L'orangé est une variante du rouge mais nous lui accorderons une classification particulière car certaines religions d'Orient considèrent que l'orangé est la couleur du soleil et lui rendent hommage, C'est une bonne couleur, et ceux qui ont une belle teinte orangée dans leur aura sont fondamentalement bons, ils s'efforcent toujours de venir en aide aux plus malheureux qu'eux. Le jaune-orangé est excellent car il dénote la maîtrise de soi et bien d'autres vertus.
L'orangé brun appartient à l'être paresseux qui se « moque de tout ». Cette teinte révèle également des reins malades. Si elle se situe au-dessus des reins et comporte des traces de gris, elle indique la présence de calculs.
Un orangé teinté de vert est signe de tempérament coléreux, chicanier, et quand vous
aurez progressé, au point de distinguer les teintes dans les teintes et toutes les nuances,
alors vous aurez la sagesse d'éviter de discuter avec ceux qui possèdent du vert dans l'orangé parce qu'ils manquent d'imagination, pour eux tout est noir ou blanc, ils manquent de subtilité et ne savent distinguer les nuances d'opinion de savoir de couleur.
La personne affligée d'un orangé verdâtre discute interminablement pour le plaisir de discuter, sans même se soucier de la valeur de ses arguments.
D'autres disent encore : « Et tous les explorateurs qui sont allés au pôle nord ou au pôle sud ? S'il y avait eu un trou dans l'écorce terrestre, ils l'auraient trouvé. »
Là encore, la réponse est non. Ce n'est pas vrai. Personne n'est allé au pôle nord, personne n'est allé au pôle sud. Nous disposons de rapports rédigés par des gens qui sont parvenus à proximité de l'un ou l'autre pôle et qui ont continué d'avancer pendant des kilomètres et des kilomètres. En d'autres termes, ils se sont plus ou moins perdus. L'histoire ancienne, et l'histoire moderne aussi, nous apprend que les marins repèrent souvent des débris flottants qui viennent des pôles (j'emploie le mot « pôle » pour me
conformer à l'usage et pour que la localisation soit précise). Parfois, ce sont même des animaux ou des oiseaux. Or, tout le monde sait qu'on ne trouve ni oiseaux ni insectes, pas plus au pôle nord qu'au pôle sud. Sans parler de feuilles vertes. Alors, d'où viennent ces épaves ? De l'intérieur de la Terre, évidemment.
Bien que l'humanité fut revenue à un état sauvage, toute civilisation cependant ne disparut pas pendant ces Années noires. Sur certains points isolés à la surface du globe, de petits groupes d'hommes et de femmes, plongés dans les ténèbres infernales de la sauvagerie, luttaient désespérément pour ne pas laisser mourir la connaissance, pour ne pas laisser s'éteindre la faible flamme de l'intelligence humaine. Au cours des siècles suivants, les religions évoluèrent beaucoup et de nombreuses recherches furent entreprises pour essayer de découvrir la vérité sur ce qui s'était passé. Or, pendant tout ce temps, dans les cavernes profondes du Tibet, était caché le Savoir suprême, gravé sur des plaques d'or incorruptibles, immortelles, attendant ceux qui les découvriraient et qui pourraient les déchiffrer.
Je crois que les habitants de l'intérieur de la Terre sont un peuple très, très hautement développé, qu'ils ne sont autres que les survivants de la Lémurie, de Mu, de l'Atlantide et de beaucoup d'autres civilisations encore plus anciennes. La Terre a été ravagée par des Cataclysmes, des tempêtes, des météores et tout le reste, les habitants de la surface ont fréquemment été décimés. Mais, à l'intérieur, la vie se poursuit sereinement sans être perturbée par les événements du dehors et la Connaissance spirituelle et scientifique a par conséquent progressé.
Première bande enregistrée par Lobsang Rampa en 1960, sous-titrée en français (traduction tirée du livre "Les apocryphes et autres inédits de Lobsang Rampa" aux éditions lulu.com)