Ce classique de la littérature russe (1924), "assassiné" par les soins conjugués des staliniens et des nazis, a manqué de disparaître à la trappe, et n'a été sauvé de l'oubli qu'en 1986, miraculeusement repêché par une revue d'émigrés russes aux Etats-Unis.
Le texte en question, il est vrai, était aussi mal classable que possible, et sans doute quelque peu dérangeant. Roman, témoignage, essai ? Un peu tout cela à la fois. Grossman raconte dans ces pages l'his...
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