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sur 4188 notes
Comment retenir ses larmes ? Comment empêcher ces grosses gouttes de couler l'une après l'autre, de s'écraser lourdement sur la dernière page de ce roman bouleversant ? Comment ne pas laisser l'émotion te submerger, le noeud dans la gorge se resserrer, la boule au ventre alourdir ton estomac ?
Comment encore rire, respirer, y croire ?
Comment ce putain de bouquin te fout une mandale !
Les mots viennent, s'agitent, butent et culbutent dans ma caboche.

Putain mais c'est quand la dernière fois qu'un bouquin t'a procuré autant d'émotions ?

Henri Loevenbruck signe un sublissime roman, un de ceux qu'on emporterait avec soi sur une île déserte, qu'on essaierait inutilement de préserver de l'usure et des ravages du temps mais dont on gâterait le papier de nos doigts gourds jusqu'à l'usure de nos relectures.

Ses mots sont comme de l'encre sur le bitume, puisé de la gomme de ses pneus, la route étant le papier où il y grave l'histoire.

Ce livre est évidemment une ode à la liberté, un "Sur la Route" survitaminée et motorisée, un Jack London des routes goudronnées, un Hemingway de l'asphalte.

L'histoire d'Hugo est intemporelle et pourtant marquée dans le temps. La vraie question posée dans le livre est cette définition personnelle que chacun a de la liberté.
Comment la faire sienne ? Pourquoi la refusons-nous finalement le plus souvent ? Peut-elle durer ? Est-elle accessible dans ce monde de règles et de contraintes ? La fuite en avant peut-elle être le rempart contre l'immobilisme ? On peut se poser plein de questions, y apporter autant de solutions, mais ce n'est que dans les vibrations de son coeur que chacun y trouvera le moteur de SA réponse.

Henri ! Qu'on dresse sur le champ un mausolée à Hugo et ses potes ! Un lieu de recueillement où l'on se rendra à chaque fois que l'on laissera la paresse et les habitudes de la vie quotidienne ronger notre liberté.

Qu'on les envie, le Hugo et sa bande de potes. Qu'on envie leur rencontre, leur amitié, leurs joies, leurs peines, leurs victoires, leurs défaites, leur bonheur, leurs déchirures, leurs insouciances,

Roman d'excès, de brûlure de vivre, de soif de jouir, de rage au ventre et de coeurs meurtris, ce bouquin fait bouillonner notre sang.
Oui, ça se drogue, ça se castagne, ça baise, ça s'échange, ça se mélange, ça vibre, ça vit. Oui ça vit. Tout simplement.

Putain qu'on lui file le Goncourt et qu'on arrête de nous bassiner avec des auteurs chiants !

Ce roman donne l'envie de se lever, de monter sur la table, de porter un toast et de hurler à s'en vider ses poumons à l'amitié indéfectible et éternelle !

Putain Henri, t'as réussi ton pari. Nous désarçonner, nous faire poser le pied à terre, nous chambouler et nous faire rentrer dans la bande souriante, complice et grandissante de ceux qui t'ont lu. Peut-on rêver meilleure compagnie ?

Les rugissements des moteurs martèlent dans mes oreilles. Me rappellent à l'ordre. Je tourne la tête, Je regarde mes potes qui me sourient. Une dernière fois avant le grand voyage.
Attendez-moi les gars !

Lien : http://cestcontagieux.com/20..
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Quelle putain de virée !
Quel putain de bouquin !
C'est sans doute comme ça qu'ils en auraient parlé, Bohem et ses potes…

Pour ma part, on va pas se mentir, l'univers bécanes et bikers c'est pas que j'aime pas, mais c'est surtout que jusqu'à présent j'y connaissais que dalle. Maintenant je me sens forcément un chouïa moins ignare sur le sujet, et ça c'est cool. Mais la question n'est pas que là. Car si les aventures de ces gamins idéalistes et un peu paumés tournent autour de la bécane, des substances stupéfiantes ou de la castagne à tout va, qu'on ne s'y trompe pas, elles sont avant tout un hymne humaniste et splendide à la loyauté, à l'amitié, et bien sûr à la liberté.

Rien à redire, Henri Loevenbruck ne triche pas, fignole l'air de mine de rien son écriture très "parlée" et question scenario maîtrise impeccablement l'affaire. Son histoire tient la route, ô combien, et jusqu'à la fin, s'intensifiant à mesure que s'étoffe la bande à Bohem dont les personnages attachants et parfaitement campés (aaah le Chinois…) m'ont rappelé, dans leurs errances, les héros du Chardonneret de Donna Tartt.

« Bohemian Rhapsody » a tourné en boucle dans ma tête pendant toute la lecture de ce bouquin, ça lui va tellement bien. Question émotion je suis déjà pas bien fière quand j'écoute ce morceau, mais j'ai tenu bon… jusqu'aux dernières lignes, qui ont finalement eu raison de mon petit coeur qui saignait déjà un peu. Là, il faut que je te dise, j'ai dû partir dans un coin discret pour planquer ma larmichette. Cette chute comme j'en ai rarement lues, intelligente, puissante et magnifique, est une apothéose fatale digne de ce roman sincère et bouleversant.

Ça risque de pas être facile de vous dire tout ça de visu, Henri, sans donner derechef dans la manifestation lacrymale intempestive (permettez au passage que je prenne la… liberté de vous appeler Henri, après une telle équipée sauvage en votre compagnie, que mon brushing il en est encore tout en vrac).
Non vraiment, ça va pas être facile.

Ҩ

Merci – le mot est faible – à Babelio et aux éditions Flammarion de m'avoir sélectionnée pour ce voyage mémorable.



Lien : http://minimalyks.tumblr.com/
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J'ai envie de HURLER à tous ceux qui n'ont pas encore lu ce livre :
Achetez le, empruntez le, échangez le, volez le. ..mais surtout lisez le. ....
Ne faites pas comme moi qui l'ai laissé des mois
dans ma PAL parce que :
Bof encore un road movie. ...une bande de copains inséparables. ....
Je ne vais pas vous racontez l'histoire, tellement d'autres l'ont fait avant moi ici et avec tellement plus de talent!
J'ai eu le sourire aux lèvres tout au long de la lecture, et le coeur retourné aussi. ...oui oui .
Ce livre est une explosion d'émotions !!!!
Au final que vous soyez amateurs de BD ,fantasy, polars, philosophie et autre, ne soyez pas sectaires. .lisez le! !
Des années que je n'avais pas été "scotchée "
Par un livre comme ça! !!!
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On s'connait pas mais vous pouvez m'appeler Bohem. C'est pas mon vrai blase mais c'est ce qui me caractérise le mieux alors autant garder les bonnes vieilles habitudes. L'école, pas vraiment accro. Non, moi, mon truc, ma came, c'est rouler. Enfourcher Lipstick et tracer la route à côté de Rascal, la bécane de mon pote Freddy. Ni devant, ni derrière mais côte à côte jusqu'à ce que la ligne d'horizon nous avale. Et bon dieu, j'en ai bouffé du bitume, vous pouvez me croire. J'ai eu mon lot de galère, comme tout le monde, mais j'ai vécu selon mes règles et ça, ça vaut tout l'or du monde.
Sur ma tombe, comme épitaphe ? Facile, Nous Rêvions Juste de Liberté.

La claque inattendue, sauvage, magistrale.
Ode à l'amitié, belle, pure, de celles qui transcendent, qui submergent, jusqu'à l'aveuglement parfois.
Poème lyrique et furieux sur l'insoumission et le nomadisme. Etre affranchi de toute contrainte et ne plus faire qu'un avec le vent. Se gorger de liberté sans rien attendre en retour. Ne rien devoir à personne si ce n'est ses frères de route et surtout rester fidèle à cet adage biblique transmis entre initiés, LH&R: loyauté, honneur et respect.
Un groupe, pour rester soudé, a besoin d'un leader mais pas que. Les bastons, les bitures, les drames et autres péripéties du même tonneau, ça vous forge un clan. Tracer la route à 2, 20 ou 200 mais ne faire qu'un. Partager les mêmes rêves et prier pour qu'ils durent jusqu'au jugement dernier si tant est que l'on croit en ces bondieusetés.
Rouler encore et toujours sans jamais s'arrêter car dans le cas contraire, c'est le déclin assuré.
Mais c'est dans la nature des choses, rien ne dure vraiment...

Nous Rêvions Juste de Liberté est un road-movie initiatique d'une puissance peu commune que l'on quitte le coeur débordant d'allégresse et les yeux emplis de larmes...
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K.O... Couché, roué de coups. Un uppercut, et... la lumière.
Ce livre m'a sonné.
Je n'aurais pas de mots assez forts pour dire ce que j'ai ressenti à la lecture de ce roman. Je peux juste conseiller d'aller jeter un oeil à certaines critiques déjà publiées sur Babélio, d'autres lecteurs ont su si bien y exprimer leur sentiment.
Ce livre entrera sans nul doute au Panthéon de mes lectures.
Henri Loevenbruck nous entraine dans un road movie à travers l'Amérique ou, comment quatre ados vont découvrir le monde des adultes, mais pas n'importe lequel, celui des bikers, ces motards en marge de la société.
Sexe, drogue et rock'n'roll. Petit délinquant deviendra grand...
Une histoire d'amitié, de fraternité, de liberté.
L'amitié, ça se mérite, la fraternité ça se respecte, la liberté... ça se paye cher.
On se prend de sympathie pour ces personnages que l'on suit dans leur épopée. On vit avec eux, on rit avec eux, on pleure avec eux, en encaisse les bons et les mauvais coups.
Au moment où l'on tourne la dernière page, les yeux humides, on sait qu'on n'oubliera pas de sitôt Bohem, Alex, le chinois ou Freddy..
On sort, un coup de kick, on démarre le chopper, et on part vers des rêves de grands espaces et d'aventures.
Moi je vous le dis, haut et fort, si vous voulez en prendre plein la gueule, jetez vous sur ce livre...
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J'ai lu ce livre comme on regarde un road movie époustouflant, bordés de paysages arides, de sensations extrêmes et d'émotions contraires. Il y a, dans ce livre, un peu du film "easy rider", un peu de "la fureur de vivre" aussi, et beaucoup de "nous rêvions juste de liberté".

Le style, tient plus du langage parlé mais le narrateur, Hugo, alias Bohem, s'exprime dans une tonalité d'une justesse touchante. Il raconte sans jugement de valeurs (ce que j'ai apprécié et, ce qui rend, entre autre, les personnages si attachants), sa rencontre avec Freddy, son intégration dans la bande, l'apprentissage des MC (Motos Clubs).

Ces adolescents, écorchés par la vie, rebelles, bagarreurs, délinquants, deviennent, sous le regard de Hugo, des durs au coeur mou, qui s'accrochent les uns aux autres, des frères, qui tracent leur route, cheveux au vent, sur fond de sexe, drogue et rock & roll, toujours plus haut (trop haut ?),

Cette chevauchée tribale est avant tout un hymne fervent à la Liberté et à l'Amitié. L'une et l'autre s'y déclinent de mille et une manières. Que ce soit dans la liberté sauvage, brutale, celle qui mord à pleine dents comme une rage de vivre, ou celle qui procure le plaisir de l'aventure, ou encore celle source d'apaisement et d'introspection. Que ce soit dans l'amitié, cette Amitié avec un grand A, fraternelle, ou fusionnelle. Sans oublier les trahisons ou les blessures qui parfois s'ensuivent.

C'est aussi un parcours initiatique, celui d'Hugo, qui va jusqu'au bout de ses idéaux et de ses choix. Et pour ne rien gâcher, une fin magistrale qui vous cloue sur place! Rien que pour son final, ce livre vaut la petite virée.




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Ben j'ai pleuré. Fort en refermant ce roman.

Sans doute suis-je fragile en ce moment, en prise avec un flux introspectif à un âge où on peut se souvenir de ce qu'on a été, des rêves qui vous ont explosé la tête, de ceux qu'on a abandonné par facilité, par lâcheté, par routine sédentaire, de ces amis qu'on a aimé plus que tout, des trahisons.
Moi aussi j'ai rêvé juste de liberté. Mais au vu des retours de lecteurs qui sont tous dans le même état que moi, je me dis que le personnage de Bohem est universel, motard pas motard, dans le droit chemin ou pas, on peut tous se reconnaître en lui.

Bohem. Quel magnifique surnom, quel magnifique héros, porteur de tous les idéaux de pureté, de liberté sauvage. En voilà un qui a vécu comme on respire, qui veut vivre jusqu'au bout sans qu'il y ait de bout. Qui a su partir, se débarrasser des toutes les scories familiales et sociales qui allaient le bouffer pour devenir celui qu'il voulait être, radical, exigeant, libre donc. Une famille de coeur, des putains d'amis, à la vie à la mort. Un nomade alors qu'il aurait pu devenir un « casanier de la tête » à rester dans sa ville natale auprès de sa famille toxique.

La liberté en mouvement. J'ai lu goulument, à me saouler cette liberté que je n'ai pas, que peu ont aujourd'hui, la tête emplie de sons, de chansons, d'images. Born to be wild dans le cornet… Bohemian rhapsody qui résonne… Dennis Hopper sur son chopper en leader … Marlon Brando et son équipée sauvage of course… Des flashs de Sailor et Lula ... Des mots de Kerouac ...

Et cette fin ! Voilà vers quoi mes pensées sont allées lorsque mes larmes coulaient en lisant l'épilogue :

« Too late, my time has come, sends shivers down my spine
( C'est trop tard, mon heure est venue, des frissons me parcourent le dos )
Body's aching all the time
( Mon corps est tout le temps douloureux )
Goodbye everybody, I've got to go
( Au revoir à tous, je dois y aller )
Gotta leave you all behind and face the truth
( Je dois tous vous laisser derrière et faire face à la réalité )
Mama oooh (any way the wind blows)
( Maman, oooh (dans tous les cas le vent souffle )
I don't want to die, I sometimes wish I'd never been born at all
( Je ne veux pas mourir, je rêve parfois n'être jamais venu au monde) »
Extrait de Bohemian Rhapsody, Queen
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On ne peut pas dire que l'école, ça soit son truc à Hugo. Pour le punir, ses parents l'ont inscrit à l'école privée de Providence. Ils ne savaient pas alors que ce gamin allait faire une rencontre qui allait changer sa vie. Une rencontre hasardeuse au détour d'un couloir, des parents aux abonnés absent, des fêlures, des envies d'ailleurs, ces gamins partagent plus qu'ils ne le pensaient. Accepté dans la bande de Freddy, le rital sûr de lui que tout le monde admire ou craint, en plus de se faire de vrais potes, à la vie, à la mort, il va se découvrir. Et par là-même donner un tout autre sens à sa vie...

Un tour de cric et nous voilà embarqués en compagnie de Hugo et ses potes. La tête dans le guidon, les jambes bien calées, le vent dans les cheveux, le sable qui fouette le visage, l'horizon à perte de vue et la liberté au bout du chemin. Voilà un road-movie qui fleure bon la liberté, les chevauchées, puissent-elles être fantastiques, et l'amitié. L'auteur met toute son énergie, sa vitalité et sa passion pour la moto pour nous offrir un roman initiatique exalté et exaltant. Passionnant et passionné. Fougueux. Un peu rebelle. L'on suit Hugo, devenu Bohem. On le colle, lui et ses amis. Freddy, Sam, Alex, Oscar et les autres. Comme si on faisait partie du MotorCycle. Comme si leurs histoires si personnelles, leurs blessures, leurs forces, leurs conneries et leurs rêves pleins la tête étaient aussi un peu les nôtres. Et, même si ce rêve de liberté se paie au prix fort, qu'importe... L'ivresse est là. L'écriture, dans le style parler nous invite à la confidence, et nous rapproche d'autant plus d'Hugo, personnage ô combien touchant et attachant dans sa quête de liberté.
Qu'on soit bleu, poireau, caisseux, sac de sable, biker ou au contraire boîte à roues, cette virée bouleversante et ébouriffante nous fera aussi rêver de liberté...

Nous avions à peine vingt ans et Nous rêvions juste de liberté...
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Ils rêvaient juste de liberté et au bout du compte, l'ont-ils trouvé cette foutue liberté? Cette bande d'amis, accrochés tantôt à leur mob tantôt aux barreaux d'une prison... Existe-t-il une frontière à la liberté ? Être libre quand on est jeune, c'est tellement tout et rien à la fois. Alors oui, pour beaucoup, l'adolescence est une des plus belles périodes de la vie, la période où tout est permis, où les limites sont tangibles et transparentes. La bande à Hugo, Oscar, Alex, Freddy, et les autres, ce qu'ils aiment, c'est battre le vent, cogner avant d'en recevoir une, partager l'amour, partager les emmerdes et les plaisirs sauvages. Leur bande c'est des valeurs aussi, loyauté, honneur, respect. C'est une bonne dose d'amitié en pleine figure, ils rêvent d'une amitié infaillible, ils sont comme des frères, comme les mousquetaires, ils sont insouciants, naïfs, ils rêvent et c'est peut-être là-bas qu'elle se terre, la liberté.
Naître et grandir dans les baffonds d'une famille, d'une ville sans éclat, vouloir en sortir, embrasser l'amitié comme seule issue possible, corps et âme et se dire qu'elle est là, la liberté.

Roman entièrement immersif dans cet univers de jeunes dépossédés, tout y est pour nous faire plonger avec cette bande de jeunes, le langage, la violence, la drogue, les rêves éhontés de jeunes en cavale obsédés par cette liberté qui n'a pas de prix. Une liberté qui pousse des idées de bonheur, de meilleur, mais quand on est jeune, on ne mesure pas vraiment la cachette de la liberté et du bonheur. Ce ne sont que des rêves éparpillés qui crèvent dans le ventre du malheur, des rêves six pieds sous terre sous la croûte noire de jeunes en sang.
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En commençant ce livre, je m'attendais à un livre d'aventures, proche de la nature, dans le genre "Into the wild".
Et bien, pas du tout...
On rencontre ici des jeunes, style "sales gamins", une bande de "p'tits cons" comme on pourrait les appeler. le genre de jeunes pas "bien sous tout rapport", et qui "vont mal tourner" !!!
Et pourtant, on s'attache à ces jeunes, on leur pardonne leurs aventures pas toujours très nettes, leurs expériences... Et on parcourt le pays à moto avec eux, au fil de leurs rencontres.
Ce livre, c'est l'histoire de Bohem. Bohem et ses rêves, ses illusions, et ses désillusions.
C'est l'autre côté du miroir qui n'est pas vraiment noir, tout compte fait...
Le rêve, la liberté, la fraternité, l'amitié, la fidélité. Des mots, des valeurs qui n'ont pas la même valeur pour chacun, sur une échelle dont la graduation n'est pas non plus la même.
Et sans vouloir spoiler la fin de l'histoire, les dernières lignes m'ont fait venir la larme à l'oeil.
Une histoire que je n'oublierai pas de sitôt, grâce aux valeurs qu'elle véhicule, malgré les apparences...
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