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Critique de bdelhausse
Le trio d'amis est embarqué vers saturne d'abord, puis vers Vinéa. Voyage ultrarapide vers la planète-soeur de la terre grâce à la technologie des Vinéens qui permet de voyager à travers les trous noirs (l'absence de mumière permettant de ne pas subir les effets d'une vitesse supérieure à celle de la lumière).
De nouveau, Roger Leloup navigue sur les dernières théories (de l'époque) sur l'espace et les voyages stellaires. Il s'étale (c'est sa marque de fabrique) sur les pourquoi des comment du quoi et du "où cours-je", "dans quel état j'erre"... Chez Leloup une case ne se suffit quasiment jamais à elle-même. Personnellement, je n'apprécie pas trop, mais c'est son cachet. Blake et Mortimer se sont construits de la même manière.
Arrivés sur Vinéa, ils se rendent compte que la planète est toujours là et que la vie s'y trouve toujours. Leloup déorule alors un récit très convaincant sur les machines, l'intelligence assisté par ordinateur, le sens de la vie et le besoin des hommes de croire en une entité supérieure. Cela m'a fait penser à l'Age de Crystal (Logan's Run) par moments, film sorti en 1976 justement (la même année que la BD). La série venant ensuite. Ou à pas mal de romans sur le même thème.
C'est souvent bien vu. Preuve que Leloup peut gérer la technologie et les rapports humains et adopter une perspective large. On sent en effet que ce tome est le prélude à davantage d'aventures. Même si les Vinéens ne m'intéressent pas trop, on a une BD arrivée à son rythme de croisière avec un auteur qui a su trouver son créneau et bien positionner sa BD.
De nouveau, Roger Leloup navigue sur les dernières théories (de l'époque) sur l'espace et les voyages stellaires. Il s'étale (c'est sa marque de fabrique) sur les pourquoi des comment du quoi et du "où cours-je", "dans quel état j'erre"... Chez Leloup une case ne se suffit quasiment jamais à elle-même. Personnellement, je n'apprécie pas trop, mais c'est son cachet. Blake et Mortimer se sont construits de la même manière.
Arrivés sur Vinéa, ils se rendent compte que la planète est toujours là et que la vie s'y trouve toujours. Leloup déorule alors un récit très convaincant sur les machines, l'intelligence assisté par ordinateur, le sens de la vie et le besoin des hommes de croire en une entité supérieure. Cela m'a fait penser à l'Age de Crystal (Logan's Run) par moments, film sorti en 1976 justement (la même année que la BD). La série venant ensuite. Ou à pas mal de romans sur le même thème.
C'est souvent bien vu. Preuve que Leloup peut gérer la technologie et les rapports humains et adopter une perspective large. On sent en effet que ce tome est le prélude à davantage d'aventures. Même si les Vinéens ne m'intéressent pas trop, on a une BD arrivée à son rythme de croisière avec un auteur qui a su trouver son créneau et bien positionner sa BD.
