Enfin, j'entrepris l'étude des textes japonais que j'avais à ma disposition avec le secours que je m'étais formés et avec ceux que me fournissait la collection chinoise-japonaise de la Bibliothèque impériale. C'est ainsi que, procédant du connu à l'inconnu, je parvins à reconstituer sur des nouvelles bases et pour mon usage, une grammaire japonaise, dont l'introduction qui suit présente un abrégé.
J'ai donc cru faire une oeuvre vraiment utile en refermant, dans un petit nombre de pages, le résumé des principales connaissances nécessaires pour l'étude de la langue japonaise.