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Critique de Haldir
Bible du juriste, petit livre rouge (ou plutôt jaune oranger) des administrativistes, Graal des publicistes, le GAJA est au Droit ce que Tolkien est à la fantasy.
Alors que chaque année, des milliers d'apprentis juristes subissent la vile dictature du Code Civil et de ses sbires (respectivement appelés "Code du commerce" et dans une moindre mesure "Code du travail"), il est un livre qui a le pouvoir de les émanciper tous: le GAJA.
Car, comme chacun sait, un passage de la Bible a été supprimé, imposant de fait une tyrannie sans nom du droit privé: "Au premier jour, Dieu créa le Droit Administratif. Puis, jugeant son oeuvre suffisamment complète et belle, il se reposa". (sachant également que le Serpent ne proposa pas à Eve une pomme mais bien un Code Civil...)
Un GAJA pour les gouverner tous. Un GAJA pour les trouver. Un GAJA pour les amener tous et dans le Droit les lier.
Alors que chaque année, des milliers d'apprentis juristes subissent la vile dictature du Code Civil et de ses sbires (respectivement appelés "Code du commerce" et dans une moindre mesure "Code du travail"), il est un livre qui a le pouvoir de les émanciper tous: le GAJA.
Car, comme chacun sait, un passage de la Bible a été supprimé, imposant de fait une tyrannie sans nom du droit privé: "Au premier jour, Dieu créa le Droit Administratif. Puis, jugeant son oeuvre suffisamment complète et belle, il se reposa". (sachant également que le Serpent ne proposa pas à Eve une pomme mais bien un Code Civil...)
Un GAJA pour les gouverner tous. Un GAJA pour les trouver. Un GAJA pour les amener tous et dans le Droit les lier.
