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EAN : 9791025604618
Editions Thélème (17/10/2019)
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3.81/5   427 notes
Résumé :
La civilisation s'effondre après une épidémie incontrôlable et foudroyante. Les règles disparaissent, les rapports de puissance s'inversent, et le monde plonge dans les ténèbres. Un vieillard raconte le jour où tout a basculé à ses petits-fils, désormais en proie aux superstitions ancestrales, à la loi du plus fort, à une nature dominatrice et vengeresse. Voués à revivre les balbutiements de l'humanité, ils ont oublié les plus grands accomplissements des êtres humai... >Voir plus
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Du conte apocalyptique à la fable humaniste.

En 2073, cela fait 60 ans que toute trace de civilisation a disparue. Si quelques tribus d'hommes survivent dans ses ruines, depuis longtemps ceux-ci n'en comprennent plus aucun signe. le langage lui-même s'est modifié. L'art est devenu inutile, la culture se résumant à satisfaire ses besoins primaires.
Pourtant un homme se souvient. le dernier à avoir connu les temps anciens d'une humanité que l'on disait moderne tient à partager son savoir avant qu'il ne soit trop tard. Même s'il est miraculeux qu'il soit encore en vie, il sait qu'il n'est pas éternel. le phare de la mémoire dont il est le gardien va bientôt s'éteindre. Son appel sonne comme un avertissement aux anciennes générations que nous sommes, et aux nouvelles qui vont bientôt repeupler la Terre.

Jack London écrivit ce texte en 1912, quatre ans avant sa mort. Il sera publié pour la première fois en français, de façon posthume, en 1924 accompagné de "Construire un feu " et de "Comment disparut Marc O'Brien". Un récit d'anticipation qui peut se lire aujourd'hui encore comme une mise en garde pour toute l'humanité.
Lorsqu'on retrouve le vieil homme sur le sentier d'animaux sauvages, lui seul sait qu'il s'agit en fait d'une « antique voie ferrée ». le jeune garçon qui l'accompagne est trop occupé à rester aux aguets pour prévenir toute attaque de grizzly qu'à comprendre et analyser le paysage qui l'entoure et dans lequel il est né. Une nature florissante à en effet envahi et petit à petit fait disparaître toute trace de constructions humaines. Mais même s'il doit passer encore pour un vieux radoteur d'histoires impossibles, le vieillard est bien décidé à lui expliquer comment était la vie avant le retour à la « la barbarie des premiers âges du monde ». Comment « dix mille années de culture et de civilisation s'évaporèrent comme l'écume, en un clin d'oeil. »

C'est une épidémie foudroyante qui atout anéanti. Les hommes tombaient comme des mouches terrassés par une maladie qui les étreignait dans d'atroces souffrances, l'âme consciente et le corps « flamboyant d'écarlate ». Mais ce qui acheva la société est un tout autre fléau : « le temps n'était plus où l'on se dévouait pour les autres. Chacun lutter pour soi. » La folie se répandit dans le sillage de la pandémie, contaminant le coeur des hommes valides, mais dévastés par la peur : « ils lâchaient la bride à leur bestialité, s'enivraient et s'entretuaient. Peut-être, au fond, avaient-ils raison ? Ils ne faisaient rien que d'avancer la mort. »

Miraculeusement épargné, le vieil homme a vu le monde s'écrouler et s'il raconte tout aux enfants ce soir au coin du feu de leur campement, c'est parce qu'il a peur plus encore pour l'avenir. L'homme s'adapte, mais il ne change pas : « l'univers a été anéanti, bouleversé, et l'homme demeure toujours identique. » Les embryons de société qui se sont reconstruites, mais disparates et dispersées qu'elles le sont pour le moment, lui font craindre le pire. Car « les hommes se multiplieront, puis ils se battront entre eux. » La quête du pouvoir de l'Homme est tel qu'il rebâtira les mêmes esclavages : « les trois types éternels de domination, le prêtre, le soldat, le roi y repartiront d'eux-mêmes. »

Bien sûr on reconnaît dans ce dernier avertissement les engagements politiques de l'auteur, mais plus qu'un débat stérile sur sa rhétorique que d'aucuns trouveront surannée, l'alerte qu'il nous adresse il y a de cela plus d'un siècle est riche d'enseignement. Fondamentalement humaniste, ce texte plus que jamais actuel renferme aussi un formidable espoir. le vieil homme a préféré prévenir que seulement avertir, en conservant les écrits du passé et en fabriquant un code pour leur compréhension, c'est une clé de la connaissance qu'il leur offre pour une construire une culture en accord avec la nature et dans le respect de toute l'humanité, car « un jour viendra où les hommes, moins occupés des besoins de leur vie matérielle, réapprendront à lire. »
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L'Apocalypse selon Jack London !
Incroyable de redécouvrir ce grand auteur, adulé ( je voue un culte à Martin Eden, un des plus beaux livres qu'il m'ait été donné de lire ), au travers d'une nouvelle d'anticipation.

Ça démarre comme La Route de Cormac McCarthy avec l'errance de deux personnages, un vieux monsieur accompagné de son petit-fils, en 2073 dans un monde ravagé par la peste écarlate qui a quasi éradiqué toute vie humaine sur Terre 60 ans auparavant.

Rapidement, on retrouve la patte London dans la façon d'aborder ces événements, un formidable conteur : nous découvrons ce nouveau monde à travers le récit du seul survivant qui a connu l'ancien monde, le civilisé, le technologique, le lettré. Il en fait le récit à ces petits-fils sauvageons et c'est à travers leurs oreilles et leurs yeux que nous aussi découvrons ce qui est arrivé. Tout est simple et fluide.

La thématique de la nature est bien là. le fléau a totalement bouleversé l'ordre naturel, le monde est revenu à l'état sauvage. Les animaux se sont parfaitement adaptés à ce nouvel état et on reprit d'une certaine façon le pouvoir sur les hommes qui vivent comme des néo-préhistoriques.

Le récit prend également une tournure plus politique, plus moralisatrice comme dans Martin Eden, avec beaucoup de douceur. L'humanité est réduite à quelques hordes néo-préhistoriques, sillonnant des villages en ruine et des campagnes à l'abandon. le redémarrage de l'humanité est laborieux. La solitude du grand-père est magnifiquement présentée dans ce monde qui a perdu l'usage de l'écriture et de la lecture. Dans ce constat pessimiste, reste cette image lumineuse de la grotte-trésor emplie de livres et d'instructions pour alphabétiser le monde. Candide mais tellement puissant.
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En cette année 2073, alors que quelques dizaines d'années auparavant, l'homme vaincu par la peste écarlate se fit rare sur terre. Seule une poignée de représentants de l'espèce continue à vivre, hors de toute civilisation...

Et jack London, prêtant parole à un vieillard qui connut cette peste et constata ses effets, aïeul de quelques garçons né bien après la pandémie, que la nécessité de survivre amena à être bergers dans un monde où la nature a repris ses droits, raconte l'humanité.

Il raconte la surpopulation, la richesse, l'abondance, le confort perdu, se heurtant bien souvent à l'incompréhension de son auditoire, cette nouvelle humanité qui s'est organisée en tribus, et qui pour se nourrir, retrouve naturellement la pratique de la cueillette et la chasse, à laquelle s'ajoute l'élevage.

Une humanité pauvre, inculte parce qu'elle n'a plus besoin de l'écriture, des grands nombres, de l'argent, n'a plus d'histoire, plus de racines.

Grand père raconte l'école, l'université, le capitalisme des magnats qui alors, détenaient le pouvoir, possédaient les richesses et dominaient le monde… dans cette nouvelle société, plus de magnats, plus de richesse, mais des clans, des discordes et des ententes qui se transmettent sur la base de la tradition orale…

Un livre surprenant, écrit en 1912 et publié en France en 1924. de l'anticipation, oui, mais l'auteur à parfaitement imaginé ce monde post-apocalyptique tout à fait plausible : disparition de l'espèce humaine et avec elle, les ingénieurs, les médecins, les scientifiques susceptibles de faire repartir la vie sur Terre.

L'humanité doit tout réapprendre. Il y a fort à parier qu'elle risque de commettre des erreurs à nouveau… Mais tenons en nous à ce récit issu de la plume agréable de Jack London !

Un récit qui fait peur, car il décrit une situation réaliste et envisageable. Un récit qui amène à réfléchir, à mettre entre toutes les mains.






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Petit par la taille, ce récit de Jack London est grand par la valeur.

D'une grande modernité dans la forme et le fond, il a sans doute inspiré nombre d'auteurs. Tous les récits post-apocalyptiques sont dans "la peste écarlate" : l'atmosphère de "La route", l'émotion de "Je suis une légende" et bien d'autres. Certains éléments font même penser au film "Zombie" de George Romero (le passage où des personnes non infectées se retranchent dans une université est assez saisissant).

En à peine plus de 120 pages, l'auteur parvient à traiter entièrement et intelligemment son sujet : retour à la sauvagerie (et de ce fait le pouvoir qui change de main), perte du savoir, aspect cyclique de l'Histoire.
La conclusion du récit semble pessimiste, London affirmant que l'Homme reproduira inexorablement les mêmes erreurs, mais je n'ai pu m'empêcher de déceler une note d'espoir, cachée là, dans cette grotte pleine de livres.

Encore une merveille signée Jack London qui semble décidément un auteur indispensable.

Challenge petits plaisirs (5)
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Lorsque la fin du monde a commencé, début 2020, je me suis dit qu'il était peut-être temps de parfaire ma culture sur le sujet. Malheureusement, on sait ce qu'il en est de ce genre de résolution : la fin du monde, c'est bien gentil mais on a quand même pas mal de trucs plus sérieux à faire avant.
C'est donc avec un an de retard que j'ai découvert la Peste écarlate, récit dans lequel l'humanité se trouve presque entièrement éradiquée par un virus foudroyant. Accordons à London qu'il ne fait pas les choses à moitié : en deux semaines tout pesé, il ne reste plus un seul survivant à San Francisco (ni d'ailleurs ailleurs), et les ultimes vestiges de l'humanité retournent illico à une barbarie totalement décomplexée.

Si après avoir épuisé tous les Walking Dead et autres To the lake, on espère trouver un page-turner apocalyptique en ouvrant la Peste écarlate, il est préférable d'aller creuser son bunker plus loin. Car il n'est pas question ici de suspense, ni même vraiment d'action, et cette histoire ne semble avoir eu à aucun moment l'idée qu'elle pouvait s'étirer sur neuf cycles de tétralogies à 500 pages le volume. Grâce soit rendue à Jack London de cette lucidité qui pourrait inspirer pas mal d'auteurs aujourd'hui.
En fait, on a le sentiment que London ne construit ce bref roman que pour arriver à une conclusion ambivalente, mélange d'espoir idéaliste et de réalisme pessimiste. A la fin, en effet, le narrateur a beau s'être évertué à recueillir les essentiels du savoir humain dans une bibliothèque cachée, les jeunes sauvageons dont il est entouré ne lui laissent à peu près aucun espoir : une fois qu'elle aura recommencé à se multiplier et à se répandre sur la terre, l'humanité renaissante n'aura visiblement pas mieux à faire que se replonger en ses joyeux étripages. L'éternel recommencement de la bêtise humaine, en somme.

C'est cette morale que le lecteur retient. Elle est assez visionnaire pour un livre de 1912, et rien ne nous permet vraiment de la démentir en 2021. Pourtant, l'apocalypse de Jack London a ceci de très avantageux qu'elle est pliée en quelques jours à peine. Après, au moins, il est permis de passer à autre chose. Tandis que pour nous, c'est fort différent. le covid ne sera bientôt plus qu'une péripétie à dix ou quinze millions de morts, et nous allons reprendre avec enthousiasme notre marche en avant vers l'épuisement des ressources, l'accaparement des richesses, l'ensauvagement climatique et la nouvelle extinction de masse.
Jusqu'à la prochaine fois.
Bien sûr, les prochaines fois ont une fâcheuse tendance à se succéder de plus en plus vite, mais voilà bien ce qui est excessivement énervant avec cette apocalypse de basse intensité : on n'a jamais l'impression d'y être vraiment. Bref, contrairement à Jack London, nous serons incapables de faire court. Notre fin du monde à nous aura ceci de lassant qu'on va se la traîner un siècle entier.
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Citations et extraits (75) Voir plus Ajouter une citation
— La même histoire, dit-il en se parlant à lui-même, recommencera. Les hommes se multiplieront, puis ils se battront entre eux. Rien ne pourra l'empêcher. Quand ils auront retrouvé la poudre, c'est par milliers, puis par millions, qu'ils s'entretueront. Et c'est ainsi, par le feu et par le sang, qu'une nouvelle civilisation se formera. Peut-être lui faudra-t-il, pour atteindre son apogée, vingt mille, quarante mille, cinquante mille ans. Les trois types éternels de domination, le prêtre, le soldat, le roi y reparaîtront d'eux-mêmes. La sagesse des temps écoulés, qui sera celle des temps futurs, est sortie de la bouche de ces gamins. La masse peinera et travaillera comme par le passé. Et, sur un tas de carcasses sanglantes, croîtra toujours l'étonnante et merveilleuse beauté de la civilisation. Quand bien même je détruirais tous les livres de la grotte, le résultat serait le même. L'histoire du monde n'en reprendrait pas moins son cours éternel !

Page 92, Librio, 2018.
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— Le monde tout entier fourmillait d'hommes. Le grand recensement de l'an 2010 avait donné huit milliards pour la population de l'univers. Huit milliards ou huit coquilles de crabes... Ce temps ne ressemblait guère à celui où nous vivons. L'humanité était étonnamment experte à se procurer de la nourriture. Et plus elle avait à manger, plus elle croissait en nombre. Si bien que huit milliards d'hommes vivaient sur la terre quand la Mort Ecarlate commença ses ravages. J'étais, à ce moment, un jeune homme. J'avais vingt-sept ans. J'habitais Berkeley, qui est sur la baie de San Francisco, du côté qui fait face à la ville. Tu te souviens, Edwin, de ces grandes maisons de pierre que nous avons rencontrées un jour, dans cette direction. . . Par là. . . Voilà où j'habitais, dans une de ces maisons de pierre. J'étais professeur de littérature anglaise.

Pages 27-28, Librio, 2018.
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— Vous êtes des sauvages, de vrais sauvages. La mode vient déjà de porter des parures de dents humaines. La prochaine génération se percera le nez et les oreilles, et se parera d'os d'animaux et de coquillages. Aucun doute là-dessus. La race humaine est condamnée à s'enfoncer de plus en plus dans la nuit primitive, avant de reprendre un jour sa réascension sanglante vers la civilisation. Le sol, aujourd'hui, est trop vaste pour les quelques hommes qui y survivent. Mais ces hommes croîtront et multiplieront et, dans quelques générations, ils trouveront la terre trop étroite et commenceront à s'entretuer. Cela, c'est fatal. Alors ils porteront à la taille les scalps de leurs ennemis, comme toi, Edwin, qui es le plus gentil de mes petits-enfants, tu commences déjà à porter sur l'oreille cette horrible queue de cochon. Crois-moi, mon petit, jette-la, jette-la au loin !

Pages 21-22, Librio, 2018.
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— « Le travail de l'homme est éphémère et s'évanouit comme l'écume de la mer. . . » Oui, c'est bien cela. L'homme a, sur cette planète, domestiqué les animaux utiles, détruit ceux qui étaient nuisibles. Il a défriché la terre et l'a dépouillée de sa végétation sauvage. Puis, un jour, il disparaît, et le flot de la vie primitive est revenu sur lui-même, balayant l'œuvre humaine. Les mauvaises herbes et la forêt ont derechef envahi les champs, les bêtes de proie sont revenues sur les troupeaux, et maintenant il y a des loups sur la plage de Cliff-House !

Page 19, Librio, 2018.
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Le premier jour, aucun rôdeur ni pilleur n'approcha. Ils étaient nombreux cependant et nous apercevions, des fenêtres, la fumée de leurs feux de campements, qui étaient installés tout autour de l'Ecole. L'ivrognerie régnait parmi ces bandits et nous les entendions, à tout moment, chanter des obscénités et hurler comme des fous. Tandis que le monde s'écroulait autour d'eux, dans l'asphyxie d'une atmosphère saturée de fumée, ils lâchaient la bride à leur bestialité, s'enivraient et s'entretuaient. Peut-être, au fond, avaient-ils raison ? Ils ne faisaient rien que de devancer la mort. Le bon et le méchant, le fort et le faible, celui qui aimait la vie et celui qui la maudissait, tous pareillement y passaient.

Page 55, Librio, 2018.
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Vidéo de Jack London
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