Ghost in Love

Je signale juste que Babelio est un site dédié à la littérature, c'est écrit dessus comme le Port-salut, pas aux produits industriels. Il y a des limites quand même !

Thomas est pianiste, virtuose…mais sa vie sentimentale est un désastre. Un soir, il trouve par hasard chez sa mère un joint…Il en prend quelques bouffées…et le fantôme de son père lui apparaît. Hallucination ? Réalité ? Thomas refuse d'y croire, surtout que ce fantôme a besoin de lui pour une mission très spéciale…

L'histoire aurait pu être poétique avec l'idée de choisir son éternité et de vaincre la mort. Elle aurait pu être poignante, avec les retrouvailles d'un père et de son fils. Elle aurait pu être…Mais rien de tout cela ! Il y a beaucoup de scènes répétitives (Thomas est pris pour un fou quand il parle avec son père, puisque le fantôme n'est visible que de lui seul ; Thomas donne l'impression de regarder une jolie femme avec insistance, alors qu'il dévisage le fantôme qui est à côté…) et dès le début le lecteur se doute de ce qui va se passer. Les dialogues sont plats, avec de pauvres plaisanteries : Thomas parle de faire appel à Uber pour se déplacer, le fantôme pense qu'il a un chauffeur prénommé Hubert…Le vocabulaire est souvent familier, le style n'est pas travaillé : « pourquoi s'enquiquiner… » / « toubib »/ …C'est une succession de platitudes : « Nous nous retrouverons dans ta musique. Un jour, tu joueras pour une femme et c'est à elle que tu demanderas conseil, et puis viendra le temps où tu joueras pour tes enfants. C'est la vie… », explique le fantôme.
Aucune émotion donc et c'est avec déception que j'ai refermé ce livre.

Digne de la collection Arlequin.

Très décevant. L'histoire ne m'a pas du tout intéressée. le fantôme du père qui revient ; pas du tout plausible mais sans intérêt magique ou fantastique pour autant.

Je suis amèrement déçue par cette lecture. En le lisant, j'éprouvais la pénible sensation que l'auteur avait écrit ce livre car il fallait en écrire dans l'année. de plus j'ai constaté quelques erreurs de grammaire, ce qui m'est insupportable lorsque je lis un livre d'un auteur professionnel.

Un grand pianiste un peu timide, son père décédé grand chirurgien et séducteur qui vient le hanté, quelques jeux de mots, une histoire d'amour platonique et aucun suspense. Je me suis terriblement ennuyé, nous sommes loin de "si c'était demain..." ou alors c'est moi qui est évolué, mais pas l'auteur. Dommage.

Un livre reçu pour la dernière rencontre littéraire que j'aurais dû faire avant que le covid n'arrive sur notre planète et avant que je finisse par quitter la région parisienne, mettant ainsi un terme à mes fabuleuses aventures lors des vernissages de romans à Paris. Je suis une nostalgique de Marc Levy, celui-ci m'a accompagné dans ma découverte des romans "adultes" alors que je quittais le collège et laissais derrière mois les romans jeunesse. J'en garde des très bons souvenirs de jeune lecteur, je n'avais plus lu Marc Levy depuis des années, car j'ai grandi, mes attentes de lectrices aussi et je ne m'y retrouvais plus. J'étais ravie de redonner sa chance à cet auteur à l'occasion du vernissage de ce roman. Rencontre annulée, covid, livre oublié au fond d'un carton de déménagement, je lui ai finalement donné sa chance. Et malheureusement, c'était une catastrophe. Je n'ai plus 14 ans, la sauce ne prend pas du tout et j'étais navrée de voir que Marc Levy reprend toujours les mêmes ficelles et les même thèmes qui fonctionnent depuis 20 ans (donc pourquoi se priver ?!) pour nous narrer le même type d'histoire sans saveur. Certains passables étaient incohérents au risible et je me suis parfois demandé si je devais prendre la scène au premier ou au second degrés. C'est vraiment dommage de voir cette non évolution dans l'écriture, le fond, la forme, rien n'a changé. Quel dommage de n'avoir pu rencontrer l'auteur pour mieux comprendre la génèse de ce livre, car j'ai eu l'impression que même lui ni croyait plus. Adieux Marc Levy qui restera un bon souvenir de la fin de mon enfance.

Marc Lévy était en manque d'inspiration... quelle déception, aucune originalité...

Mon Dieu... un pur navet !!!
Le plus mauvais livre de Marc Levy. Ennuyeux et rasant à souhait...

Surtout on dirait du très mauvais Musso (et il en est très très loin !)
Qu'est-ce qu'il lui a pris de s'essayer sur ce terrain dont Musso était maître. Il n'a pas le 1/4 de son talent sur ce genre de sujet...

A se demander si c'est lui qui a écrit cette daube.

Payer un livre 21.50 pr lire un tel désastre... ça fait mal

J'ai abandonné la lecture de ce roman à la 129e pages. Celui-ci ne me rejoignait pas. Désolée, M Lévy. J'ai beaucoup aimé vos romans précédents. Peut-être que le prochain se rapprochera un peu plus de mes attentes.