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Critique de BazaR
Vraiment fameux !
Toute l'action se passe au pays imaginaire, entre l'île et le bateau pirate. Et c'est un régal d'humour, de roublardise et de Merveilleux avec un soupçon d'horreur (mais quel soupçon !).
Le capitaine Crochet est tout en cruauté comique mais réelle et sa bande de pirates fait de la bonne viande à flinguer, égorger et taillader. Pan le satyre et Peter le gamin de Londres exercent avec brio leurs talents d'enrouleurs dans la farine (Peter et Pan ? tiens, tiens…). Peter séduit sans le chercher la gent féminine, qu'elle soit de race fée ou indienne… et les filles savent bouder. Quant à la petite bande d'exilés de tous les contes et toutes les mythologies d'Europe ‒ fées, korigans, sirènes et autres centaures ‒ même si leur sort ne tient qu'à un fil ils n'en oublient pas de se payer de belles parties de rigolades (qui pourraient mal finir avec les queues de poisson ; j'ai bien dit « avec les » et pas « en »).
Mention spéciale à la partie quasi glauque de la balade dans l'Opikanoba. Bienvenue, vous y trouverez les horreurs que vous y amènerez. Tout à fait le genre d'endroit qui plairait au côté obscur de la Force de Star Wars. Et franchement, l'horreur que Peter y amène est… dégoutante.
Vivement la suite. Je suis sûr que l'endroit réserve encore des surprises. Vous savez à quoi ça me fait penser ? A l'île de la série Lost : des tas de gens égarés là, des phénomènes bizarres autant qu'étranges...
En fait c'est ça ! Les perdus de Lost se sont retrouvés au Pays Imaginaire. Tout s'explique enfin !
Toute l'action se passe au pays imaginaire, entre l'île et le bateau pirate. Et c'est un régal d'humour, de roublardise et de Merveilleux avec un soupçon d'horreur (mais quel soupçon !).
Le capitaine Crochet est tout en cruauté comique mais réelle et sa bande de pirates fait de la bonne viande à flinguer, égorger et taillader. Pan le satyre et Peter le gamin de Londres exercent avec brio leurs talents d'enrouleurs dans la farine (Peter et Pan ? tiens, tiens…). Peter séduit sans le chercher la gent féminine, qu'elle soit de race fée ou indienne… et les filles savent bouder. Quant à la petite bande d'exilés de tous les contes et toutes les mythologies d'Europe ‒ fées, korigans, sirènes et autres centaures ‒ même si leur sort ne tient qu'à un fil ils n'en oublient pas de se payer de belles parties de rigolades (qui pourraient mal finir avec les queues de poisson ; j'ai bien dit « avec les » et pas « en »).
Mention spéciale à la partie quasi glauque de la balade dans l'Opikanoba. Bienvenue, vous y trouverez les horreurs que vous y amènerez. Tout à fait le genre d'endroit qui plairait au côté obscur de la Force de Star Wars. Et franchement, l'horreur que Peter y amène est… dégoutante.
Vivement la suite. Je suis sûr que l'endroit réserve encore des surprises. Vous savez à quoi ça me fait penser ? A l'île de la série Lost : des tas de gens égarés là, des phénomènes bizarres autant qu'étranges...
En fait c'est ça ! Les perdus de Lost se sont retrouvés au Pays Imaginaire. Tout s'explique enfin !
