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4,24

sur 3041 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je ne comprends pas le succès critique de ce livre pour moi "sans qualités".

D'abord, l'écriture est plate, peu imagée, sans aucun brio.

Ensuite, l'intrigue, lente à se mettre en place, est tirée par les cheveux, pas du tout vraisemblable ni emballante. On ne la situe pas dans le temps.

Pour finir, l'héroïne est sans intérêt, sans étoffe.

Ce livre m'ennuyait tellement que je l'ai abandonné sans regret en cours de route, ce qui m'arrive rarement, surtout s'il s'agit d'un roman policier censé ménager un certain suspens.

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Loubry Jerôme (1976-) – "Les refuges" – Calmann-Lévy / Livre de poche, 2019 (ISBN 978-2-253-18159-0)

Un livre désespérément, radicalement, abyssalement nul.

C'est mal écrit, pompeux, ampoulé, avec une volonté de paraître fort sçavant en manipulant de grands mots (genre la "Vénus anadyomène" de la page 179, suivie de Bucéphale à la page 180).
Pire encore, les références constantes au poème de J.W. Goethe "Der Erlkönig" (que tout germanophone connaît) ne sont qu'un tissu d'âneries témoignant d'une approche fort lacunaire de l'oeuvre ainsi défigurée.

L'auteur a découvert une de ces "grandes théories" à ranger dans les "psycho-psychanalytico-fumisteries" dont se régale une certaine presse pour salon de coiffure, et l'utilise pour plaquer un récit prodigieusement ennuyeux, malgré les fort nombreux et spectaculaires retournements de situation tous plus in-crédibles les uns que les autres.

Avant même la moitié du récit, ces raccords fort grossiers, cousus de fil blanc, incitent le lecteur a lire en diagonale puis sauter des paragraphes inutiles.

Quel navet ! Poubelle.

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Jeune journaliste en Normandie, Sandrine est contactée par un notaire, lui demandant de vider la maison de sa grand-mère morte, dont elle n'a jamais connue et qui habitait sur une île.
Une fois sur place Sandrine découvre une petite île peu chaleureuse, peuplée d'une poignée de personnes qui semblent cacher un lourd secret.

Autant j'ai beaucoup aimé « les soeurs de Montmort » de cet auteur, autant là je ne comprends pas un tel succès dans les avis des lecteurs.
Le personnage principal est sans relief, tout comme l'histoire.
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Les critiques étaient très prometteuses et j'en attendais beaucoup.
Il s'inspire de Shutter Island mais il possède trop d'invraisemblances pour que je puisse y adhérer. Il y a un côté psychologie de bazar, des personnages sans épaisseur.
La construction est trop artificielle, inutilement compliquée.
Déçue!!
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La description des sinuosités psychologiques d'un être bouleversé par les atrocités qu' il a vecues est passionnante par leur complexité et leur ingéniosité, mais elles ne compensent pas l'effroi et le dégoût provoquées par les descriptions des atrocités en elles-mêmes. C'est un roman malsain qui interroge sérieusement autant la santé psychique de ceux qui l'apprécient que de celui qui l'a écrit.
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Entre Inception et Usual Suspect, Les refuges propose un pitch et une mécanique qui auraient pu faire mouche, s'ils n'avaient pas souffert d'une narration et construction redondantes qui finissent par plomber la tension, le rythme et la crédibilité.
On y était presque! Mais on y était pas!

Pitch (4ème de couv):
"Installée en Normandie depuis peu, Sandrine est priée d'aller vider la maison de sa grand-mère, une originale qui vivait seule sur une île minuscule, pas très loin de la côte. Lorsqu'elle débarque sur cette terre grise et froide, Sandrine découvre une poignée d'habitants âgés organisés en quasi-autarcie. Tous décrivent la défunte comme une personne charmante, loin de l'image que sa petite-fille en a. Cependant, l'atmosphère est étrange. En quelques heures, la jeune femme se rend compte que les habitants cachent un secret. Quelque chose ou quelqu'un les terrifie. Pourtant, aucun d'entre eux ne quitte jamais l'île. Pourquoi? Et qu'est-il arrivé aux enfants du cam de vacances précipitamment fermé en 1949..."

Poussant à son paroxysme la mécanique psychologique du refuge qui permet à l'Homme de faire face aux pires traumatismes, Jérôme Loubry trimballe le lecteur à travers les méandres de l'esprit humain. On creuse couche après couche l'armure bien solide de la psyché pour s'enfoncer au plus près de l'évènement traumatisant initial.
L'idée était foutrement bonne. Ca aurait pu fonctionner, à condition de ne pas trop pousser le bouchon… Sauf que pour moi (mais visiblement je suis à contresens de la majorité des lecteurs de ce roman), l'auteur franchit la ligne rouge et transforme ce "thriller" psychologique en "n'en jetez plus la coupe est pleine" en usant un peu trop la même corde du "vous pensiez que c'était celle là la bonne version de l'histoire? et bien non, vous allez voir comment je vais re mélanger les éléments et en sortir une nouvelle du chapeau". C'est marrant la première fois. Au bout de trois ça devient lassant.

J'espérais un retournement de cerveau. Je me retrouve avec un mal de crane. Un Doliprane, et au suivant!
(merde, j'ai encore perdu ma gentillesse… où qu'elle est passée c'te connasse!)
Lien : https://unlivredansmabaignoi..
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