AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782072681738
448 pages
Gallimard (12/04/2018)
3.29/5   7 notes
Résumé :
Sept femmes qui ne se connaissent pas se retrouvent dans un endroit étrange. Où tout est blanc et où le temps s'écoule différemment. Elles ne partagent pas la même langue ni la même culture mais toutes se posent les mêmes questions : où sont-elles et comment sont-elles arrivées là ? Chacune va raconter son histoire, dévoilant peu à peu la raison de sa présence. Schlomith est new-yorkaise, anorexique de profession et performeuse. Polina est comptable à Moscou, férue ... >Voir plus
Que lire après OneironVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Dans un lieu indéfinissable, blanc, se retrouvent sept femmes qui ne se connaissent pas. Ilsemblerait qu'elles soient mortes.
50 pages à ne strictement rien comprendre
50 autre puis, l'histoire de Rosa Imaculada retient mon attention.
D'autres passages délirants suivis des histoires des autres filles.
Sont-elles en enfer ? Sont-elles au ciel ?
C'est très bien écrit mais beaucoup trop alambiqué et hermétique pour moi.
J'ai survolé une multitude de pages, peiné sur beaucoup d'autres. Seuls quelques moments m'ont semblé compréhensibles.
J'espère que d'autres lecteurs seront plus réceptifs car c'est un livre ambitieux qui mérite certainement l'intérêt de certains.
Commenter  J’apprécie          210
Cinquante premières pages... je crois que je vais arrêter.... qu'est ce que c'est que ce bouquin... dans quoi ma curiosité m'a t elle une fois de plus entraînée.... je n'y comprends pas grand chose, c'est symbolique, c'est mystique, c'est chi..t ?
Et puis une phrase m'interpelle "Les choses commencent à bouger quand on cesse d'avoir peur et qu'on laisse le temps ralentir."
Je crois que c'est tout à fait cela, prendre chaque mot, chaque phrase, chaque paragraphe l'un après l'autre .... lâcher prise ... se laisser porter par l'histoire ou les histoires .... je n'ai plus peur, je ne m'ennuie pas, je perds la notion du temps, je suis tour à tour l'américaine Schlomith, la soviétique Polina, l'africaine Maimouna, Nina la française, Rosa Imaculada la brésilienne, Ulrike l'autrichienne, sans oublier celle qui vient d'on ne sait pas où sinon d'un hôpital, Wlbgis.
Je suis toutes ces femmes à la fois dans un espace temps indéterminé et dans un lieu qui n'existe pas.
Autant être prévenu, cette lecture est lente, sinueuse, parfois obscure et symbolique.
Ce bouquin flirte avec l'au delà, tout en ressenti ... tout au long de ces pages, il faut se dire, se répéter, il faut.... lâcher prise, se laisser porter par le texte, les sentiments ....
Lecture déroutante, attachante, nécessite toutefois d'être plutôt en forme et l'esprit libre !
Commenter  J’apprécie          50
J'ai plongé dans ce roman par hasard, un titre sonnant grec avec une auteure à l'air scandinave pour l'été c'est parfait! "Oneiron" vient de Finlande et je lui souhaite de traverser les frontières tellement il m'a ravie et secouée!
Un récit incroyablement décousu de 6 femmes vraisemblablement mortes qui se retrouvent et s'interrogent dans un espace blanc insensible. Elles nous interrogent sur la mort, la religiosité, la famille, la jeunesse, l'addiction, la maladie, l'art et la vie... Une réussite!
Commenter  J’apprécie          30


critiques presse (1)
LeDevoir
10 septembre 2018
Dans le roman de Laura Lindstedt, la fiction devient parfois poésie, théâtre, coupures de journaux ou essai.
Lire la critique sur le site : LeDevoir
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Comment peut-on, plus généralement, punir une tentative de suicide ? (Cela peut aller jusqu'à la pendaison, comme dans l'Angleterre du XIXe siècle. La dépouille était aussi profanée de façon posthume ; l'église ne renonça à cette pratique qu'en 1823. Dans la France de l'Ancien Régime le suicide était un crime de lèse majesté. Dans la Grèce antique il fallait demander l'autorisation de se suicider auprès d'un tribunal. Nous avons également connaissance du cas où les médecins recousaient le prisonnier qui s'était tranché la gorge pour qu'il soit dûment pendu.)
Commenter  J’apprécie          50
Un monticule pareil couleur chair accroché à un humain, et on prétend que c'est naturel ? Et où est ce que ça repart, tout ça, après l'accouchement ? Est ce que ça retombe comme un soufflé dont le sommeil aurait été interrompu par l'ouverture intempestive de la porte du four... ?
Commenter  J’apprécie          40
Le plus sage que tu aies à faire, c'est de laisser de l'espace à ta fille. Laisse la prendre son indépendance. Quand plus personne ne la menacera, métaphoriquement, quand plus personne ne dévorera son espace vital, elle découvrira son corps et apprendra peu à peu à en jouir.
Commenter  J’apprécie          40
Mais vous savez, le visage des gens change quand le malheur les touche. Sur le visage se dessinent des signes que les yeux attentifs savent lire.
Commenter  J’apprécie          70
Les choses commencent à bouger quand on cesse d'avoir peur et qu'on laisse le temps ralentir.
Commenter  J’apprécie          30

autres livres classés : performances artistiquesVoir plus
Les plus populaires : Non-fiction Voir plus

Autres livres de Laura Lindstedt (1) Voir plus

Lecteurs (24) Voir plus



Quiz Voir plus

Etes-vous incollable sur la littérature scandinave ?

Qui est l'auteur du roman "Bruits du cœur" ?

Herbjørg Wassmo
Jens Christian Grondhal
Sofi Oksanen
Jostein Gaarder

15 questions
149 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature scandinaveCréer un quiz sur ce livre

{* *}