Les carnets des sept merveilles, tome 1 : La marque de l'élu

En 1894, Burt, un jeune garçon de 13 ans accompagne son père archéologue dans une expédition tout à fait originale. Burt souffre d'un mal inconnu : il a de fréquents maux de tête, subit des bruits et des musiques qu'il est seul à entendre et arrive à traduire des dialectes qu'il n'a jamais étudié. Mais tous ses dons ne compenseront pas la terrible prophétie qui annonce son décès avant sa quatorzième année. Une légende disant qu'un remède serait disponible sur une île perdue, son père affrète en catastrophe un navire, enrôle un équipage composé de gens de sac et de corde et part vers cet horizon inconnu. Pris dans une terrible tempête qui ne laissera que quatre survivants, le bateau finit par échouer sur l'île en question qui se révèlera nettement moins hospitalière que prévue.
« La marque de l'élu » est un texte d'introduction d'une cinquantaine de pages, un « prequel », sorte de teaser littéraire servant de mise en bouche pour une série intitulée « Les sept merveilles » dont le premier vrai tome s'appelle « Le réveil du colosse ». Sorte de nouvelle agréable à lire, elle remplit parfaitement son rôle introductif et « apéritif ». le lecteur est immédiatement plongé dans une aventure un peu fantastique avec une jungle hostile, des monstres à sang vert, des singes tresseurs de lianes et des vieillards complètement barjots. En ce basant sur cet échantillon, apparemment de la bonne littérature jeunesse dans la lignée des meilleurs : Jules Verne, Conan Doyle voire Dan Simmons.
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