Le parfum de la dame en noir

L'enquête est assez bonne et bien menée.
Gaston Leroux nous fait une suite intéressante au mystère de la chambre jaune. Ce qui est bien c'est qu'il ce n'est pas nécessaire de lire le premier tome pour comprendre l'histoire.

Les personnages sont vivants, certains ont un passé parfois commun, d'autres par contre semblent ne pas avoir de vie, c'est dommage. le présent est par contre bien traité et l'auteur arrive à bien retranscrire tout ce qui leur arrive.
Pourtant je n'ai pas vraiment pris de plaisir en lisant ce livre. Les idées mettent trop de temps à venir.
Finalement Gaston Leroux se perd dans les explications parfois inutiles pour la suite du récit !
Concernant les descriptions elles sont assez bonnes. J'aurais peut-être aimé en avoir un peu plus concernant certains personnages ou leurs sentiments et ressentis.
Pour ce qui est des lieux l'auteur nous met parfois des schémas, c'est une bonne idée mais les explications traînent un peu trop en longueur pour moi… Dommage.

J'ai bien aimé le fait que Gaston Leroux nous mette sur des pistes pour qu'on essaye de démasquer le coupable. Par contre le fait que l'histoire ne soit que d'un seul point de vue me gêne un peu, même s'il est interne.
J'aurais peut-être aimé avoir plusieurs points de vue pour savoir vraiment comment certains personnages voient les choses, là cela n'a pas été le cas.

En résumé, une enquête bien faite mais je n'ai pas vraiment pris de plaisir à lire ce roman, sans doute dû au manque de certaines petites choses…
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Après le mystère, on ne peut plus mystérieux, de la chambre jaune, Gaston Leroux poursuit les aventures du très jeune Rouletabille avec le parfum de la dame en noire...
On découvre l'histoire de Rouletabille, ses secrets, ses liens avec la dame en noire... Et le terrible Ballmeyer vient à nouveau tourmenter toute la troupe...

Autant j'avais beaucoup apprécié le mystère de la chambre jaune, autant j'ai eu du mal à terminer cet opus.
C'est long, c'est très (trop) descriptif, ça piétine... Je n'ai pas réussi à entrer dans l'univers ce coup-ci...

Autant j'avais adoré le mystère de la chambre jaune lu il y a plusieurs années, autant j'ai eu du mal à rentrer complètement dans cette intrigue.

Je n'étais peut-être pas réceptive, et il faudra certainement que je retente la lecture de ce roman dans quelques temps, mais je ne me suis pas attachée aux personnages, alors même qu'on les connaît déjà puisque ce sont les mêmes que dans l'intrigue précédente.

Les nombreuses références au Mystère de la chambre jaune et les longues descriptions cassent le rythme de l'intrigue. J'ai eu du mal à accrocher et la lecture a été laborieuse.

Une déception pour cette lecture.

Si je m'étais ennuyée lors de la lecture du Mystère de la Chambre Jaune, j'ai bien failli ne pas voir le bout de cette suite (que l'on peut lire sans avoir lu la première histoire). Je n'ai pas vraiment pris de plaisir en lisant ce roman plus sombre que le précédent. Les idées mettent trop de temps à venir et à se mettre en place, de plus, l'auteur se perd en explications souvent inutiles pour la suite du récit.
J'ai bien aimé être mise sur plusieurs pistes par l'auteur afin de démasquer le coupable, c'est peut-être le seul coté palpitant du roman, mais il y a tant de longueurs que l'intérêt se perd.
Roman sans surprise et sans saveur, hélas...

Une cérémonie de mariage réunit tous les protagonistes du célèbre Mystère de la Dame en Jaune.

Toujours à la recherche du déclic pour les livres policiers dont tous mes amis raffolent, je me suis lancé dans celui ci car on m'avait assuré qu'il n'y avait pas de sang et qu'il ne me ferait pas faire de cauchemars...

C'est vrai... mais... je me suis ennuyée.

On reprend les aventures de Rouletabille là où elles se sont arrêtées dans le Mystère de la chambre jaune ! Pendant cette première enquête, notre journaliste débloque un souvenir oublié : le parfum de la Dame en noir, femme de son enfance. Il l'a senti, cette odeur, et désormais, il la traque ! de leur côté, enfin libérés de Larsan / Ballmayer, Robert Darzac et Mlle Stangerson peuvent enfin vivre leur amour au grand jour. Mais voilà : il semblerait que Larsan ne soit pas loin… Par précaution, les époux s'enferment au Château des Rochers rouges, nouveau lieu d'une intrigue encore bien étrange (et cette fois-ci beaucoup trop tirée par les cheveux !)

J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire : au début, il ne s'y passe rien et les personnages ne sont pas spécialement attachants. L'intrigue met, à mon goût, beaucoup trop de temps à se mettre en place ! Et quand, enfin, le drame se produit, en huit clos au Château des Rochers rouges, tout part en cacahuète. J'avoue tout de même qu'à partir de cet instant, j'ai un peu plus accroché avec l'histoire. Mais je l'ai trouvée quand même très/trop farfelue ! Les déductions de Rouletabille sont sorties de nulle part et improbables, je n'ai moi-même pas tout compris.

Le dénouement, lui, est complétement tiré par les cheveux. Impossible même ! Cela n'a aucun sens, et encore une fois, j'ai eu bien du mal à comprendre cette finalité. de fait, je n'ai pas réellement apprécié cette lecture… C'est bien dommage car j'ai beaucoup aimé le personnage de Rouletabille dans sa première aventure ! du coup, je ne continuerai pas cette série, dont il reste pourtant six romans !

Gaston Leroux fait partie de mes auteurs favoris. La poupée sanglante et La machine à assassiner ont été deux énormes coups de coeur dans ma vie de lectrice. J'ai ensuite lu le mystère de la chambre jaune (à l'automne 2018) : il me fallait donc découvrir la suite. Publié en 1908, le parfum de la dame en noir constitue le deuxième épisode des aventures de Joseph Rouletabille, notre héros et jeune journaliste.

Nous retrouvons ici une grande partie des personnages du Mystère de la chambre jaune. le roman s'ouvre ici sur un évènement festif : Mathilde Stangerson et Robert Darzac, fous amoureux, convolent enfin en justes noces. Tout irait pour le mieux si l'ombre du sinistre agresseur de la chambre jaune ne rôdait pas dans les parages… Croyant avoir aperçu le bandit plusieurs fois au cours de leur voyage de noces, nos jeunes mariés décident d'écourter leur séjour à l'étranger pour se réfugier au domaine des Rochers rouges, une forteresse médiévale située près du littoral méditerranéen. Leurs amis, les Rance, sont prêts à les accueillir. Tout ce petit monde sera bientôt rejoint par Rouletabille, et son ami Sainclair (qui fait office de narrateur).

Sur le papier, ce roman avait de sérieux atouts pour me plaire. Une ambiance huis clos. L'écriture surannée et délicieuse de Gaston Leroux. Plus encore, une énigme à déceler. Malheureusement pour moi, je ressors déçue de cette lecture (c'est bien la première fois avec cet auteur). La magie n'a pas du tout opéré, la faute à quelques longueurs, mais aussi à un final quelque peu tiré par les cheveux à mon goût.

Pourtant, Joseph Rouletabille se dévoile dans ce roman. Gaston Leroux étoffe son personnage en nous révélant une part de son passé et de ses fragilités. Il faut pour cela remonter à l'enfance de Rouletabille, et au souvenir du doux parfum d'une dame habillée de noir. Nous retrouvons un Rouletabille dans l'émotion, ce qui tranche totalement avec l'image qu'il avait pu laisser la fois précédente : celle d'un jeune journaliste sûr de lui, qui roule des mécaniques tout en se montrant très brillant.

C'est peut-être ce qui m'a déplu. Il y avait trop d'allers-retours dans le temps, et un peu trop de démonstration de sentiments.

Côté raisonnement et intrigue policière, on reconnaît par contre la patte de notre héros. Il fonctionne avec méthode (ce qui m'a forcément fait penser au Poirot de ma chère Agatha Christie), et il est très important pour lui de trouver « le bon bout de la raison ».

Cette lecture ne fera donc pas date dans ma mémoire, et je ne pense pas poursuivre ma lecture des aventures de Rouletabille (pour les intéressés, foncez lire le troisième roman le mettant en scène : Rouletabille chez le tsar). Je ne regrette pour autant pas d'avoir lu ce roman tant j'apprécie la plume de Leroux. J'ai d'ailleurs pour projet de rencontrer très bientôt son Fantôme de l'opéra.
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La suite du fameux "mystère de la chambre jaune", dans un château sur une île, une atmosphère à la Leblanc... Bigre ! comme tout cela est alléchant au départ. Surtout quand on avoue un petit faible pour cette littérature populaire désuète, fin 19ème début 20ème, avec ses décors, ses mentalités, cette façon d'écrire, ses invraisemblances propres à cette époque (les femmes qui tombent dans les pommes pour un oui ou pour un nom, ces grands brigands capables de se déguiser en n'importe qui...)
Sauf qu'ici ces "tirades de cheveux" sont le coeur du roman, l'intrigue, le suspens, l'effroi, tout repose sur la capacité du grand méchant à prendre l'apparence des autres dans le huis-clos où chacun se demande si i n'a pas en face l'ennemi diabolique. Ca ne fonctionne pas, ou plutôt ça ne peut plus fonctionner. Comment croire qu'une épouse ne puisse en tête à tête se rendre compte qu'un homme a pris a place de son mari, et que ce brigand n'est autre que son ex-mari tant redouté... absurde et trop pauvre, rien à quoi raccrocher son plaisir (de lecture)

Le parfum de la dame en noir m'a moins plu que le mystère de la chambre jaune, beaucoup moins.La première partie, avec toute la mise en place (présentation des personnages, description des lieux,...) m'a paru longue et fastidieuse, tout comme certains passages où Rouletabille et Sainclair exposent leurs théories.Par contre j'ai bien aimé la façon dont Gaston Leroux instaure une climat d'effroi et de paranoïa dans le roman avec le personnage de Larsan, menace insaisissable et omniprésente.

Pas convaincu…