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3,44

sur 129 notes
À mon goût, pas le meilleur Brunetti mais comme nous sommes à Venise, on aime bien s'y promener. Dans ce "Brunetti en trois actes", il m'a manqué les repas de famille chez le commissaire, les digressions de celui-ci , ses réflexions de lecture, les discussions avec Paola...On a moins de tout ça dans cet opus. Les relations avec son équipe et sa hiérarchie, par contre ,sont encore bien présentes et toujours aussi amusantes. Pourquoi en "trois actes ? Parce que nous sommes à l'opéra et que la cantatrice, Flavia, une vieille amie de Brunetti est victime d'un "stalker", un fan traqueur, harceleur et que le tout ne se résoudra qu'au 3e acte de Tosca. C'est convenu, c'est Donna Leon, c'est Brunetti et c'est surtout Venise. Merci à #NetGalley pour cette lecture.
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Écrit par Donna Leon, ce vingt-quatrième volume de la série qui narre les aventures du commissaire Guido Brunetti, nous entraine à La Fenice de Venise pour un suspense qui en fait un des épisodes des plus réussis de la collection.
Dans « Brunetti en trois actes » la soprano Flavia Petrelli est de retour à Venise pour interpréter le rôle principal dans Tosca de Puccini. Ami de la famille Brunetti c'est tout naturellement qu'elle se tourne vers lui pour démasquer un fan qui l'harcèle en lui envoyant des roses partout ou elle passe.
Comme dans « Tosca », la tragédie se joue en trois actes.

Premier acte : l'angoisse. Flavia est ovationnée lors de la première de Tosca à l'opéra de Venise La Fenice. Comme déjà à Londres puis à Saint-Pétersbourg des centaines de roses jaunes lui sont jetées sur scène. Sa loge est envahie de roses et elle trouve un énorme bouquet sur le pas de la porte de son appartement. Apeurée, la cantatrice demande de l'aide à son ami Guido Brunetti.

Deuxième acte : l'enquête. Brunetti et son équipe commencent leur investigation sur les fans et les harceleurs. L'action va crescendo, une jeune chanteuse est attaquée. le marquis Federico d'Istria, ami de Flavia et de Brunetti, est sauvagement poignardé.

Troisième acte : le drame et le final. À la fin de la représentation Flavia est prise en otage malgré la surveillance de Brunetti.

Donna Leon arrive à nous transporter, nous sommes à Venise, pas celle des touristes mais celle des Vénitiens, les ruelles sont des « calli », les places des « campi ». L'histoire et le suspense vous tiennent jusqu'à la dernière page et le grand finale. Il ne manque plus que la révérence finale des acteurs.
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Douze ans après sa fabuleuse interprétation de la Traviata sur la scène de la Fenice, Flavia Petrelli est de retour à Venise, cette fois dans La Tosca de Puccini. Mais même si les Vénitiens l'ovationnent chaque soir, la diva est anxieuse. Un fan la traque dans sa tournée, la poursuivant de ville en ville, l'inondant de roses jaunes. A priori rien d'inquiétant mais Flavia se sent menacée et s'en ouvre au commissaire Brunetti lors d'un dîner organisé chez ses beaux-parents. Par amitié pour la cantatrice, le policier se lance dans une enquête officieuse qui finalement va devenir officielle quand une jeune chanteuse est agressée en ville. le fan serait-il jaloux des compliments que Flavia avait adressés à la jeune fille ? Les proches de la diva sont-ils en danger ? Epaulé par le fidèle Vianello et la toujours pleine de ressources Signora Elletra, Brunetti va traquer le traqueur.

Après vingt-quatre enquêtes, on connaît bien la routine de Donna Leon et de son commissaire, Guido Brunetti : une intrigue plutôt soft, des repas en famille, des expressos pris au coin d'un comptoir, des entretiens pince-sans-rire avec le vice-questeur Patta, les exploits d'Elletra et les promenades dans les calle de la Sérénissime.
Ici, on le suit à l'opéra, côté coulisses. Si elle peut faire rêver, la vie d'une cantatrice célèbre n'est pas faite que de paillettes. Entre tournées éreintantes et répétitions fastidieuses, la pauvre Flavia vit le plus souvent séparée de ses enfants et si, une fois sur scène, elle donne le meilleur d'elle-même, son travail ne s'arrête pas là. Une fois le rideau baissé, il faut encore répondre aux sollicitations des nombreux fans qui se bousculent à la sortie des artistes. Et parfois, un fan peut se montrer plus entreprenant, plus menaçant lorsque son amour confère à la folie.
Cette série est rarement décevante. A force de les côtoyer, on s'est attaché à Brunetti, sa famille, ses collègues, à ses enquêtes tout en lenteur. Ce tome ne fait pas exception, familier et réconfortant.
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Pas de sang, pas de violence. Ou presque. C'est ainsi que beaucoup décrivent les romans policiers de Donna Leon et son Brunetti en trois actes ne fait pas exception à la règle. Pour tout dire, c'est probablement son roman qui suit le plus cette règle compte tenu qu'il n'y a aucun meurtre commis. «Seulement» une jeune femme attaquée et jetée à l'autre puis un homme d'âge mur ayant reçu des coups de couteaux, lesquels, évidemment, sont racontés. le lecteur ne saurait «voir» ça. Et ces éléments ne constituent pas le moteur de l'enquête principal, ils ne surviennent que passé le premier tiers. Mais là, je fais tout à l'envers.

Brunetti en trois actes commence non pas avec l'inspecteur vedette mais plutôt avec la cantatrice Flavia Petrelli. Les cinquante premières pages ne concernent qu'elle. Flavia qui chante à l'opéra, Flavia qui salue son public, Flavia qui se change, etc. Et Flavia qui reçoit des roses en grande quantité, incluant dans sa loge où personne ne devrait avoir accès. C'est suspect. Aurait-elle un fan prêt à tout pour lui plaire ?

Heureusement, elle peut compter sur des admirateurs innofensifs comme Guido Brunetti et son épouse Paola. L'inspecteur se rend compte immédiatement que quelque chose cloche (surtout quand des roses sont aussi retrouvées à l'intérieur du domicile de la chanteuse et qu'on lui envoie un collier valant une fortune) et les incidents qui touchent des personnes cotoyant Flavia Petrelli le convainquent.

Brunetti en trois actes est un roman policier original (j'ai rarement vu des polars aborder le thème des admirateurs dangereux) mais, malheureusement, son développement est long et parfois ennuyeux. L'enquête est lente à décoller et les indices, qui arrivent au compte-goutte, donnent l'impression d'arriver à point sans que les policiers aient beaucoup à y voir. Quant au dénouement, eh bien, je vous laisserai en juger.

Une amie m'avait prêté une pile de romans de Donna Leon, c'était l'avant-dernier. Je lirai le dernier et, après, je crois que j'en aurai fini avec cette auteure.
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Cette enquête policière se déroule dans le cadre de la Fenice, un théâtre de Venise dans lequel se produit une fois de plus Flavia Petrelli, une célèbre diva, dont nous avons fait la connaissance dans le tout premier opus de cette série « Mort à la Fenice ».
C'est la troisième fois que ce personnage apparait au cours d'une enquête et cette fois, c'est elle qui est au coeur de l'intrigue, car un de ses fans s'avère un peu trop attentionné et cela met la cantatrice mal à l'aise.
Mais y a-t-il réellement matière à ouvrir une enquête ?
L'auteur aime la musique et l'opéra et cela se ressent dans sa façon de présenter cet univers, de nous immerger complètement autant sur la scène que dans les coulisses, dans les loges, pendant les répétitions ou en pleine représentation de la Tosca.
Les intrigues de cette série sont rarement complexes, mais tiennent cependant bien la route.
Le commissaire Brunetti nous emmène à sa suite à travers la ville mythique, marchant dans les ruelles, parcourant les canaux, traversant d'innombrables ponts…
La corruption est omniprésente à Venise et chaque roman nous permet d'en découvrir un nouvel aspect.
Un très bon moment de lecture, avec des personnages attachants.
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Brunetti, commissaire vénitien, est, à plus d'un titre un " à-part" dans le grand monde des policiers de romans du même nom. Non seulement il a un taux d'élucidation de ses enquêtes qui égale les %, mais en plus il arrive à de tels résultats alors qu'il ne boit pas, hormis de l'excellent vin digne en accompagnement des petits plats culinaires de haut niveau que lui concocte sa épouse. Qu'il a une vie de famille équilibrée, le soucis d'éduquer ses grands enfants de la meilleure façon qui soit et qu'il peut et il n'hésite pas à se remettre en question dans les discussions philosophiques qu'il échange avec son épouse à propos de ses enquêtes, de son amour de la musique classique ou de Dante et de l'incommensurable capacité de lecture dont fait preuve sa moitié Paula sans jamais laisser y voir une quelconque supériorité intellectuelle sur qui que ce soit. Bref, s'il n'était déjà marié, il serait le gendre, le père, le mari et le flic idéal.

Alors, qu'est-ce qui fait que le lecteur accroche aux écrits de Donna LEON?

Tout d'abord, probablement, la belle capacité de faire vivre le rêve que le lecteur lambda peut développer à fréquenter Venise.

Peut-être aussi, la capacité à proposer une enquête qui ne rebondisse pas qu'à coups de violences, de mort à dimensions atroces ou de vulgarité. Plus probablement aussi, par la capacité de Donna LEON à faire naître des émotions humaines, des réflexions que le lecteur peut partager sans risque, surfant suffisamment sur l'épique pour se savoir dans un roman et suffisamment 'gentilles' pour ne pas en avoir peur. Ajouter à cela une secrétaire Elettra-un-peu-Joséphine qui manipule l'informatique avec magie, bonhommie et malhonnêteté pour la meilleure des causes.
Lire une enquête de Brunetti, c'est un peu comme sucer un sucre d'orge, une friandise, un Carambar, petits bouts d'enfance aux goûts sucrés. En lire trop entraînerait peut-être bien du dégoût ... mais pour qui se montre raisonnable, un Brunetti fait du bien... Pourquoi s'en priver?
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Dans une série policière, il est des tomes plus réussis que d'autres : Brunetti en trois actes est de ceux-là. Guido Brunetti a une particularité : il est un policier qui, en dépit de son travail, parvient à avoir une vie de famille équilibrée. Cela ne veut pas dire qu'il rentre chez lui tous les soirs à dix-huit heures et surveille les devoirs de ses (grands) enfants tout en mettant le couvert pour le dîner (quoique…. c'est parfois vrai). Non, cela veut dire que Paolo, sa femme, sait qu'elle a épousé un policier qui prend son métier à coeur (ne l'a-t-elle pas épousé pour cette raison ?) tout comme elle adore le sien et profite des moments qu'ils passent ensemble, sans se soucier de ceux qu'ils auraient pu passer.
Il faut dire aussi que Venise est une ville presque paisible, dans laquelle on peut se promener le soir jusque fort tard sans risque d'être agressé. Elle est certes minée par la corruption, sans aucun doute. Plus adaptée aux touristes qu'à ses habitants, aussi. Elle n'est plus ce qu'elle était, mais les vénitiens font avec, sans presque se plaindre. Les parents De Paola, ou son meilleur ami, Freddy, marquis d'Istria ont trop d'élégance et de savoir-vivre pour se comporter ainsi, ou soupirer « c'était mieux avant ».
Comme à la Fenice, finalement, dont les techniciens ne vont pas hésiter à se mettre en grève, menaçant les dernières représentations de la Tosca. Ce n'est pas le plus grave, ce qui l'est, c'est le harcèlement dont est victime Flavia Petrelli. Elle est une diva moderne, c'est à dire qu'elle a eu un mari, qu'elle a des enfants – et qu'elle a eu une compagne. L'étalage de sa vie privée n'a guère duré, pourtant, et si les divas sont encore couvertes de fleurs sur scène, si les fans les attendent à la sortie des théâtres, elles ne font plus que très rarement la une des magazines à sensation – et ce n'est pas plus mal pour leur art et pour leur vie privée.
Le harcèlement étonne, les conséquences sur ses proches aussi – et si la machine judiciaire se met en branle, c'est aussi parce qu'elle est Flavia Petrelli, et non une obscure choriste ou une quelconque étudiante. La machine est lente, non seulement à cause des luttes de pouvoir dont Brunetti se passerait bien, mais encore à cause du caractère inédit du mobile de l'agresseur, de sa folie. Brunetti, en homme raisonnable, comprend le raisonnement du harceleur, tout en démontrant l'absurdité cruel de son comportement : « Quel degré de raison accorder à une personne qui s'imagine pouvoir recouvrer son ancien amour en tuant la personne désormais aimée ? Est-il possible de conquérir l'amour de quelqu'un sous la menace ? »
Il ne s'agit pas de jouer serré, lorsque l'ennemi est invisible. Il faut utiliser toutes les ressources qui sont à sa disposition – et même celles qui ne le sont pas. Quand on vous dit qu'enquêter est difficile. Même les fleurs jaunes, maladives, signes de tromperie pour peu que l'on pratique un peu le langage des fleurs, ne sont pas des plus réjouissantes.
Tous les fans de Brunetti se retrouveront dans ce livre.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Ah Venise et le Bel Canto
Ah l'Amour et le désamour
Ah la passion ...
Enfin surtout Venise, se promener dans ces ruelles, monter les marches de ses ponts, lever les yeux sur ses palais...En ce moment ou les voyages ne se font qu'à travers les mots, c'était un régal.
On sent l'amour de l'auteur pour la sérénissime, a travers les ambiances familiales, autour de la table, la description des codes sociaux entre vénitiens et les italiens ( faut pas confondre ...)
On est baigné également dans le répertoire de la Fenice, entre autre Tosca.
Pour ma part j'avais oublié... que la Fenice était à Venise....
L'intrigue en elle même casse pas trois pattes à un canard, c'est vraiment pour l'ambiance dolce vita et tutti quanti qu'il faut lire ce livre.
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Cantatrice star de la Tosca de Puccini, la belle Flavia Petrelli n'en croit pas ses yeux : à la fin d'une représentation à la Fenice de Venise, elle reçoit une avalanche de roses jaunes au moment où elle salue un public conquis par sa prestation.

De retour dans sa loge, des centaines de roses – toutes ambrées – l'attendent dans des vases hors de prix... En arrivant à l'appartement que lui prête son ex-amant le marquis d'Istria, rebelote : le hall d'entrée de l'immeuble est envahi par les nuances ambrées...

Peu habituée à un hommage tant appuyé, la chanteuse prend carrément peur quand elle s'aperçoit que personne ne sait qui lui a fait cette offrande. Intrigué lui aussi par cette affaire, le commissaire Brunetti réussit à convaincre le vice-questeur Patta de le laisser enquêter...

J'ai passé un moment agréable en découvrant cette trame qui tourne autour du petit monde de l'opéra. J'ai senti le caractère italien des protagonistes, mais j'ai eu plus de mal à saisir l'ambiance de Venise. Un peu comme si cette ville hors du commun ne jouait qu'un rôle assez secondaire qui parvient au lecteur de façon étouffée, comme si un cinéaste avait placé de la gaze sur sa caméra.

On n'apprend rien sur l'histoire de la cité des doges, on n'en perçoit pas les odeurs (pourtant fortes) ni les jeux de lumière sur ses façades décrépies qui génèrent par ailleurs ce sentiment d'assister au crépuscule d'un monde au passé si glamour (Casanova, Vivaldi, Corto Maltese…)

A priori, je ne garderai pas ce roman longtemps en mémoire. Il m'a certes agréablement distrait, mais il a été loin de me nourrir. Au final, un polar tout en arrondis, idéal pour se reposer durant un week-end pluvieux après une semaine intense.
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Ce 24ème épisode des enquêtes de Guido Brunetti, commissaire fétiche de Donna Leon, est à classer parmi ses meilleurs depuis pas mal de temps. Pas tellement en raison de la sophistication de l'intrigue, finalement assez classique, mais parce qu'il décrit en détail l'angoisse d'une victime face à la traque d'un harceleur (en anglais : stalker).
L'héroïne est la cantatrice Flavia Petrelli, que nous avons déjà rencontrée dans le premier roman de la série « Mort à la Fenice », puis une nouvelle fois en tant que compagne d'une archéologue américaine dans « Entre deux eaux ». Elle tient le rôle-titre de « Tosca », l'opéra en trois actes de Puccini tiré d'une pièce de Victorien Sardou, créé en janvier 1900 à Rome, archétype du genre pour les amateurs de Bel Canto.
Nous voici donc plongés en pleine représentation, au milieu des chanteurs – pas tous du même niveau – avec un chef d'orchestre dédaigneux, une prima donna fatiguée et anxieuse, des machinistes qui menacent à tout moment de faire grève (tiens, à Venise aussi ?), les répétiteurs et leurs élèves, dans la loge où Flavia se démaquille au milieu des gerbes de roses jaunes qu'un admirateur inconnu lui envoie par brassées, les fans qui attendent à la sortie les artistes exténués pour « absorber » un peu de leur art et de leur air, leur faire signer des CD …
Comme dans « Tosca », le drame se joue ici en trois actes. D'abord la peur : qui est la personne assez folle pour s'introduire dans la loge, puis dans l'immeuble de la cantatrice et lui déposer ces brassées de fleurs et même un bijou de grand prix ? Pourquoi certains proches de Flavia sont-ils sauvagement molestés ?
On sent l'angoisse des victimes de harcèlement tellement présente qu'on se demande si cette sensation n'a pas été vécue par l'auteur elle-même. Après tout, les exemples de vedettes du showbizz ou du sport qui ont été maintes fois victimes de fans égarés ne sont pas si rares …
Il y a ensuite l'introspection, l'anamnèse qui permet au commissaire, à partir d'indices matériels et grâce – toujours – à l'ingéniosité de la signorina Elettra, de découvrir l'identité du criminel présumé. le dernier acte, où tout se joue sur les toits du Castel Saint Ange, celui où la mort enveloppe les protagonistes de cet opéra qui met en scène justement une diva terriblement jalouse – Floria Tosca – un chef de la police secrète pervers – Scarpia – un amant assassiné – Mario – et un plongeon final dans les eaux tumultueuses du Tibre. Réalité et fiction s'entremêlent jusqu' à la tombée du rideau !
Après un tel roman, qui commence en douceur pour se terminer dans la pure angoisse, on a du mal à revenir sur terre et à en entamer un autre … C'est sans doute un signe de sa valeur.
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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