Novaé Lita/5
6 notes
Résumé :
Ce recueil met en lumière une étendue de possibles et d’inattendus. L’œuvre contient des lettres qui prennent vie, les poèmes sont libérés du noir, ils deviennent des songes attrapés au vol et collés sur le papier. La poésie classique est ici transformée en poésie libérée. Chaque mot devient une entité, et cette entité a une voisine : une illustration. L’auteur créée un alphabet poétique et un chant aux rêveries oubliées. Novaé Lita nous propose une façon ludique, f... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5)
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Très surprise par ma lecture je n'ai pas toujours tout compris mais c'est ce qui fait le charme de la poésie impossible de se mettre a 100% dans la tête de l'auteur , les illustrations sont très originales un peu picassotées
Lu en une soirée ! Sympa toutes ces couleurs dans les poèmes ! Je valide même si un peu frustrée de l'avoir finie en moins de 2h il se feuillete facilement c'est agréable
Les avares de poèmes adorerons,
on se laisse envoûter par une jeune plume ,il se lit très vite , à quand la tome 2?
on se laisse envoûter par une jeune plume ,il se lit très vite , à quand la tome 2?
Aussi apaisant qu'intriguant on se délecte volontiers de ce met
Très bonne idée d'illustrer ces poèmes , bonne découverte
Citations et extraits (4)
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“...La mort deviens vie
Mûrissent alors
tout les fruits. ”
“Demain je garnirais tes joues
D’amandes de mertensia et d’allium
Tu enfanteras la beauté des mondes à venir”
“Parce que tout s’éteins je donne mes mots, pour que le feu qui les animes ne cède au chao.”
Mûrissent alors
tout les fruits. ”
“Demain je garnirais tes joues
D’amandes de mertensia et d’allium
Tu enfanteras la beauté des mondes à venir”
“Parce que tout s’éteins je donne mes mots, pour que le feu qui les animes ne cède au chao.”
Mes larmes acrobates s’agitent dans le brouillard
Tu es l’amant à la lame qui me guette sous l’eau
Tu es l’amant à la lame qui me guette sous l’eau
« J’ai tissé ton histoire sur un drat volant
, à l’aide d’une dague au miroir aveuglant
Tu aurais du me croire
lorsque ton manteau fumait
J’ai fait mon devoir
Mais seul un phénix renaît »
, à l’aide d’une dague au miroir aveuglant
Tu aurais du me croire
lorsque ton manteau fumait
J’ai fait mon devoir
Mais seul un phénix renaît »
Tu es l’étranger passager
Qui condamne à aimer .
Qui condamne à aimer .
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