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EAN : 9782812926143
De Boree Eds (10/10/2019)
4.71/5   12 notes
Résumé :
Le temps s'écoule paisiblement dans le petit bourg auvergnat de Champeix. Mais la vie de Victor s'écroule quand un jour de janvier 1917 il reçoit son ordre de mobilisation pour le front. Il doit quitter sonpère veuf, sa ferme, son village, et la jeune fille qu'il aime depuis son enfance. L'amour sera t-il plus fort que son sens du devoir ? Victor devra faire des choix difficiles qui ne seront pas sans conséquences sur son avenir. D'une plume sensible et magnifique, ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Je viens de finir la lecture du roman "Les larmes du Marchidial" d'Alain Léonard
L'histoire traite avec intelligence et sensibilité d'un sujet peu abordé : la désertion des soldats et les réseaux pacifistes durant la Grande Guerre. Voilà un thème qui ne pouvait que me plaire ! L'auteur a fait des recherches historiques approfondies pour coller son récit à la réalité. Les personnages ont du corps, de la substance. Ils sont attachants et leur destin nous tient à coeur. Au fil des pages, j'ai retrouvé dans certains dialogues bien menés le fameux langage fleuri des poilus, la chanson de Craonne, et tant d'autres choses, comme les brigades russes ! (cf ma Léopoline ) Fluide, le texte se lit facilement et avec plaisir.
Victor et son père vivent à Champeix, petit village du Puy de Dôme ; une vie rude, en symbiose avec la nature. La guerre se dévoile par l'arrivée des télégrammes annonçant les décès, les voiles noires des femmes au marché, les discussions au café … Victor n'a pas l'âge pour partir au front. Fernand espère que la guerre s'achèvera avant de lui prendre son fils. L'amie d'enfance de Victor souhaite tout également garder ce beau garçon près d'elle. Lisette est un joli petit brin de fille au tempérament vif argent ; elle est amoureuse de Victor et le lui fait savoir (Et elle a bien raison !) Malheureusement, le conflit perdure et Victor est appelé en 17. le voyage jusqu'au front, les détails du quotidien des soldats, les combats, les blessés, la mort omniprésente sont décrits avec justesse et font frémir d'horreur. On se révolte devant toute cette jeunesse décimée et on comprend, après tant de folie furieuse pourquoi certains ont refusé de continuer le combat. Que sont devenus ceux qui ont dit non ? Certains ont été fusillés mais les autres ? Ont-ils pu revenir à la vie « normale » ? Les familles ont-elles été inquiétées ? Aujourd'hui encore, ces questions restent douloureuses.
Si vous voulez en savoir plus et si le sort de Victor vous intéresse, je vous invite à lire ce beau roman !
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Alain Léonard continue son exploration de l'Histoire, après la Révolution française et les Enfants de la Liberté, la Grande Armée et Les amants d'Austerlitz, le romancier nous entraîne dans l'enfer de la Grande Guerre avec Les larmes du Marchidial, son troisième roman, aux éditions de Borée.
Nous sommes en 1917, Victor va connaître son baptême du feu lors de la terrible bataille du Chemin des Dames. A peine âgé de 18 ans, le jeune Auvergnat qui vient de quitter sa ferme et son père mais aussi sa jeune fiancée Lisette, est propulsé dans l'horreur des tranchées, confronté à la peur, au froid et à la mort en voyant son meilleur ami tomber sur le champ de bataille. Miraculé après le carnage, Victor apprend qu'il doit de nouveau monter en ligne devant Craonne mais aussi que sa belle Lisette attend un enfant... C'est alors qu'éclatent les premières mutineries et que les porte-paroles des soldats en grève se font fusiller avant d'avoir pu exprimer leurs revendications. Pour Victor, c'en est trop, sa décision est prise. le jeune homme veut vivre, que son enfant ait un père et que l'honneur de Lisette soit sauf. Non qu'il manque de courage, au contraire, son combat va se poursuivre au nom de la vie et de l'amour de Lisette. Il sait pourtant les risques qu'il prend et la sanction sans appel qu'il encourt. S'ensuit alors un long périple à travers les rues de la capitale d'abord où Victor devra changer d'identité, survivre, se cacher, déjouer les pièges et les tentations. Mais il assumera son choix jusqu'au bout et saura reconnaître ses erreurs au moment fatal où son destin le rattrapera.
Alain Léonard nous entraîne dans les coulisses de la Grande Guerre avec une intrigue palpitante menée tambour battant au nom de la vie et de l'amour. Avec des personnages attachants, débordants de tendresse, il dépeint d'une plume sensible et précise le parcours d'un jeune Poilu qui a fait un choix difficile. Il rend un poignant hommage à tous ces soldats qui ont connu des conditions de vie indignes pour des hommes, vécu l'enfer et subi le summum de l'horreur. Qu'elles qu'aient été leurs choix et leurs idées pendant cette ignoble boucherie, tous aujourd'hui méritent le titre de héros. C'est que l'auteur a démontré avec sensibilité en relatant le parcours de Victor, un jeune homme courageux, qui n'aspirait qu'à vivre et à aimer et n'en était pas moins un honnête patriote. Victor est représentatif de toute cette génération qui a été sacrifiée et dont nous venons juste de faire le deuil, un siècle après.
De plus, Alain Léonard, soucieux du détail historique, apporte au lecteur des précisions avec des notes qui étayent son récit, des éléments intéressants sur ceux qui, comme Victor, ont fait d'autre choix que d'obéir aveuglément à des supérieurs inexpérimentés et peu soucieux de la vie d'un soldat.
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Victor vit heureux auprès de son père, à Champeix, en Auvergne. Mais, en janvier 1917, il reçoit son ordre de mobilisation plus tôt que prévu, car en raison des pertes sur le front, les hommes manquent. Il part, en laissant Lisette, la jeune fille qu'il aime, depuis l'enfance.


Après ses classes, durant lesquelles il noue des amitiés profondes, Victor découvre l'horreur des batailles du Chemin des Dames. Avec une intensité émotionnelle forte Alain Léonard décrit les combats et tous ces jeunes sacrifiés, dans les camps français et allemand. J'ai été très émue en ressentant leur peur, le froid, la faim, les conditions déplorables d'hygiène et l'incompréhension face aux mauvais choix de ceux qui commandent, mais qui ne se battent pas. En mêlant des noms réels à ses personnages, l'auteur rend un vibrant hommage aux Poilus.


Après une attaque particulièrement meurtrière, les soldats se révoltent. Ce sont les mutineries de 1917. Les sanctions sont sévères et certains sont fusillés. Victor s'interroge : s'il meurt au front, quel sera l'avenir de Lisette et de l'enfant qu'elle attend, alors qu'ils ne sont encore pas mariés ? Il est partagé entre son patriotisme et l'amour qu'il porte aux siens. Sans oublier que l'armée et la population ne sont pas indulgentes envers les déserteurs.


Alain Léonard décrit les réseaux pacifistes d'aide aux déserteurs et leurs actions clandestines. Sans juger, ils ont apporté leur soutien à ceux qui avaient déjà tant donné pour la patrie. L'auteur réhabilite ceux qui ont quitté le front, en montrant que les raisons qui les ont poussés, parfois, n'étaient pas la peur. Leur fuite met en exergue le courage dont ils ont fait preuve, sur le front, et permet de comprendre ce refus de rester. Cependant, ils savaient les risques encourus s'ils étaient repris.


Quel choix fait Victor ?


Les chapitres sont une alternance de ce que vit le jeune homme et du quotidien de ceux qui l'attendent à Champeix. L'auteur raconte l'espoir ...


La suite sur mon blog

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Je vous propose de vous découvrir un roman de nos terroirs historiques qui nous montre comment un jeune garçon se voit confier son ordre de mobilisation pour aller au front.



Nous sommes en 1917, Victor est un jeune homme plein de vie qui profite tranquillement de son petit coin de paradis jusqu'au jour où il reçoit sa convocation pour aller au front. Tout son univers s'écroule en quelques lignes. Il va devoir abandonner son père, ses terres, celle qu'il aime depuis toujours pour son pays.



Victor, à tout juste 18 ans, va connaître la guerre et toutes les atrocités qui vont avec. Ce jeune homme qui a quitté son Auvergne natal, Lisette, sa fiancée est propulsée dans un enfer total ! Personne ne devrait connaître ce genre d'expérience, surtout à son âge, il n'était alors qu'un jeune adulte.



Il connaîtra la peur, le froid, la mort, la perte d'un être cher mais la guerre n'en a pas finit avec lui. Alors qu'il a été miraculeusement épargné lors d'une attaque ennemie, on le renvoie sur le front, tandis que sa douce attend leur premier enfant. C'est d'ailleurs comme ça que vont naître les premières mutineries, que les soldats grévistes vont se faire fusiller avant même d'avoir pu revendiquer quoi que ce soit (ce qui est absurde au passage !)...



Victor n'en peut plus, lui aussi aimerait pouvoir vivre sa vie, connaître son enfant à naître. Il n'a pas envie que Lisette se retrouve mère célibattante ce qui je vous le rappelle pour l'époque était très mal vu, il ne veut pas que son enfant n'ait plus de père non plus. Il a donc décidé de mener un combat mais pas avec des armes. Il a parfaitement conscience des conséquences qui pourraient lui tomber sur le coin de la figure mais il n'a pas peur d'assumer ses choix. Il va errer dans les rues de Paris où il changera complètement d'identité, où il devra vivre caché pour ne pas se faire attraper. Il assumera ses choix jusqu'à ce que son passé le rattrape...



J'ai beaucoup aimé cette histoire que nous propose l'auteur à travers son récit sur la première guerre. L'intrigue est intéressante, les rebondissements palpitants. On est spectateur de ce qui se passe et on espère qu'il trouvera enfin le bonheur, qu'il pourra enfin être libéré de ses chaînes.



La plume de l'auteur est belle, dure et sensible à la fois. L'auteur rend à travers son roman un bel hommage à ses hommes mais aussi ses femmes qui se sont battus pour notre liberté. Victor est un jeune homme courageux qui n'était encore qu'un enfant quand il est allé au front. C'est un personnage touchant, attendrissant pour qui on développe naturellement de l'empathie même si on n'est pas obligé(e) d'être d'accord avec ses choix.



Tout ça pour vous dire que l'on ressent tout le travail de recherche qu'a mené l'auteur pour nous offrir un récit sur les personnes qui ont malheureusement connu cette première guerre mondiale... A découvrir !
Lien : https://leslecturesdeladiabl..
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Mon avis
Je remercie les Editions de BOREE et en particulier Virginie de m'avoir permis de lire, en service de presse, « Les Larmes du Marchidial », roman de Alain LEONARD. Un grand merci également à Alain pour le marque-page et la gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée.

J'ai retrouvé avec grand plaisir la plume fluide et élégante de cet auteur découverte lors de la lecture de son précédent roman « Les Amants d'Austerlitz ».

Alain LEONARD nous entraîne en Auvergne, en 1917 où Victor, notre héros âgé de 18 ans, doit quitter son père et sa fiancée Lisette pour aller combattre l'armée allemande sur le Chemin des Dames..

Malgré son jeune âge et comme tous ses compagnons, Victor ne manque pas de courage et il lutte de toutes ses forces contre l'adversaire, partageant au quotidien la peur, le froid et la mort avec ses amis, dans l'enfer des tranchées.

Quelle sera la décision de Victor ? L'amour sera-t-il plus fort que la guerre ?
L'auteur nous offre une histoire intéressante et originale, se déroulant pendant la Première Guerre Mondiale qui nous fait découvrir un pan peu connu de notre Histoire. Il rend ainsi hommage aux jeunes gens, enrôlés d'office, qui n'ont pas hésité à défendre la patrie mais ont craqué et réagi devant le carnage de cette guerre.

J'ai beaucoup aimé ce roman poignant, très bien écrit et documenté et avec lequel j'ai passé un très bon moment de lecture.

Si, comme moi vous êtes férus d'Histoire et aimez les belles histoires d'amour et d'amitié, ce roman ne pourra que vous séduire.

l


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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Une nuit sans sommeil avait suivi l’annonce de la mobilisation. Fernand affichait une mine triste, parlait peu et vaquait sans enthousiasme à ses tâches habituelles. Victor, quant à lui, était partagé entre différents sentiments. La tristesse de devoir partir, quitter sa ferme et son village, et laisser seul le père qui prenait de l’âge. Pourrait-il assumer tout le travail ? Surtout au printemps, quand les légumes seraient en plein rendement et qu’il faudrait les ramasser avant qu’ils ne se gâtent sur pied. Et l’envie de découvrir autre chose, de « voir du pays ». Le front n’était qu’à quelques centaines de kilomètres, mais c’était pour lui, qui n’avait jamais quitté sa terre, comme un voyage au bout du monde. Un endroit où l’on parlait un autre patois et où, il l’avait vu sur les photos de L’Illustration, les plus hautes montagnes n’étaient que de petites collines à peine esquissées. Tout au plus avait-il, à deux reprises, pris l’autocar pour Clermont-Ferrand afin de rendre visite à sa mère, hospitalisée à l’hôtel-Dieu. « Et puis maintenant je suis un homme, s’était-il surpris à penser, il est temps que j’aille faire mon devoir, comme les autres. » Il se rappela les envolées de M. Martelet, son instituteur, qui ne cessait de tempêter contre l’annexion, au sortir de la guerre perdue de 1870, de l’Alsace et de la Lorraine. À combien d’enfants ces maîtres d’école ont-ils inculqué l’esprit revanchard et la haine du barbare d’outre-Rhin ? Combien de ceux-là, devenus adultes, sont partis la fleur au fusil trois ans plus tôt, scandant des hymnes patriotiques, convaincus de participer à une sainte croisade ? Pour se faire hacher, par régiments entiers, sur les rives de la Marne ou dans les tranchées de la Meuse.
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Lisette était devenue une jolie jeune femme, courtisée par les garçons du village qui, à l’occasion de chaque fête, se bousculaient pour la faire danser. Victime de sa timidité, Victor n’avait jamais osé l’inviter, mais surveillait du coin de l’œil qu’aucun garçon un peu trop entreprenant ne l’importune. Lorsqu’elle acceptait qu’un jeune homme l’entraîne sur la piste de danse, elle riait quand celui-ci lui parlait à l’oreille, faisant mine de s’amuser. Mais c’est Victor qu’elle ne quittait pas des yeux, s’ingéniant à le rendre jaloux, comme savent si bien faire les filles.
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Imperceptiblement, elle s’était rapprochée de lui, plantant son regard dans celui de Victor. Leurs deux mains se serraient un peu plus fort et leurs yeux ne se quittaient plus. C’était la première fois qu’ils s’enlaçaient vraiment. Leur premier baiser lui revint en mémoire et il en fut tout troublé. Que dirait-elle si là, maintenant, il l’embrassait de nouveau ? Elle ne serait sûrement pas contente, et de toute façon cela ne se fait pas devant le monde ! Jamais il n’oserait ! Il ne put s’empêcher de rougir légèrement. Lisette s’en aperçut et accentua son sourire. Victor aurait aimé que cette valse ne s’arrête jamais. Les danseurs, autour d’eux, disparurent, tout comme les étals des marchands et les troncs centenaires des marronniers. Il n’y avait plus que les yeux de Lisette et les notes de musique. Le temps s’était arrêté sur la place du marché.
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– C’est gentil à toi de me faire une petite visite, reprit Fernand qui avait avalé son verre cul sec.

Auguste ôta son képi qu’il posa précautionneusement devant lui.

– Ça me fait bien plaisir de te revoir, moi aussi, Fernand, mais ce n’est pas vraiment une visite d’agrément.

Le vieux gendarme se racla la gorge.
– Pour dire vrai, c’est surtout ton fils que je suis venu voir.

Fernand blêmit légèrement, pressentant une annonce qu’il redoutait depuis longtemps.

– Comme tu le sais, Fernand, la guerre dure plus que prévu, et l’armée manque d’hommes. Ton garçon est appelé sous les drapeaux.
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D’autorité, Lisette avait pris la main du jeune homme et l’entraînait à sa suite. Elle posa sa main frêle sur son épaule, glissa l’autre dans la sienne. Tout doucement, puis de plus en plus vite, ils commencèrent à tourner au son de la musique. Les chaussures crissaient en raclant le dallage de pierre. D’autres danseurs rejoignaient la piste et tournoyaient gaiement au rythme de la valse lente. Victor sentait sous sa main la taille fine de Lisette et la cambrure de ses reins. Il se laissait guider, prenant garde de ne pas lui écraser les pieds.
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Video de Alain Léonard (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Alain Léonard
Rencontre avec Alain Léonard, auteur de "Enfants e la liberté", qui raconte les aventures d'une jeune femme sous la Révolution française (Éditions De Borée, coll. "Vents d'Histoire", avril 2017).
1783. La vie est rude pour ceux qui cultivent la terre, tributaires du climat, des mauvaises récoltes et accablés d'impôts. Catherine, fille du puisatier du village, se voit forcée de quitter sa famille acculée à la misère, et d'entrer au service des nobles locaux, les Saint-Val. Elle suivra ses maîtres à Paris où la colère populaire, qu'attisent la faim et des décennies d'injustices, sera à l'origine des événements de 1789 qui conduiront à des changements radicaux dans la société française. du statut de femme de chambre, puis de fugitive à celui d'héroïne de la Bastille, Catherine, jeune fille au caractère entier et rebelle, connaîtra un destin hors du commun. À travers son épopée, entre joies, peines et amours, c'est un pan de la Révolution française et de la société du XVIIIe siècle qui nous est dévoilé.
Après une carrière militaire en France et à l'étranger, Alain Léonard est actuellement infirmier dans un hôpital clermontois. À 52 ans, il débute l'écriture avec ce premier ouvrage dans lequel se mêlent histoire de France et souffle romanesque. Depuis 2006, il collabore au quotidien La Montagne en tant que correspondant local de presse. Un second tome est en cours d'écriture.
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