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Louis Postif (Traducteur)Jeanne Campbell Reesman (Préfacier, etc.)
EAN : 9782369145165
272 pages
Libretto (13/09/2018)
4.03/5   155 notes
Résumé :
" John Barleycorn " (littéralement " John Graindorge "), c'est, pour l'Américain de la rue, la personnification familière de l'alcool - c'est-à-dire du whisky -, le mauvais génie des compagnons de comptoir, le Dionysos du pauvre.

Publié en 1912, soit quatre ans avant la mort de London, c'est son dernier grand livre, qui eut à l'époque un retentissement énorme. Il y raconte sa vie - toute sa vie - mais vue à travers la lentille déformante de la bouteil... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Une fois de plus un coup de coeur avec Jack London, celui-là qui sait aussi bien nous livrer les misères du monde, et là il nous livre les misères intérieures de l'homme, celui-là qui, vaincu et persécuté par l'alcool, est incapable de lutter avec lui-même pour éradiquer cette soif mordante de John Barleycorn qui évolue d'ailleurs qu'en ordre croissant...

Et cet homme n'est autre que lui-même! Il retrace paisiblement son avancement en degré dans l'alcoolisme. de cinq ans à 7ans, puis de 13ans à la vie active où son indépendance financière a favorisé sa totale initiation dans le monde de l'ivresse...

Un beau livre!!!
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"J'ai toujours, je crois, poussé les choses à l'extrême".
Comme tu dis, Jack, et pas qu'un peu, que ce soit dans l'effort physique, dans la tension de ta volonté, dans l'expérimentation de l'extrême, dans la création, dans la réussite... et dans la consommation d'alcool.

Jack London, dont j'admire au-delà du raisonnable la personne plus encore que l'écrivain, est un homme fascinant, absolument hors des normes, doté d'une force vitale sidérante mise au service d'un parcours social éblouissant : parti d'en bas, hissé à la force des bras et de l'intelligence jusqu'au sommet, et encore capable une fois là-haut de voir à travers les mirages... mais pas sans l'aide d'un verre, de plusieurs, d'une quantité effarante de verres de John Barleycorn, l'ami whisky qui a fini par réussir à le prendre par le bras, lui qui n'était pas alcoolique.
Et c'est tout à l'honneur de London d'avouer sans fard que toute grandeur humaine ne se peut concevoir sans faiblesse, l'addiction à l'alcool en l'occurrence, surtout quand celui-ci se rencontre dès l'enfance à tous les coins de rue et est un passage obligé pour la socialisation. Et plus encore pour supporter la lucidité d'avoir vu en face "l'aveuglante intuition" de la condition humaine.

Outre un plaidoyer d'une efficacité redoutable contre les ravages sociaux causés par l'alcool (bien que je doute que Jack London eut apprécié le puritanisme des années de prohibition et plus encore celui, plus moral et insidieux, de l'époque actuelle), cette autobiographie offre le bonheur pour les aficionados de l'auteur de revisiter à travers l'évocation de son parcours toute son oeuvre romanesque, tant cette dernière est fécondée par les expériences de vie riches en nombre, en amplitude et en intensité de cet homme incroyable, atypique jusque dans la mort.

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D'après Jack London, le sous-titre du livre pourrait être « Mémoires d'un Alcoolique ». Tout au long de cet ouvrage, on suit les ravages du facétieux John Barleycorn ("Jean Grain d'Orge", personnage imaginaire humoristique irlandais), et on subit les paroles d'ivrogne du narrateur, du style demain j'arrête de boire. Livre autobiographique de London, qui expose ses problèmes d'alcoolisme qui lui coûteront la vie à 40 ans. Même dans ce récit autobiographique, on retrouve le London proche des idées socialistes et parfois en avance sur son temps. Ainsi, il est intéressant de trouver dès le début du livre un plaidoyer sur le droit de vote des femmes. Puisque les hommes, pour des raisons sociales, se montreront incapables de renoncer à l'alcool, l'éradication de l'alcool dépendra donc exclusivement d'elles.
Parfois un peu lassant, c'est un roman à mon goût un peu trop long et au style mal vieilli. On n'y retrouve pas le lyrisme et l'émotion des oeuvres majeures de London comme Martin Eden. Cependant, on prend quand même du plaisir à suivre les déambulations de l'auteur, en trois temps bien distincts: sa jeunesse de marin et ses soirées de débauche, un long moment de sevrage, qui lui permet de commencer à écrire, de publier et d'être connu. Puis, le dernier acte, le retour de l'alcoolisme sous une forme plus sournoise, plus bourgeoise : l'alcool mondain, qui aura finalement raison de Jack London. Cette chronologie est finalement intemporelle...
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Il y avait pour moi un mystère John Barleycorn, très ancien. Très attiré par l'Amérique, son histoire, sa géographie, sa musique, sa littérature, son cinéma, et souvent interrogé par ses dérives, j'avais souvent rencontré le patronyme John Barleycorn que je traduisais par Jean Orgeblé et dont je croyais qu'il constituait une sorte d'Américain moyen, très moyen, de la Conquête de l'Ouest et de la Ruée vers l'Or surtout. Les mythiques groupes "Traffic" et "Jethro Tull", entre autres, l'ont chanté, "Fairport Convention", "Procol Harum" l'ayant aussi évoqué sans que je percute davantage bien que les ayant beaucoup écoutés. de plus j'ai lu Jack London, sans en être un spécialiste mais "L'amour de la vie" et "Martin Eden" notamment m'avaient beaucoup plu. Et la route de Jack London en soi est une aventure, pas seulement littéraire. Mais la lente distillation a opéré et j'ai enfin compris que ce Monsieur John Barleycorn est en fait l'alcool.

Ainsi donc sans le savoir nombreux sont les amis de J. B., ses amis ou ses disciples, ses esclaves ou ses séides, jamais ses maîtres. Nul mieux que Jack London n'est autorisé à en parler, les deux personnages ayant été intimes, avec quelques brouilles, de cinq à quarante ans, la mort de Jack London. Longtemps plus connu sous le titre "Le cabaret de la dernière chance" le récit-roman "John Barleycorn" a été publié en 1912, alors que le pauvre Jack, jadis misérable, pilleur d'huîtres, pilier de saloon, bagarreur, est devenu riche et couvert d'honneurs, restant plus que jamais militant socialiste précoce et tout ça sans jamais s'éloigner beaucoup de John Barleycorn, cet ami qui vous veut. . . Jack et John resteront d'ailleurs associés jusqu'à la mort, controversée de Jack. John, aux dernières nouvelles, se porte bien.

Ce livre, je le considère comme une oeuvre maîtresse sur l'homme et sa destinée, sa fragilité et ses ressources. Car London s'est battu toute sa vie, contre la trajectoire qui lui semblait imposée, contre le haut fric, contre vents et marées au sens propre et figuré, contre la maladie, contre et avec John. Dès ses primes expériences de la bière à cinq ans et du vin à sept London a senti le danger. Mais voilà, le sourire de John Barleycorn n'est pas toujours édenté et fétide. Il sait se faire charmeur et se parer des plumes de la légèreté et de la belle amitié qu'il fracassera d'autant mieux plus tard. Marin, Jack a besoin de John. D'ailleurs, à eux deux ils font parfois un sacré boulot, l'alcool en ces années 1900 trônant partout en cette Californie des chercheurs d'or et des journaliers de ce pays neuf. Pas une éprouvante journée de travail sans que le maigre salaire ne soit délesté au premier cabaret du port d'Oakland d'où partirent les voyages de London. Ce John Barleycorn est tel que sans lui point de salut pour ces forçats du rail ou de la mer. Avec lui encore moins de salut. "Ni avec toi ni sans toi" confie Jack London. Correspondant en Corée, voyageur à Londres ou Paris, quelque part sur son bateau le Snark aux Nouvelles-Hébrides ou au Japon, l'écrivain multiple, essayiste et penseur qu'est devenu Jack London traitera toujours d'égal à égal avec J. B.


Ce livre est fabuleux et je suis heureux de l'avoir rencontré. Les derniers chapitres montrent London arrivé au sommet de ses influences, l'homme sans qui Kerouac, Hemingway ou Jim Harrison ne seraient pas ce qu'ils sont. London, lui, lucide, sceptique, fier malgré tout, doute encore et condamne John Barleycorn. On le sent capable d'initier, avec le féminisme naissant dont il sera un rare partisan précoce, d'initier une croisade contre son autre moi, ce J. B. qui nous rapproche en quelque sorte de cet autre roman fondateur d'un autre grand voyageur qui lui-même céda parfois aux paradis artificiels, "L'étrange cas du Docteur Jekyll". Alors bien sûr pendant des décennies Jack London et Robert Louis Stevenson ont fleuri sur les étagères des chambres d'enfants. On a mis bien du temps avant de trouver leur vraie place, en littérature, la plus haute.
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Roman autobiographique de Jack London ,publié en 1913 ,qui ce centre sur ses déboires avec l'alcool . Ce roman sera utilisé aux Etats-Unis dans les débats en faveur de la prohibition ,ce que souhaitait d'ailleurs l'auteur lui-même. La prohibition est votée en 1919 ,trois ans après le suicide de Jack London
Déjà j'adore sa façon d'écrire ,son style et son franc-parlé. Jack London ,c'est le grand romancier du début du XXéme siècle ,qui connait encore le succès aujourd'hui avec Croc-blanc ou l'appel de la forêt. Mais ce qu'on sait moins de lui , c'est qu'il est aussi alcoolique . Et il souhaite témoigner des ravages de l'alcool dans ce livre.
A cing et sept ans ,il connait ses premiers excès avec l'alcool et , conscient du danger que cela représente ,se promet de ne plus y toucher ,d'autant plus qu'il n'en aime pas le goût . Mais l'alcool ( qu'il personnifie en lui donnant le nom de John Barleycorn),se rend-il rapidement compte, est un puissant lien social. Et c'est ainsi qu'à quatorze ans ,il devient familier des bars ,car cela lui permet de faire des rencontres déterminantes pour lui. Sa vie est elle -même un peu chaotique ,pauvre ,il se cherche et fait toute sorte de métiers dont pilleurs d'huîtres ! Et il se met plusieurs fois en danger.

C'est seulement lorsqu'il décide de reprendre ses études qu'il s'éloigne pour un moment des bars . Il finira par connaitre le succès en tant qu'écrivain. Mais il prend alors de plus en plus goût à l'alcool jusqu'à ne plus pouvoir s'en passer.

Jack London dépeint avec beaucoup de sincérité et de vérité sa relation avec l'alcool . il est lucide sur ses ravages mais ,par sociabilité , ne s'en prive pas . Pour lui c'est dans les bars qu'on peut faire des rencontre intéressantes et non pas dans les YMCA (association chrétienne qui propose beaucoup de loisirs) de l'époque . Ils trouvent les personnes « droites » insipides.

Un témoignage assez fort ,éloquent ,qui touche d'autant plus que Jack London meurt trois après ,de maladie mais aussi des excès d'alcools. J'ai adoré et je compte lire tous les romans que je vais trouver de ce brillant auteur et aventurier.

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Citations et extraits (61) Voir plus Ajouter une citation
L’alcool laisse entrevoir la vérité, mais une vérité anormale. Les choses normales sont saines – et ce qui est sain tend vers la vie. La vérité normale appartient à un ordre différent – et inférieur. Prenez, par exemple, un cheval de trait. À travers toutes les vicissitudes de sa carrière, et bien que sa pensée soit confuse et incompréhensible pour nous, il lui faut croire, à tout prendre, que la vie est bonne ; que de tirer dans les harnais est une excellente chose ; que la mort, si vaguement qu’il la pressente, est un géant redoutable ; que la vie est douce et vaut la peine d’être vécue ; et, qu’en fin de compte, quand la sienne arrivera à son déclin, il ne sera pas bousculé, ni maltraité, ni pressé au-delà de la limite de ses efforts. Il doit croire que la vieillesse elle-même conserve jusqu’au bout une certaine décence, une certaine dignité et quelque valeur. Pourtant, sa vraie forme est celle d’un épouvantail squelettique trébuchant sous les coups entre les brancards d’une charrette de revendeur, poursuivant éperdument, dans une servitude sans pitié, son calvaire de lente désintégration, jusqu’au bout, c’est-à-dire jusqu’à la dispersion de ses éléments, – de sa chair subtile, de ses muscles roses et élastiques, et de toute leur sensibilité inhérente – jusqu’à leur répartition entre le poulailler de ferme, la vannerie, la fabrique de colle et l’usine de noir animal. Jusqu’au dernier faux pas de sa carrière chancelante, ce cheval de trait doit s’en tenir aux données de cette vérité mineure qui est la vérité de la vie et rend possible sa persistance.

Le cheval de trait, comme tous les autres animaux, l’homme y compris, est aveuglé par la vie et reste le jouet de ses sens. Coûte que coûte, il veut vivre. Le jeu de la vie est bon, malgré toutes les misères, bien que toutes les existences perdent en fin de compte la partie. Voilà le genre de vérité qui gouverne, non pas l’univers, mais les êtres qui l’habitent, s’ils veulent durer tant soit peu avant de disparaître.
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L'ivrognerie, comme je la comprends, est presque exclusivement une habitude mentale. Ce n'est pas comme le tabac, la cocaïne, la morphine ou tout autre de ces drogues dont la liste est si variée. Le désir d'alcool, tout particulièrement, est engendré dans l'esprit. C'est une affaire d'entraînement mental et de croissance mentale, et c'est une plante qui est cultivée dans le terrain social. Sur un million de buveurs, pas un n'a commencé à boire seul. Toute ivrognerie est d'origine sociale, et est accompagnée d'un millier d'implications sociales.
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Il existe, généralement parlant, deux types d’ivrognes : celui que nous connaissons tous, stupide, sans imagination, dont le cerveau est rongé par de faibles lubies ; il marche les jambes écartées, d’un pas mal assuré et s’étale
fréquemment dans le ruisseau ; il voit, au paroxysme de son extase, des souris bleues et des éléphants roses. C’est ce type-là qui provoque la verve des journaux comiques.
L’autre type d’ivrogne a de l’imagination et des visions. Cependant, même lorsqu’il tient une sérieuse cuite, il marche droit, sans jamais
chanceler ni tomber, car il sait exactement où il se trouve et ce qu’il fait. Ce n’est pas son corps qui est ivre, mais son cerveau. Selon le cas, il pétillera d’esprit ou s’épanouira dans une bonne camaraderie. Peut-être entreverra-t-il des spectres et fantômes, mais intellectuels, d’ordre cosmique et logique, dont la vraie forme est celle de syllogismes. C’est alors qu’il met à nu les plus saines illusions de la vie et considère gravement le collier de fer de la nécessité rivé à son âme.
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Seul parmi les animaux, l’homme jouit du terrible privilège de la raison. L’homme, avec son cerveau, peut transpercer le mirage enivrant des choses et contempler un univers figé dans la plus parfaite indifférence envers lui et ses rêves. Oui, l’homme peut entrevoir cette vision, mais elle ne vaut rien pour lui. Pour vivre, pour vivre pleinement, pour palpiter de vie, pour être une créature vivante, – ce qu’il doit être – il est bon que l’homme se trouve ébloui par la vie et illusionné par les sens. Ce qui est bon est vrai. Et tel est le genre de vérité, de vérité inférieure, qu’il doit connaître et prendre pour guide de ses actes, avec la certitude inébranlable que c’est la vérité absolue et que nulle autre ne saurait prévaloir dans l’univers. Il est bon que l’homme accepte à première vue les tromperies des sens et les pièges de la chair, qu’à travers les brouillards de la sensiblerie il poursuive les leurres de la passion, sans en discerner les ombres ni la futilité, sans être terrifié par ses convoitises et ses désirs.
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L'ivrognerie, comme je la comprends, est presque exclusivement une habitude mentale. Ce n'est pas comme le tabac, la cocaïne, la morphine ou tout autre de ces drogues dont la liste est si variée. Le désir d'alcool, tout particulièrement, est engendré dans l'esprit. C'est une affaire d'entraînement mental et de croissance mentale, et c'est une plante qui est cultivée dans le terrain social. Sur un million de buveurs, pas un n'a commencé à boire seul. Toute ivrognerie est d'origine sociale, et est accompagnée d'un millier d'implications sociales.
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Videos de Jack London (42) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jack London
Attention !!! Nouvel horaire pour l'émission "Le coup de coeur des libraires" sur les Ondes de Sud Radio. Valérie Expert et Gérard Collard vous donnent rendez-vous chaque samedi à 14h00 pour vous faire découvrir leurs passions du moment ! • Retrouvez leurs dernières sélections de livres ici ! • • • Carolyn et John de Stéphanie des Horts aux éditions Albin Michel https://www.lagriffenoire.com/carolyn-et-john.html • Pamela de Stéphanie des Horts aux éditions Livre de Poche https://www.lagriffenoire.com/pamela.html • Les Soeurs Livanos de Stéphanie des Horts aux éditions Livre de Poche 9782253077442 • Jackie et Lee de Stéphanie Des Horts aux éditions Livre de Poche https://www.lagriffenoire.com/jackie-et-lee-4.html • La Cuisinière des Kennedy de Valérie Paturaud aux éditions Les Escales https://www.lagriffenoire.com/la-cuisiniere-des-kennedy.html • Un animal sauvage de Joël Dicker aux éditions Rosie & Wolfe https://www.lagriffenoire.com/un-animal-sauvage.html • Quelqu'un d'autre - Nouveau roman 2024 de Guillaume Musso aux éditions Calmann-Lévy https://www.lagriffenoire.com/quelqu-un-d-autre-nouveau-roman-2024.html • Art of Skate: Histoire(s) d'une culture urbaine de Sylvie Barco, Philippe Danjean aux éditions Alternatives https://www.lagriffenoire.com/art-of-skate-histoire-s-d-une-culture-urbaine.html • Les joies du surf de Jack London et Fanny Quément aux éditions Rivages Poche https://www.lagriffenoire.com/la-joie-du-surf.html • Mangeuses: Histoire de celles qui dévorent, savourent ou se privent à l'excès de Lauren Malka, Ryoko Sekiguchi aux éditions Les Pérégrines https://www.lagriffenoire.com/mangeuses-histoire-de-celles-qui-devorent-savourent-ou-se.html • Les Vies rêvées de la Baronne d'Oettingen de Thomas Snégaroff aux éditions Albin Michel https://www.lagriffenoire.com/les-vies-revees-de-la-baronne-d-oettingen.html • Putzi le pianiste d'Hitler de Thomas Snégaroff aux éditions Folio https://www.amazon.fr/dp/2072964326?ref_=ast_author_ofdp • Dictionnaire amoureux de la traduction de Josée Kamoun et Alain Bouldouyre aux éditions Plon https://www.lagriffenoire.com/dictionnaire-amoureux-de-la-traduction.html • le Restaurant des recettes oubliées : deuxième service de Hisashi Kashiwai et Alice Hureau aux éditions J'ai Lu https://www.lagriffenoire.com/le-restaurant-des-recettes-oubliees-1.html • On dit merci ! de Émile Jadoul aux éditions École des Loisirs https://www.lagriffenoire.com/on-dit-merci.html • omment faire apparaître
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