Wormworld Saga, tome 1 : Le voyage commence

Jonas est un jeune garçon rêveur qui a du mal à s'intéresser à l'école. La vraie vie pour lui c'est d'être en vacances chez sa grand-mère à la campagne. Malheureusement lorsqu'on a des difficultés scolaires on amène souvent des devoirs à faire... Jonas décide alors de se créer un monde en se réfugiant dans le grenier. Jusqu'au jour où il bascule dans un autre monde par une fenêtre magique...

Une bande dessinée cartonnée au format Comic et aux couleurs vives. Dans ce premier volume, "le voyage commence", nous faisons connaissance avec le héros mais nous avons aussi une première approche des créatures merveilleuses et dangereuses qui peuplent ce monde. Les paysages sont bien rendus et les bords noirs apportent un joli rendu aux couleurs.

L'intérêt de ce livre réside aussi dans la part qui est laissée en fin d'ouvrage à l'historique de sa construction. Cela constitue un témoignage de la naissance d'une bd, avec notamment les étapes et le nombre d'heures à consacrer...On y trouve aussi des"fan arts". Par ailleurs, il est possible de retrouver la série sur le web : http://www.wormworldsaga.fr/

Lien : http://cdilumiere.over-blog...

Jonas est un garçon rêveur, il se plait à dessiner et à avoir des aventures imaginaires. C'est chez sa grand-mère que l'inimaginable va arriver : dans le grenier, il trouve un passage qui le mène vers un monde merveilleux. Malheureusement, par un concours de circonstances, il se retrouve bloqué dans ce drôle d'endroit… Il y trouve des créatures dangereuses mais aussi des personnages qui souhaitent le rencontrer.
La couverture de cette BD m'avait attirée avec ces belles couleurs de forêt, j'aime beaucoup les mondes imaginaires et ma fille s'est glissée à mes côtés pour suivre l'histoire de ce jeune garçon. La mise en place de l'histoire est assez longue, Daniel Lieske détaille la vie de ce Jonas qui est plein d'imagination. On découvre assez tard ce monde étrange. La fin de ce premier tome nous a laissé l'envie de savoir ce que Jonas allait devenir et ce qu'il allait se passer dans ce monde. Je ferai une pré-lecture toute seule du tome suivant, j'ai peur que la suite soit un peu effrayante pour une petite fille… A suivre.

C'est très difficile de noter une BD pareille parce que les dessins sont splendides avec une griffe unique, mais je suis nettement moins enthousiasmée par l'histoire pour le moment.
Le format bulle limite la narration c'est certain, mais j'ai eu l'étrange impression de lire une fan fiction illustrée. L'histoire suit un schéma narratif classique et un peu candide où tout se passe avec très grande facilité et avance sans qu'on ait vraiment le temps de s'attarder sur tous les éventuels rejets culturels (et situationnels) auquel le héros pourrait (devrait ?) être confronté.
C'est une histoire classique type Avatar (non pas la version Pocahontas bleue) The Last Airbender : héros découvre qu'il doit se battre contre le méchant qui maitrise le feu, héros est jeune et a peur mais suit le mouvement poussé par une jeune aborigène, héros possède des capacités uniques... Ça sans tous les doutes, les blocages, la difficulté a découvrir et accepter les choses nouvelles, l'intéressement aux autres personnages (qui ne servent pour le moment qu'à donner des informations) etc.
Je note néanmoins que le background du jeune Jonas est encore assez intéressant et original (quoique très "pratique" pour créer de la substance dans l'histoire).
En somme, je dirais que ça vaut le coup d'oeil au moins pour les dessins. Et si le premier tome est un très bel emballage pour un contenu assez creux, il laisse entrevoir l'espoir du développement d'un récit assez riche.
Note : j'ai lu la version numérique.

Jonas vient de quitter l'école primaire pour la dernière fois… et, contrairement à la plupart des autres élèves de sa classe, il ne sait pas encore où il passera sa prochaine année scolaire. Cela ne l'inquiète pas outre mesure : d'un naturel rêveur, passionné par le dessin, son imagination est sans borne, et ce à quoi il aspire aujourd'hui, c'est de se retrouver chez sa grand-mère pour les six semaines à venir. En effet, trois ans plus tôt, il avait découvert, dans la chambre qui lui était destinée, une petite porte dissimulée qui le menait dans des combles où il s'était aménagé son « quartier général secret ». Là, il peut en toute quiétude jouer, dessiner et oublier complètement le monde autour de lui… pour s'en créer un bien à lui ! Il ne se doute pas encore que son voyage pour Wormworld Saga va bientôt commencer…
Mon avis : C'est chaque fois la même chose ! J'ai beau me dire que je ne dois pas lire les critiques sur mes livres avant d'avoir rédigé la mienne, c'est plus fort que moi, je ne résiste pas à l'envie d'assouvir ma curiosité incurable… Résultat, je suis bien démunie quand j'aborde ma propre chronique, n'ayant pas envie de plagier qui que ce soit ou de jouer la répétition du déjà dit ! Je ne suis pas en charge des acquisitions en bandes-dessinées de la médiathèque, d'ailleurs, je recule toujours à l'idée de devoir en critiquer une dans le cadre de mon comité lecture ou d'une masse critique… Et pourtant je n'ai pas pu résister lorsqu'on m'a proposé ce roman graphique, tant la première de couverture et la luminosité qui émane de son illustration m'ont attirée. Et grand bien m'en a pris, je suis sous le charme et je suis d'ors et déjà convaincue que mes jeunes lecteurs vont adorer. Pour moi, ce premier opus est plein de promesses ! J'ai beaucoup apprécié que l'auteur fasse la part belle aux zones de texte bleues qui ajoutent à la narration entre les passages de dialogues. Les illustrations qui jouent magnifiquement avec l'ombre et la lumière, m'ont replongée dans deux univers cinématographiques que j'avais beaucoup aimés : celui d'« Avatar » qu'on ne présente plus et celui du paradis de Chris Nielsen, interprété par Robin Williams dans le film de Vincent Ward, « Au-delà de nos rêves ». Bien sûr, je n'en resterai pas là et j'attends avec impatience de pouvoir découvrir le second volume à paraitre en septembre prochain pour en apprendre un peu plus sur ce petit bonhomme, chez qui je ne peux m'empêcher de sentir une faille, une blessure, une souffrance… A la fin de l'ouvrage, un dossier d'une bonne vingtaine de pages richement illustrées nous raconte le cheminement de l'auteur pour en arriver à cet ouvrage abouti. Et la cerise sur le gâteau, c'est l'ajout d'une carte de collection au colis : la mienne représente une illustration du troisième chapitre (page 76), Jonas au pied d'un arbre magnifique, qui n'a pas été sans me faire penser au « destrier du redoutable » rencontré dans la mythologie nordique… ;-) Un grand merci à Babelio, aux éditions Dupuis et un grand bravo à Daniel Lieske pour cet émouvant voyage qu'ils m'ont permis.
Public : A partir de neuf – dix ans
Si vous voulez vous rendre sur le site en anglais de l'auteur et illustrateur, Daniel Lieske, vous pouvez suivre cette adresse :
http://daniellieske.com/
Vous y trouverez un lien qui vous mènera directement sur son blog :
http://daniellieske.blogspot.fr/
Si vous désirez découvrir la version numérique, vous pouvez suivre cette adresse :
http://www.wormworldsaga.fr/
Après une intro sous forme de petite vidéo, vous pourrez voyager dans Wormworld par le biais d'un long scrolling…

Jonas est un jeune garçon rêveur. Les vacances d'été chez sa grand-mère sont pour lui l'occasion de développer son imaginaire (plutôt que de faire ses devoirs !) grâce à la petite porte donnant sur le grenier. Là, il découvre un tableau aux drôles de pouvoirs qui lui permet d'accéder au monde magique de Wormworld. L'aventure commence...
Je ne suis pas d'ordinaire une lectrice de bande dessinée mais je dois dire que je suis tombée sous le charme du graphisme de cet ouvrage : les couleurs éclatantes et l'utilisation de la lumière sont vraiment réussies.
L'histoire, quant à elle, permet de présenter le décors de cet univers onirique ainsi que les personnages de Jonas, garçon attachant, de Raya, majestueuse guide, et d'un mystérieux être qui reste dans l'ombre.
Dans ce premier opus, les bases de l'aventure sont posées. Il ne reste plus qu'à attendre le tome 2...

« Je tâche souvent de me convaincre que ces mémoires incroyables qui me viennent de l'enfance ont été des sortes de rêves. Les endroits fabuleux que j'ai visités, les amis que je m'y suis fait, et les batailles livrées côte à côte... »
Voici les paroles de Jonas, au début des vacances scolaires, en attendant son entrée au collège.
Jonas devra grandir, cesser de laisser son imaginaire divaguer, prendre le dessus, il devra répondre aux attentes de ses professeurs et de son père.
Pourtant, le crayon ne cesse de se libérer de la raison et guide ses doigts, griffonnant, illustrant sur ces cahiers, sur ces carnets de correspondance.
Son père lui promet des journées chez sa grand-mère qui ne seront pas que cabanes et escapades sylvestres. Jonas doit grandir.
Pourtant, un jour, de son crayon naît une créature de lumière, un insecte aux couleurs de l'aube qui le guide dans son grenier et semble l'appeler vers une dernière aventure avant d'oublier les combats à l'épée de bois et les batailles de figurines de montres.
Équipé comme un mini-explorateur, Jonas franchit le tableau qui semble avoir avalé l'insecte étincelant. Ayant bien appris sa leçon, Jonas déploie son « fil d'Ariane » et s'aventure dans la lumière qui lui ouvre ses portes.
Jonas eut juste le temps de se tourner une dernière fois et voir son chat Wiggins jouer avec son fils et le couper avec ses dents.
Satané chat ! « Les portes » se sont refermées.

: « Wormworld Saga » de Daniel Lieske semble appeler les amateurs de Fantasy, de mangas et de jeux vidéos tant graphiquement, techniquement et de façon iconographique nous semblons baigner dans ces univers qui se croisent et se mêlent régulièrement.
Le tome 1 « Le voyage commence » rend un peu hommage à tous ces enfants et ces parents restés de grands garçons et de grandes filles. En effet, c'est le public cités, entre enfance et « adulescence », nourries de Fantasy et de mondes imaginaires extraordinaires promettant mille aventures et évasions possibles.
En se lançant dans ce dernier voyage vers l'imaginaire avec son épée de bois, sans doute Jonas développera des qualités qui le rendront peut-être un peu plus responsable comme l'exige son jeune âge sortant de l'enfance.
L'univers de cette BD aux personnages hybrides, mi faune mi flore, surfe sur la beauté des couleurs chatoyantes et roses et l'inconnu que nous découvrons pas à pas, bien moins accueillant.
Cela rappelle l'univers d'Avatar », où un fauve aux tons vifs et bariolés comme un jouet pour enfant pourrait vous croquer sans merci.
Méfions nous donc des apparences.
La fin du volume nous renseigne sur l'origine et la conception des personnages.
De quoi nous mettre en jambe avant de gagner le Tome 2, « Le refuge de l'espoir ».
A découvrir !

J'ai découvert cette BD en ligne sur le site de l'auteur par le biais de la critique de LiliMaya.
Et quelle découverte !
D'une part, j'adore les graphismes, colorés et très vivants de cette histoire. le prisme coloré de la végétation est grandiose.
L'histoire n'est pas sans rappeler des intrigues similaires de voyage entre les mondes par l'entremise de créations : L Histoire sans fin ou Coeur d'encre. C'est un thème assez récurrent : on démarre donc l'histoire dans un cadre familier, les vacances d'été, une visite familiale et un endroit secret, des rêves d'ailleurs et soudain les possibles s'ouvrent au petit héros mais toute l'originalité de ce récit réside dans cette forêt inédite et chamarrée, aux abords plutôt attrayants de par ses couleurs vives. Mais comme souvent les apparences sont trompeuses et les frondaisons recèlent bien des dangers et des menaces.
Une fin de tome inquiétante mais qui donne diablement envie d'aller lire la suite de cette saga qui promet d'être haletante.

C'est le dernier jour de l'année scolaire et le début des vacances d'été pour Jonas. Nous sommes en 1977. À la rentrée prochaine, il ira au collège. Mais Jonas n'est pas un fervent écolier, si bien que son père ne lui a pas encore dit dans quel établissement il se rendrait... probablement en pension... Débordant d'imagination, il peine à se concentrer sur son travail. Son père compte donc qu'il mette à profit son temps libre pour réviser intensément. Jonas ne voit évidemment pas les choses de la même manière.
Surtout qu'il va passer l'été avec son père chez sa grand-mère à la campagne. Là-bas, Jonas a ses ses habitudes : par une trappe secrète il accède de sa chambre au grenier où il a fait son repaire et lorsqu'il n'y est pas, il part à l'aventure dans la forêt avec Lotti le chien de sa grand-mère vêtu de son pull rouge fétiche, son sac à dos d'explorateur, ses gants d'escalades et son épée en bois.
Mais cet été-là sera différent...
Un jour, alors qu'il dessine tranquillement allongé sur le sol, le monstre qu'il est en train d'esquisser prend vie et s'envole. En voulant l'attraper, Jonas déambule dans les combles jusqu'à un tableau rempli de lumière, une lumière aveuglante et terriblement attirante. le monstre de papier entre à l'intérieur.
Courageux, curieux et ravie de quitter ce monde où les devoirs et les notes sont légions, Jonas s'engouffre à son tour dans le tableau. Il pénètre alors dans une forêt dense et incandescente. Une étrange et menaçante créature tente de l'approcher, heureusement il est sauvé in extremis par une jeune femme. Raya, puisque tel est son nom a pour mission de conduire Jonas vers son maître, qui est manifestement au courant de sa venue...
L'auteur, Daniel Lieske, est un artiste numérique. Généralement, je ne suis pas fan de ce genre d'illustrations mais je dois avouer qu'il y a dans cette bande-dessinée un joli travail sur la lumière et les contrastes. L'alternance de taille des vignettes, la différenciation de couleurs des bulles et le fond noir rendent la lecture plaisante. L'histoire (ce n'est que le premier tome) est convenue mais on imagine que la suite réserve quelques surprises.
C'est sur internet que l'auteur a commencé cette saga et devant un lectorat grandissant décide de la publier en version papier. (son site : www.wormworldsaga.fr)
À la fin de ce premier tome, on découvre la genèse de Wormworld et de ses personnages.
Une bande-dessinée qui devrait plaire aux enfants passionnés par la fantasy, à partir de dix ans.
Lien : http://lesmotsdelafin.wordpr..

Une fascinante aventure, un graphisme somptueux pour une création numérique originale !
Wormworld saga a été lancée en V.O sur le web, avec un mode de lecture proche de celle des papyrus: le scrolling, un déroulé vertical et enchaîné des cases. le principe correspond parfaitement à la plongée du héros dans un monde souterrain. Son auteur communique régulièrement sur l'avancée de son travail sur son blog. Les éditions Dupuis qui ont lancé la plateforme française où la lecture des premiers chapitres est gratuite, publient maintenant version papier les trois premiers chapitres de l'aventure ainsi qu'un cahier spécial artbook absolument fascinant dans ce tome un "le voyage commence". le tome deux est prévu en septembre.
On pense à un film d'animation au scénario certes pas très original (un jeune garçon qui bascule dans un monde fantasy c'est déjà vu) mais magnifiquement retranscrit, dans des couleurs et textures somptueuses.L'univers luxuriant et le mythe du Wormworld sont d'une richesse incroyable. Armé de son courage, son épée en bois et son vieux pull en laine rouge, Jonas va vivre la plus incroyables des aventures. Lui qui s'ennuyait pendant ces vacances et aspirait à de fabuleuses péripéties, il a juste traversé un tableau dans le vieux grenier de sa grand-mère...
Lien : http://www.petitesmadeleines..

Pour Jonas, c'est le dernier jour d'école, les vacances commencent. Pourtant, l'on sent tout de suite que l'univers de Jonas n'est pas aussi tranquille que devrait l'être celui d'un enfant de son âge. Sa mère n'est plus, et je me suis demandé si sa disparition n'était pas liée à la phobie du feu du jeune garçon. Chez sa grand-mère, il doit faire impérativement des devoirs de vacances, si ce n'est qu'il préfère s'évader dans son monde, avant de découvrir véritablement un autre monde.
Visuellement, ce livre est très beau. Les couleurs sont chatoyantes, les personnages fortement caractérisés. Les créatures du "Wormworld" sont intrigantes, tout comme la mission que devra mener à bien le jeune Jonas. Pourtant, je suis restée sur ma faim, justement parce que l'aventure ne fait que commencer, et que j'aurai aimé que l'intrigue soit plus développée. J'espère que ce sera le cas dans le second tome.
Un grand merci à Babelio et à Casterman pour ce partenariat.
Néanmoins, je suis certaine que ce livre plaira aux plus jeunes, et leur permettra de stimuler leur imagination. A ne pas rater, le bonus final, qui explique la genèse de l'oeuvre.
Lien : http://deslivresetsharon.wor..