Le roman de la rose arrive en un siècle, le 12ème siècle gothique, ou le christianisme devient austère, la peur de la mort s'infiltre et le péché de chair devient le péché originel.
Il est normal que des poètes régissent à cela en montrant, la joie et la beauté de la rencontre de la chair, quand elle est sublime. C'est surtout ce que je ressent dans ce long poème écrit par deux auteurs différents. Il y a du cantique des cantique dans ce chant mélodieux. Il y a de l'humaine condition.
Les artistes de tout temps, quand ils ne sont pas les valets du pouvoir indiquent délicatement le chemin d'or ! (Ça c'est du F. Herbert).
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