« La langue française, c'est une vraie femme. Et cette femme est si belle, si fière, si modeste, si hardie, si touchante, si voluptueuse, si chaste, si noble, si familière, si folle, si sage, qu'on l'aime de toute son âme, et qu'on n'est jamais tenté de lui être infidèle. »
Paul Gsell, Les Matinées de la villa Saïd : propos d'Anatole France
Érik Orsenna, parrain de la collection dont ce titre est le dernier volume, se définit volontiers comme «...
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