Citations sur Une larme m'a sauvée (115)
Tant que l'arbre ne crie pas, le bûcheron scie...(36)
Cinq frères et sœurs, c’est une tribu. Et une tribu, c’est important quand il s’agit de se défendre.
De façon générale, il me semble que les médecins doivent admettre qu'ils ont aussi des comptes à rendre. On peut tous se tromper, mais la première façon de réparer son erreur est de l'admettre. Il est irresponsable d'annoncer un pronostic fatal à un proche sur le simple fait d'une conviction, fût-elle intime; et il est choquant de ne jamais juger utile, par la suite, de venir s'en expliquer.
Avoir la vie d'un autre entre ses mains ne fait pas nécessairement de soi un dieu.
L'homme a la tête dans les étoiles et les pieds sur terre. D'un côté les grandeurs de l'esprit, de l'autre les soucis digestifs.
Je suffoque.Que font-elles? Pourquoi ne m'anesthésient-elles pas? Mon âme hurle, et ce cri silencieux est le plus désespéré qui soit[...]Comme je voudrais vomir, pleurer, gémir, hurler, taper...[...] Mais je reste toujours aussi tranquille, impassible, apparemment consentante, aussi inerte que le tronc sur lequel la tronçonneuse s'acharne. Tant que l'arbre ne crie pas, le bûcheron scie..
Je me compare à un arbre: ça ne bouge pas, un arbre, c'est inerte,ça ne dit rien, ça ne crie même pas quand on le coupe; et pourtant, ça vit. Si l'on décidait de me débiter en tranches,là,maintenant, moi non plus, je ne pourrais pas protester
Le principal problème, à mon avis, c'est que, trop souvent, le corps médical oublie que derrière la maladie, il y a .. un malade. Et qu'il faut soigner les deux. Et s'il se souvient de la présence du malade, il oublie que chacun est différent. Si vous ne rentrez pas dans le moule, alors gare....
J’ânonne le « Notre Père ». La religion retrouve toujours du crédit dans les moments critiques.
Je me compare à un arbre : ça ne bouge pas, un arbre, c’est inerte, ça ne dit rien, ça ne crie même pas quand on le coupe ; et pourtant, ça vit. Si l’on décidait de me débiter en tranches là, maintenant, moi non plus, je ne pourrais pas protester.
Je ne suis pas le genre à courir les tombes, c’est vrai. Je pense que les fleurs, il vaut mieux les donner aux vivants. Pourquoi recouvrir les morts sous les bouquets ? Ils sont déjà ensevelis sous la terre.