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Critique de Hugo
Au premier jour, Je suis me suis assis à tes côtés le plus doucement possible et je t'ai simplement regardé, mes yeux plongés dans ton sommeil, profond apaisant, ton petit bidon tout complexé qui soulève ta vie qui m'inspire cette tranquillité, les yeux clos, une main l'une sur l'autre calées sur cette bouille d'amour pleine d'innocence, de naïveté, de fragilité, tes long cheveux emmêlés s'entortillent de bouclettes aux reflets du jour, d'un soleil timide qui perce à travers les persiennes métalliques, comme l'eau qui se déverse et s'écoule sans frontière, la lumière s'engouffre partout où l'obscurité se tamise…
J'aimerai te souffler tout mon amour, tout ce que tu m'insuffles, cette joie vivre si infantile, j'aimerai te soulever et te serrer dans mes bras la tout de suite, te laisser rêver tout près de moi… Mais je te laisse profiter de tes derniers instants de songes, car une fois réveillée, ton sourire espiègle, ton énergie dévorante éreinteront ma patience corrompue par des cernes aigris qui me bouffe l'envie, tu vas parler, parler jusqu'au soir venu ou une fois de plus je t'accompagnerai sur mon dos dans les bras du marchand de sable qui après quelques chants comptiniens recelant mille trésors grivois, viendra t'embrasser des ces rêves d'enfants qui nous berce la nuit…
voilà le premier jour de tes 4 ans, toi ce petit bout de chair qui transforma mes nuits en insomnies, mon égoïsme en altruisme, mon immaturité en père, tu es devenue mon étoile du berger celle qui brille et illumine le champ des étoiles, tu es de toutes mes pensées, de tous mes sourires, de toute ma joie, de toutes mes peines, tu es mes rides qui se dessinent, la responsabilité est grande, celle de te protéger sans t'étouffer, celle de t'éduquer sans t'imposer, libre de ton individualité, tu seras toi…
Je m'inquiète de mon incompétence, de mes maladresses, que tu grandisses dans mon incompréhension, que le temps me vieillisse et me dépasse au point de ne plus se comprendre, de ne plus nous entendre, l'expérience se mature et la bêtise s'enracine, et plus les années passent plus il difficile d'attaquer ce mal qui nous ronge tous, cette sagesse ingrate dont nous sommes convaincus, alors que la sagesse se bâtis sur l'ignorance même de toute chose, car la vérité se grime de nuances, de convictions, de mensonges, elle n'est pas seule mais elle nous leurre, alors j'apprendrais comme je l'ai toujours fait, j'écouterai comme je l'ai toujours fait, je te donnerai un avis, je te donnerai le choix de mes propres erreurs, de mes propres réussites, je te montrerai non pas le chemin mais les chemins, j'essaierai de te guider sans t'influencer, ce sera à moi d'apprendre à te comprendre et à toi d'accepter qui je suis, ce que j'étais et ce que je deviendrai, je suis immuable, je ne reste pas figé dans l'absurdité, dans mon absurdité….
Mais j'ai encore le temps avant tout ce merdier, tu as encore le temps de m'admirer, et j'ai encore le temps de te câliner, il passe vite ce temps, alors je vais tacher d'en profiter, de ne pas oublier, je vais tacher de graver nos souvenirs avant qu'ils se morfondent dans l'oubli d'une mémoire qui vacille, trop pleine et sélective, je vais veiller sur toi, dans la lumière, puis dans l'ombre quand tu le décideras, la vie s'émancipe mais mon amour lui s'éternise…
Au deuxième jour, putain tu me gonfles déjà… habilles toi bordel de merdeeeeeeeeee….
Le 5 autres j'en parle pas même pas, mais une chose est sure : mon amour pour toi sera éternelle…
Sinon le bouquin, c'est du Marc Lévy, léger et simple….
J'aimerai te souffler tout mon amour, tout ce que tu m'insuffles, cette joie vivre si infantile, j'aimerai te soulever et te serrer dans mes bras la tout de suite, te laisser rêver tout près de moi… Mais je te laisse profiter de tes derniers instants de songes, car une fois réveillée, ton sourire espiègle, ton énergie dévorante éreinteront ma patience corrompue par des cernes aigris qui me bouffe l'envie, tu vas parler, parler jusqu'au soir venu ou une fois de plus je t'accompagnerai sur mon dos dans les bras du marchand de sable qui après quelques chants comptiniens recelant mille trésors grivois, viendra t'embrasser des ces rêves d'enfants qui nous berce la nuit…
voilà le premier jour de tes 4 ans, toi ce petit bout de chair qui transforma mes nuits en insomnies, mon égoïsme en altruisme, mon immaturité en père, tu es devenue mon étoile du berger celle qui brille et illumine le champ des étoiles, tu es de toutes mes pensées, de tous mes sourires, de toute ma joie, de toutes mes peines, tu es mes rides qui se dessinent, la responsabilité est grande, celle de te protéger sans t'étouffer, celle de t'éduquer sans t'imposer, libre de ton individualité, tu seras toi…
Je m'inquiète de mon incompétence, de mes maladresses, que tu grandisses dans mon incompréhension, que le temps me vieillisse et me dépasse au point de ne plus se comprendre, de ne plus nous entendre, l'expérience se mature et la bêtise s'enracine, et plus les années passent plus il difficile d'attaquer ce mal qui nous ronge tous, cette sagesse ingrate dont nous sommes convaincus, alors que la sagesse se bâtis sur l'ignorance même de toute chose, car la vérité se grime de nuances, de convictions, de mensonges, elle n'est pas seule mais elle nous leurre, alors j'apprendrais comme je l'ai toujours fait, j'écouterai comme je l'ai toujours fait, je te donnerai un avis, je te donnerai le choix de mes propres erreurs, de mes propres réussites, je te montrerai non pas le chemin mais les chemins, j'essaierai de te guider sans t'influencer, ce sera à moi d'apprendre à te comprendre et à toi d'accepter qui je suis, ce que j'étais et ce que je deviendrai, je suis immuable, je ne reste pas figé dans l'absurdité, dans mon absurdité….
Mais j'ai encore le temps avant tout ce merdier, tu as encore le temps de m'admirer, et j'ai encore le temps de te câliner, il passe vite ce temps, alors je vais tacher d'en profiter, de ne pas oublier, je vais tacher de graver nos souvenirs avant qu'ils se morfondent dans l'oubli d'une mémoire qui vacille, trop pleine et sélective, je vais veiller sur toi, dans la lumière, puis dans l'ombre quand tu le décideras, la vie s'émancipe mais mon amour lui s'éternise…
Au deuxième jour, putain tu me gonfles déjà… habilles toi bordel de merdeeeeeeeeee….
Le 5 autres j'en parle pas même pas, mais une chose est sure : mon amour pour toi sera éternelle…
Sinon le bouquin, c'est du Marc Lévy, léger et simple….
