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EAN : 9782266148535
367 pages
Pocket (30/11/-1)
  Existe en édition audio
3.9/5   1960 notes
Résumé :

On est tous l'étranger de quelqu'un.

Jeannot,
Tu leur diras de raconter notre histoire, dans leur monde libre. Que nous nous sommes battus pour eux. Tu leur apprendras que rien ne compte plus sur cette terre que cette putain de liberté capable de se soumettre au plus offrant. Tu leur diras aussi que cette grande salope aime l'amour des hommes, et que toujours elle échappera à ceux qui veulent l'emprisonner, qu'elle ira toujours donner ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (202) Voir plus Ajouter une critique
3,9

sur 1960 notes
Quand vous dites Marc levy, il y a souvent une pluie de méchanceté qui lui tombe dessus. Prétextant qu'il fait des livres idiots, avec des énigmes plan-plan, des personnages con-cons. Et pourtant, c'est un écrivain que j'apprécie particulièrement. A voir les livres que je lis, vous pourriez facilement comprendre que je suis une adepte des romances et donc, me placer tout de suite dans la catégorie des groupies qui adooooorent lire ses romans à l'eau de rose. Et bien, lorsque j'ai découvert cet écrivain, c'était par un pur hasard et ma fidèle complicité a commencé avec ce livre qui n'a strictement rien à voir avec ses autres romans fantastiques saupoudrés d'amouuuur.

Ce livre conte une biographie de son papa au sein de la Résistance 40-45. Cette difficile période où les hommes juifs en ont pris plein la face. Et depuis cette nuit où j'ai dévoré l'histoire entièrement, pleine de courage et de sagesse, je n'ai plus su quitter son écriture. J'ai été marquée au fer rouge par sa plume, par ses pensées et sa façon d'expliquer les choses qui étaient abruptes mais tout à la fois « douces ». Quel contraste vous allez me dire ...

A la foire du livre de Paris, j'ai assisté à l'une de ses conférences où il a pris une heure pour expliquer son fonctionnement d'écriture et sa façon de voir les choses lorsqu'il écrivait un livre et il en revenait toujours aux enfants de la liberté, cette histoire qui – comme il l'a dit – le bouleversera jusqu'à la fin de sa vie. Même Jeannot était là, nous faisant l'honneur de sa présence. Ses romans sont imparfaits, il le dit lui même. Son écriture est à travaillé, il le dit lui même mais pour ce roman, j'avoue de mon point de vue qu'il n'y a rien à changer. Il est parfait. Prise au cou durant toute la lecture, j'ai été franchement émue de cette façon qu'il avait d'expliquer tout les périples de son papa, entourés de Nazis qui prenaient des vies. Il lui a fallut un certain courage pour l'écrire, surtout que c'est une période qu'on tente à oublier, tellement la méchanceté de certain était une deuxième nature.

Bouleversant et tout à la fois touchant, je remercierai jamais assez cet auteur, de m'avoir ouvert les portes des émotions grâce à ce livre qui, sans réfléchir, me suivrai sur une île déserte. L'écriture du passé nous montre ce que le monde a oublié et toute cette foi que les hommes ont fait disparaître. Alors, au risque de me faire huer, je dis Bravo Monsieur Levy.
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Cette critique peut heurter la sensibilité de certains lecteurs.

Paris s'embrase, c'est la merdasse à paname, on déloge les pavés, pour saigner les hommes armés qui chargent à la volée… Une chose est sûre c'est que les gens sont fâchés, parfois fachos, rangez les belles cylindrés ô grand damoiseau, pliez vitrine, courber l'échine et en avant les gilets jaunes…

« On va tout niquer… »

Ras le bol, ça passe en boucle à la télé, c'est la lettre au père misère, revendication à l'an porte-monnaie, vidé depuis la surconsommation vitaminée à la mondialisation qui s'en branle de la valeur humaine, tant que ça rapporte aux inégalités, c'est qu'il y aura toujours des riches déconnectés de toute réalité smicarde, persuadé que le RSA c'est pour la déchéance sociale, que 550 € par mois c'est « chair » donné aux assistés qui se néantisent dans une survie précaire qui souvent dérive dans l'indifférence populaire… Prenez aux riches et distribuez aux pauvres, rétablissez l'égalité, la fraternité quant elle se meurt dans les grands romans d'un autre siècle, la liberté de vivre est une chose, de bien vivre en est une autre, pourquoi vouloir à tout « prix » justifier son bonheur à sa réussite ? étaler sa richesse comme un trophée ? bâillonner le bas de l'échelle parce que vous le méritez votre blé, plus que les uns au détriment des autres, malheureux handicapés de la solidarité, vous qui surestimez votre valeur par un statut futile qui vous dresserait au rang d'une Élite intellectuelle qui n'a de « sang » que l'hérédité ou le potentiel éphémère d'une futile utilité qui ne sert qu'à cirer votre égo, qui mériterait mieux que le simple ouvrier, cette pauvre « âne » aux mains abimées qui triment dans la nécessité de bouffer convenablement, pendant que vous pavanez dans l'abondance des privilégiés…

Quelque chose vous aurait-il échappé, ô grand désespoir des plus à plaindre, une certaine réalité, une certaine humanité, comme-ci la misère se méritait, comme-ci la réussite était innée, allons enfants de la réussite, vos jours de gloire sont périmés, devenez humble et altruiste, on ne réclame pas les bulles dorées qui pétillent dans vos palais d'argent, seulement de quoi vivre décemment sans votre méprise et votre indifférence déambulant devant les marches des sommets que nous avons bâtis de nos mains et de notre sang, et que vous avez gravis sans vous rabaisser à notre rang…

Écoutez la colère gronde, l'anarchie stimulante de la révolte, où se mêle passivité et violences, légitimité et bêtise, l'heure n'est plus à l'oisiveté mais aux actes, ne confondez pas la détresse à la paresse, les pilleurs qui cassent et qui chient sur la république ne sont que la profonde bêtise de valeurs oubliées, ou le respect ne se gagne que dans la bestialité, ceux-là laissons-les dériver dans leur lâcheté, dans la facilité de leurs actes injustifiés, si ce n'est par le peu de réflexion qui les animent, dans la haine de tout, sauf de soi…

Comprenez bien notre mouvement, il n'est pas le caprice d'un iPhone trop cher, il est le résultat d'une politique désastreuse qui s'empire de décennie en mondialisation, détruisant un système social de moins en moins égalitaire donnant toute légitimité à cette chance de naitre dans la richesse, ou de naitre dans une réussite trop orgueilleuse pour être égalitaire, nos différences ne rassemblent plus, elle crée l'inégalité sans se soucier du pourquoi, pourvu qu'il y ait le comment justifiant à lui tout seul la décadence de notre monde qui se meurt irrémédiablement devant tant d'abus…

Arrêtez de vous prendre pour des dieux, alors que nous ne sommes que des hommes.

Y sont fâchés les gilets jaunes, ouais des fois j'aime bien écrire des trucs qui servent à rien.

Levy, c'est comme Musso et Coben, il n'y a plus de surprise, on aime ou pas...Et moi j'aimais bien mais tout change.

A plus les copains

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La composition de ce roman est un petit peu particulière puisqu'elle se compose de trois grandes parties qui s'englobent toutes autour d'une lettre ou d'un long monologue que le narrateur fait à sa femme et qui raconte la vie de son père, son père à lui mais également celle de son oncle Claude et celle de tous leurs compagnons d'armes qui formèrent la 35e brigade FTP-MOI, le cercle de résistance à Toulouse fondée par Marcel Lagier.

Alors, certes, vous me direz : "Oui mais des livres sur la Seconde Guerre mondiale et en particulier sur le génocide juif, on a a écrit des centaines et dans lesquels les Allemands sont toujours les méchants" mais ici, il y a non seulement les Allemands mais il ne faut pas oublier que, dans la Milice par exemple, il y avait également des Français qui se faisaient les tortionnaires des Juifs et tout autre opposant au régime.
Basée sur des faits historiques mais largement romancée, cette histoire nous raconte la vie d'hommes et de femmes qui se sont battus pour la France, qui ont vécu dans des conditions abominables, ont subi d'atroces souffrances, ont vu des leurs tomber chaque jour, sous les fusils de l'ennemis ou emportés simplement par la faim ou la maladie.
Le héros de ce livre, Jeannot (de son vrai nom Raymond) décide un beau jour de s'enrôler dans la Résistance avec son jeune frère Claude alors que tous deux n'ont même pas dix-huit ans, n'ont jamais connu de femmes, enfin bref, n'ont pas vécu mais ils étaient convaincus de leurs idées et, étant juifs, ils n'avaient guère le choix : c'était soit ça soit attendre d'être déporté.

J'ai beaucoup aimé le deux premières parties de cet ouvrage mais un peu moins la dernière car j'ai trouvé que l'auteur se précipitait un peu trop dans le déroulement des évènements, comme s'il était pressé d'achever son livre. Moi qui n'avait lu jusqu'à présent que des livres de Marc Lévy assez légers, remplis d'espoir, j'avoue que j'ai été un petit peu surprise par celui-ci qui reste néanmoins une très belle lecture.
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Un livre qui m'a été recommandé pour une illustration de la résistance à Toulouse...Pas mal pas mal...D'autant plus qu'il y a de la matière, des témoignages.
Marc Levy se fonde sur la vérité : tous les faits qu'il relate sont exacts, et il les incarne par la voix de deux jeunes résistants eux-aussi historiques : Raymond, alias Jeannot, et Claude, deux frères juifs réfugiés en zone libre à Toulouse et dont les parents ont été arrêtés dans la ville rose par la police française et déportés dans des camps français avant d'être envoyés en Pologne. Jeannot et Claude intègrent la fameuse division 35, de Marcel Langer, réputée pour ses actions coup-de-poing. Quand le récit commence, Marcel Langer a déjà été arrêté et s'apprête à être jugé par les Français pour terrorisme.
Le livre se divise en trois parties. La première relate les actions des deux frères au sein de la résistance. C'est un peu longuet, à part l'histoire vraie du procureur Lespinasse, de triste mémoire. La deuxième, en prison, et surtout la troisième, l'évacuation vers l'Allemagne, m'ont par contre beaucoup plus captivée. L'intérêt du livre est historique. Marc Levy montre très clairement les liens de collaboration entre l'Allemagne et la France, comment c'est la police, la justice, les transports, les prisons françaises qui sont utilisés, et tout leur personnel. Il montre aussi les ambiguïtés des Français, les petits gestes quotidiens des gens qui permettent aux résistants actifs de tenir, de se loger, de s'enfuir, de se cacher. Beaucoup ferment les yeux sur ce qu'ils voient, surtout vers 43 et 44, quand le vent, vraiment, a tourné. Tout cela est fort bien fait. Marc Levy est bon pour le décor, l'ambiance, les détails, la dilution de l'histoire vraie dans un récit. Dommage que les personnages manquent vraiment de profondeur, qu'il s ne soient que des silhouettes à peine esquissées et quasi indifférenciées les unes des autres.
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Si on m'avait dit qu'un jour je ferais un post sur Marc Levy...

Je reconnais des qualités à Marc Levy, ma mère l'adorait. Ses romans la faisaient voyager. C'est d'ailleurs l'une des raisons pour lesquelles je les ai presque tous dans ma bibliothèque. Une de mes meilleures amies en est également fan, mais moi... Je trouve que souvent, ce n'est pas assez abouti. Cela me laisse un goût d'inachevé dans la bouche. Les fondations sont bonnes, la plume agréable, mais il manque ce petit quelque chose qui fait que je n'arrive pas à oublier ce qui m'entoure quand je le lis. Ses romans ne m'habitent pas, ils glissent sur moi comme l'eau sur une toiture.

Mais ça, c'était avant de lire Les enfants de la Liberté.

Si on m'avait tendu le livre en dissimulant l'identité de l'auteur et en me disant simplement « Lis », je n'aurais jamais deviné qu'il s'agissait de Marc Levy.

Le sujet m'intéresse beaucoup, c'est un fait. Les origines de mon père, ce lourd secret familial qu'il emporta dans sa tombe y sont pour beaucoup. J'ai envie de comprendre, de comprendre mon père et ses fêlures, de comprendre ce qui l'a forgé ainsi, ce qui a tanné ce cuir tellement épais et tellement difficile à transpercer.

Mais ce n'est pas seulement cela. Je me souviens des histoires de Mémé, ma grand-mère maternelle, cette conteuse formidable, qui, assise sur un banc, l'été, à la lueur de la lune, me racontait des histoires de couvre-feu et de sorties en vélo interdites. Cette Histoire fait partie de mon histoire familiale, de mon patrimoine, de ce que je suis finalement. Les parents de ma grand-mère ont caché des résistants dans le toit de la grange, ma grand-mère paternelle a eu un enfant avec un allemand. C'est notre histoire.

J'ai donc fait fi de mes préjugés pour me lancer dans ce roman. Je ne le regrette pas. le sujet est grave, traité avec une délicatesse bienvenue. M. Levy a offert à son père, Jeannot, le plus beau des cadeaux : il a raconté son histoire. Et sa plume, celle de l'écrivain qui ne savait pas m'embarquer, m'a capturée dans ses filets pour ne plus me lâcher. Véritable mer d'émotions, j'ai plongé dans cette époque qui a vu naître mon père, je me suis enfouie dans la mouvance de cette résistance du sud qui ne pouvait pas s'engager, mais le faisait quand même à sa manière. J'ai tremblé, j'ai pleuré, j'ai ri, j'ai vécu...


Et c'était pourtant du Marc Levy...
Lien : http://lelivrevie.blogspot.f..
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critiques presse (2)
BoDoi
23 décembre 2013
Le dessin d’Alain Grand (Pour tout l’or du monde) est honnête, mais aurait pu servir n’importe quel scénario. Il n’accorde pas beaucoup de relief à l’ensemble, et quelques ficelles cinématographiques de la mise en scène peuvent agacer.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Auracan
19 décembre 2013
Alain Grand adapte avec maestria Les Enfants de la Liberté, le roman le plus intime de Marc Levy [...] Alain Grand en fait un récit bouleversant avec des personnages très attachants.
Lire la critique sur le site : Auracan
Citations et extraits (202) Voir plus Ajouter une citation
J’aime bien ce verbe « résister ». Résister, à ce qui nous emprisonne, aux préjugés, aux jugements hâtifs, à l’envie de juger, à tout ce qui est mauvais en nous et ne demande qu’à s’exprimer, à l’envie d’abandonner, au besoin de se faire plaindre, au besoin de parler de soi au détriment de l’autre, aux modes, aux ambitions malsaines, au désarroi ambiant.

Résister, et… sourire.

Emma Dancourt
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Un homme peut se résoudre à l'idée de perdre sa vie, mais pas à l'absence de ceux qu'il aime
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Pour nous, il y avait un ennemi encore plus haïssable que les nazis. Les Allemands, nous étions en guerre contre eux, mais la Milice était la pire engeance que le fascisme et l'arrivisme peuvent produire, de la haine ambulante.
Les miliciens violaient, torturaient, dérobaient les biens des gens qu'ils déportaient, monnayaient leur pouvoir sur la population. Combien de femmes ont écarté leurs jambes, yeux fermés, mâchoires serrées à en crever, contre la promesse fictive que leurs enfants ne seraient pas arrêtés ? Combien de ces vieillards dans les longues files d'attente au-devant des épiceries vides devaient payer les miliciens pour qu'on les laisse en paix, et combien de ceux qui ne purent s'acquitter furent envoyés dans les camps afin que les chiens de rue viennent tranquillement vider leur logis , Sans ces salauds, jamais les nazis n'auraient pu déporter tant de monde, pas plus d'un sur dix de ceux qui ne reviendraient pas.
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- C'est désormais une affaire de bon sens politique. Ces hommes et ces femmes dont nous parlons, sont tous hongrois, espagnols, italiens, polonais et j'en passe ; tous ou presque étrangers. Quand la France sera libérée , il sera préférable que l'Histoire raconte que ce sont des Français que se sont battus pour elle.
- Alors on va les laisser tomber, comme ça ? s'indigne l'homme qui pense à ces adolescents, combattants de la première heure.
- Rien ne dit qu'ils seront obligatoirement tués...
Et devant le regard écœuré de son lieutenant, ce commandant de la Résistance française soupire et conclut :
- Ecoute-moi. Dans quelques temps, le pays devra se relever de cette guerre, et il faudra bien qu'il ait la tête haute, que la population se réconcilie autour d'un seul chef, et ce sera de Gaulle. La victoire se doit d'être la nôtre. Cela est regrettable, j'en conviens, mais la France aura besoin que ses héros soient des Français, pas des étrangers !
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C'est d'eux dont il faut que je te parle, Marcel Langer, Jan Gerhard, Jacques Insel, Charles Michalak, José Linarez Diaz, Stefan Barsony, de tous ceux qui les rejoindront au fil des mois qui suivront. Ce sont eux les premiers enfants de la liberté, ceux qui ont fondé la 35e brigade. Pourquoi ? Pour résister ! C'est leur histoire qui compte, pas la mienne, et pardonne-moi si parfois ma mémoire s'égare, si je suis confus ou me trompe de nom.
Qu' importent les noms a dit un jour mon copain Urman, nous étions peu nombreux et, au fond, nous n'étions qu'un. Nous vivions dans la peur, dans la clandestinité, nous ne savions pas de quoi chaque lendemain serait fait, et il est toujours difficile de rouvrir aujourd' hui la mémoire d'une seule de ces journées.
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