuse, elle s'intéresse à tout ce qui l'entoure.

J'ai néanmoins repéré quelques incohérences dans le récit, entre autre par rapport à Yoko. Émilia la présente comme chinoise alors qu'elle est japonaise. D'habitude, Yoko est plus intransigeante sur sa nationalité.

Sinon, niveau histoire, rien ne m'a particulièrement gêné car j'ai retrouvé ce que j'aime chez cet auteur : de l'action, de l'aventure et de nouveaux amis. Yoko nous amène toujours dans de nouveaux coins et nous fait découvrir de nouveaux horizons. Cette fois-ci, il s'agit de la lithothérapie entre autre :-) En plus, à aucun moment, je ne me suis doutée de la tournure qu'aller prendre la fin à part en ce qui concerne l'améthyste :-)

Encore un très bon tome que celui-ci :-) Je regrette seulement le dessin au fusain dont Roger Leloup agrémentait chaque volume depuis « L'astrologue de Bruges ». J'espère néanmoins que celui-ci continuera à nous donner envie de voyager grâce aux aventures de notre chère Yoko :-)

Par contre, si vous ne connaissez pas cette série, je vous conseille très fortement de la commencer depuis le début. Certes, chaque tome a sa propre histoire mais vers la fin, Yoko cite certaines personnes qui ne sont pas visibles dans tous les tomes. Il faut donc connaître toute l'histoire de Yoko pour s'y retrouver, comme par exemple le fameux « on » de la fin de ce tome qui n'apparaît que dans 2 tomes ^^

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Les aventures de Yoko Tsuno ont bercé mon enfance et continuent de m'enchanter. Il faut dire que les héroïnes fortes, indépendantes et intelligentes ne sont pas légion dans le monde de la bande dessinée, et encore moins lorsqu'elles ajoutent à ces qualités des valeurs humaines et un tempérament oriental (Yoko est japonaise et a notamment été élevée dans la sagesse zen).
Aussi ai-je lu cette nouvelle aventure en recherchant ce même plaisir que je ressens toujours en relisant les précédentes aventures de mon héroïne préférée.
Hélas, déjà depuis le numéro 24 je suis déçue. Je ne supporte pas le personnage d'Emilia, introduit dans le tome 24, et qui apparaît désormais dans chaque album. Ce tome 26 enfonce davantage le clou en s'éloignant totalement des valeurs prônées dans les précédentes aventures. Alors que, précédemment - notamment dans La Forge de Vulcain - Yoko faisait tout pour éviter la mort d'autres personnes, même des méchants, et versait des larmes si ces derniers connaissaient cependant une fin atroce, dans le maléfice de l'améthyste, 2 morts horribles sont l'une suggérée (un homme passe à travers une hélice), l'autre carrément montrée (un homme grillé vif), les 2 sous les yeux d'Emilia, personnage âgé de 14/15 ans qui ne s'en émouvra pas plus que ça !
Que vient faire cette violence dans un album de Yoko Tsuno ? Comment une jeune fille peut être témoin de cela sans ressentir un quelconque traumatisme, même en ayant un caractère fort, elle devait ressentir quelque chose ?
Enfin, où est passée l'âme qui parcourait toute la série ?
Non vraiment, même mon âge qui pouvait expliquer mon aversion pour Emilia ne peut excuser pareil revirement dans le traitement des aventures de Yoko. Cette violence crue n'apparaissait pas et elle est en totale contradiction avec la vingtaine d'autres aventures de Yoko.
Je ne regrette pas de n'avoir pas acheté cet album et je continuerai à relire les aventures précédentes de Yoko, en espérant que les prochains numéros ne verseront pas à nouveau dans cette violence gratuite et ces attitudes non crédibles des personnages.
M. Leloup, je vous en conjure, redonnez-nous la Yoko humaniste que vous nous aviez si bien fait connaître !
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Une histoire un peu étrange où se mêle : science fiction et maléfice.

Yoko et Emilia (une des protégées de Yoko) partent pour l'Ecosse où se trouve le reste de l'équipe. Arrivée, après un vol sans histoire, Emilia a la surprise d'entendre qu'un notaire souhaite la rencontrer. Ce dernier lui apprend qu'il a une lettre de son arrière grand tante écrite en 1935. Cette grand tante la remercie de lui avoir sauvé la vie et lui lègue un cottage non loin d'Edimbourg.
Là, les questions fusent : comment cette personne (après 3 générations) a pu connaître Emilia, ainsi que Yoko ?

L'histoire tourne autour de cette étrange lettre qui permettra à Emilia de découvrir le voyage dans le temps et de connaître une partie de son histoire familiale.

Roger Leloup est partie sur un scénario de drame familiale. L'histoire est intéressante et parfois doté de clins d'oeil d'albums antérieurs (Loch Castle, l'handley-page HP42 Horatius et la machine à remonter le temps). La malédiction apportée par un collier et la référence sur la fausse Anastasia (Princesse Romanov de Russie) apportent un plus au scénario. On pourrait croire que Leloup n'a pas été trop inspiré sur ce dernier album... mais il y a du suspense, de l'action et des sentiments.
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A l'origine, Yoko Tsuno était électronicienne et la série naviguait dans un mélange de SF soft avec quelques avancées technologiques, pas mal de science, des explications simples de choses moins simples. Pas de simplisme. Et une bonne dose d'aventure bon enfant.

Tout restait assez cohérent, en tout cas.

On a ensuite basculé dans la SF plus affichée, assumée, et même si je trouvais cela peu convaincant, je peux admettre que certains tomes ne manquaient pas d'intérêt. Cela permettait de traiter des questions liées à la différence, à la tyrannie ou aux âmes défuntes.

Le mode opératoire était bien rôdé (un épisode fantastique et un épiode SF en alternance) jusqu'à ce que Leloup découvre la martingale... le voyage dans le temps. Faisant fi de tous les principes élémentaires, et de toute cohérence, il a lentement glissé vers le n'importe quoi. Ici, il touche le fond, et à mon avis, il va continuer à creuser...

On se retrouve ici dans le voyage dans le temps absurde, fait de remplissage et de trucs incohérents. Yoko fait équipe avec une gamine de 14 ans, ce qui semble tout à fait normal. Aussi normal que d'adopter une gosse sur un claquement de doigt ou de ramener une servante du XVè siècle pour le plaisir sexuel de Pol... le pire est atteint avec les pseudos explications scientifiques sans queue ni tête, avec ce bidule lié aux Romanov et à cette améthyste radio-active. Non, que dis-je ! le pire, ce sont les descriptions qui accompagnent les bulles. Leloup est depuis longtemps le roi de la redondance... On voit un avion qui décolle et la légende nous dit "Et le Havilland décolle...". Et ainsi de suite. Leloup pense visiblement qu'un dessin bien fait ne se suffit pas à lui-même. Ce n'est pas neuf, mais là, il se surpasse. L'âge d'or de la BD franco-belge est passé depuis de nombreuses années. Ne pas se renouveler est symptomatique de séries et d'auteurs dépassés, il faut bien se l'avouer. Si encore il y avait du suspense... mais non, pas la moindre miette.

Ajoutons les dessins de piètre qualité en ce qui concerne les silhouettes, les visages et les mouvements. Si les avions sont OK, les bâtiments aussi (bien que moins présents), les personnages sont bâclés assez souvent. J'ignore qui sont les petites mains qui oeuvrent dans les studios Leloup, mais de nombreuses cases montrent des insuffisances coupables dans une telle BD.

Courage, encore 2 tomes disponibles dans ma bibliothèque communale...
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critiques presse (2)
BDGest
11 décembre 2012
À près de quatre-vingts ans, Roger Leloup gratifie les passionnés de la première heure - et les autres - d’une nouvelle histoire qu'ils souhaiteront ne pas être pas la dernière.
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
05 novembre 2012
Un excellent album qui confirme le dynamisme de cette série. Vivement la suite, Leloup semble infatigable !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (2) Ajouter une citation
- Une lettre que votre arrière-grand-tante vous a écrite en 1935 !...
- EN 1935 ?!
- Elle me remercie de ... lui avoir sauvé la vie ! Et elle m'offre son cottage en héritage à ma majorité !
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Prenez garde ! votre humour jaune m'indispose !
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