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EAN : 978B01G5SABBS
Denoël (30/11/-1)
3.73/5   24 notes
Résumé :
124 pages
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
"Il me manque encore quelques haines.
Je suis certain qu'elles existent."

Avec cette épigraphe on ne peut plus célinienne commence le premier des pamphlets de l'auteur à resituer dans cette période violente, vindicative et revendicative de l'entre deux guerres.
Céline s'y définit anticommuniste (" le programme du communisme ? Matérialiste! Revendications d'une brute à l'usage des brutes "), mais aussi anticapitaliste, et évidemment antipolitique ("la politique a pourri l'homme encore plus profondément depuis ces trois derniers siècles que pendant toute la préhistoire ").
Le côté anarchiste de Céline dans cette époque politiquement et idéologiquement trouble.

Ces outranceries celiniennes dans lesquelles il vitupère, insulte, crache son venin, sont toutefois encore stucturées, au contraire de "L'école des cadavres', autre pamphlet de cette époque lu récemment.

Il est évidemment difficile de noter ce crachat littéraire, dont l'intérêt n'est plus qu'historique, le temps passé au dessus de combats maintenant désuets ayant fait son oeuvre. Reste les saillies céliniennes...
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L'homme n'évolue pas. Il vieillit, c'est tout. Il pourrit quoi.

Mea Culpa est un pamphlet. On y retrouve tout le dégoût que Céline éprouve pour l'humain. Tout l'amour aussi. Qui aime bien châtie bien.

Dans cet essai philosophique et politique, Céline nous rappelle qu'on est passés par la tyrannie, par la terreur, par la révolution qui n'aura servi qu'à mettre en place "la gluante emprise bourgeoise. Classe plus sournoisement tyrannique, cupide, rapace, tartufière à bloc ! Moralisante et sauteuse ! Impassible et pleurnicharde ! de glace au malheur. Plus inassouvible ? plus morpione en privilèges ? Ça ne se peut pas ! Plus mesquine ? plus anémiante ? plus férue de richesses plus vides ? Enfin pourriture parfaite." Comme quoi, la révolution n'aura servi à rien à part verser le sang. On est passés de la tyrannie à la tyrannie.

Celine nous parle ensuite de la Machine à l'ère industrielle. Il s'attaque alors au communisme. Il nous sert le discours, comme quoi l'usine c'est magique. Et il se moque de ce type de discours. Il se moque d' Agnès Pannier-Runacher quoi :

"Il faut être " Intellectuel " éperdu dans les Beaux-Arts, ensaché depuis des siècles, embusqué, ouaté, dans les plus beaux papiers du monde, petit raisin fragile et mûr, au levant des treilles fonctionnaires, douillet fruit des contributions, délirant d'Irréalité, pour engendrer, aucune erreur, ce phénoménal baratin ! La machine salit à vrai dire, condamne, tue tout ce qui l'approche. Mais c'est dans le " bon ton " la Machine ! Ça fait " prolo ", ça fait " progrès ", ça fait " boulot ", ça fait " base "... Ça en jette aux carreaux des masses... Ça fait connaisseur instruit, sympathisant sûr... On en rajoute... On en recommande... On s'en fait péter les soupapes... " Je suis ! nous sommes dans la ''ligne'' ! Vive la grande Relève ! Pas un boulon qui nous manque ! L'ordre arrive du fond des bureaux ! " Toute la sauce sur les machines ! Tous les bobards disponibles ! Pendant ce temps-là, ils ne penseront pas !..."

Celine nous parle même du Président qui se réclame Jupitérien : "Éberlué, démesuré, irrémédiable, mouton et taureau mélangé, hyène aussi. Charmant. le moindre obstrué trou du cul, se voit Jupiter dans la glace."

Mais attention, Celine n'appelle pas à renverser la tyrannie. Non, car le problème, c'est l'homme, pas le système. Même si le système a tort dans le sens où il ment à l'homme, qu'il le trompe, dans le sens aussi où il glorifie l'homme alors qu'il ferait mieux de le rabaisser, au contraire, de l'insulter : ce qu'il se donne pour mission dans son oeuvre. Heureusement qu'il est là. Céline, ce sauveur de l'humanité.

Il fait le bilan de notre malheur : " Toutes tes peines seront les miennes "... et l'Homme plus il se comprime et se complique, plus il s'éloigne de la nature, plus il a des peines forcément... Ça peut aller que de mal en pire de ce côté-là, du côté du système nerveux. le Communisme par-dessus tout, même encore plus que les richesses, c'est toutes les peines à partager. Y aura toujours, c'est fatal, c'est la loi biologique, le progrès n'y changera rien, au contraire, beaucoup plus de peines que de joies à partager... Et toujours, toujours davantage... le coeur pourtant ne s'y met pas. C'est difficile

de le décider... Il rechigne... Il se dérobe... cherche des excuses... Il pressent... Automatiquement, c'est la foire ! Un système communiste sans communistes. Tant pis ! Mais il faut rien en laisser paraître ! Qui dira " pouce " sera pendu !...

A nous donc les balivernes ! A notre renfort tous les supposés cataclysmes ! Les ennemis rocambolesques ! Il faut occuper les tréteaux ! Qu'on renverse pas la cabane ! Les coalitions farouches ! Les complots charognissimes ! Les procès apocalyptiques ! Faut retrouver du Démon ! le même à toute extrémité ! le bouc de tous les malheurs ! Noyer le poisson à vrai dire ! Étouffer la dure vérité : que ça ne colle pas les " hommes nouveaux " ! Qu'ils sont tous fumiers comme devant !

Encore nous ici on s'amuse ! On est pas forcé de prétendre ! On est encore des " opprimés " ! On peut reporter tout le maléfice du Destin sur le compte des buveurs de sang ! Sur le cancer " l'Exploiteur ". Et puis se conduire comme des garces. Ni vu ni connu !... Mais quand on a plus le droit de détruire ? et qu'on peut même pas râler ? La vie devient intolérable !...

Jules Renard l'écrivait déjà : " Il ne suffit pas d'être heureux, il faut que les autres ne le soient pas. " Ah ! C'est un vilain moment, celui où on se trouve forcé de prendre pour soi toute la peine, celle des autres, des inconnus, des anonymes, qu'on bosse tout entièrement pour eux... On y avait juré à Prolo que c'était justement les " autres " qui représentaient toute la caille, le fiel profond de tous ses malheurs ! Ah ! l'entôlage ! La putrissure ! Il trouve plus les " autres "...

Et puis il s'adoucit, il compare notre situation à celle des communistes russes. Il les trouve plus à plaindre que nous car moins libres. Nous au moins, on peut avoir une part de bonheur grâce au divertissement :

"Y a encore des petits loisirs, des drôles de fredaines clandestines, du plaisir enfin ! Même l'exploité 600 pour 100, il a gardé ses distractions ! Comme il aime jaillir du boulot dans un smoking tout neuf (location), jouer les millionnaires whisky ! Se régaler de cinéma ! Il est bourgeois jusqu'aux fibres ! Il a le goût des fausses valeurs. Il est singe. Il est corrompu... Il est fainéant d'âme... Il n'aime que ce qui coûte cher ! ou à défaut, ce qui lui semble tel ! Il vénère la force. Il méprise le faible. Il est crâneur, il est vain ! Il soutient toujours le " faisan ". Visuel avant tout, faut que ça se voye ! Il va au néon comme la mouche. Il y peut rien. Il est clinquant. Il s'arrête tout juste à côté de ce qui pourrait le rendre heureux, l'adoucir. Il souffre, se mutile, saigne, crève et n'apprend rien. le sens organique lui manque. Il s'en détourne, il le redoute, il rend la vie de plus en plus âpre. Il se précipite vers la mort à grands coups de matière, jamais assez... le plus rusé, le plus cruel, celui qui gagne à ce jeu, ne possède en définitive que plus d'armes en main, pour tuer encore davantage, et se tuer. Ainsi sans limite, sans fin, les jeux sont faits !... C'est joué ! C'est gagné !..."

Faut-il rappeler qu'en règle générale, lorsqu'on joue, on perd plus qu'on ne gagne ?
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Parmi les contestataires, il y a ceux qui contestent, avec intelligence, en développant un point de vue argumenté et intéressant, et puis il y a ceux qui veulent tout démolir, sans discernement. Malgré son style unique, son talent d'écrivain, Louis-Ferdinand Céline fait partie de ceux-là.
"Mea culpa" est une manière de manifeste où l'auteur du "Voyage au bout de la nuit" attaque la société dans ses fondements, dans ses piliers, dans ce qui fait que la société est société, dans ce qui réunit toute la société, mais si ce n'était que cela, ce serait aisément compréhensible ; ce sentiment pourrait être partagé. Hélas, il n'en est pas ainsi.
On peut dire qu'ici, en quelque sorte, Céline tire sur tout ce qui bouge, la société, les alternatives à celles-ci telle qu'elle est, etc.
Et, je n'en vois pas l'intérêt. Honnêtement, lire, même pendant un texte aussi bref que "Mea culpa" que rien ne va et que tout va mal n'est peut-être pas faux, mais n'est pas extrêmement intéressant. Il serait plus intéressant, plutôt que de ne cesser de répéter ce constat de toutes les manières, de tenter de connaître les raisons de cet état de fait et d'examiner comment mettre fin à cette situation. Hélas, j'ai bien peur que cette idée n'ait jamais traversé la tête de Louis-Ferdinand Céline.
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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
La grande prétention au bonheur, voilà l'énorme imposture ! C'est elle qui complique toute la vie ! Qui rend les gens si venimeux, crapules, imbuvables. Y a pas de bonheur dans l'existence, y a que des malheurs plus ou moins grands, plus ou moins tardifs, éclatants, secrets, différés, sournois... " C'est avec des gens heureux qu'on fait les meilleurs damnés. " Le principe du diable tient bon. Il avait raison comme toujours, en braquant l'Homme sur la matière. Ça n'a pas traîné. En deux siècles, tout fou d'orgueil, dilaté par la mécanique, il est devenu impossible. Tel nous le voyons aujourd'hui, hagard, saturé, ivrogne d'alcool, de gazoline, défiant, prétentieux, l'univers avec un pouvoir en secondes ! Éberlué, démesuré, irrémédiable, mouton et taureau mélangé, hyène aussi. Charmant. Le moindre obstrué trou du cul, se voit Jupiter dans la glace. Voilà le grand miracle moderne. Une fatuité gigantesque, cosmique. L'envie tient la planète en rage, en tétanos, en surfusion. Le contraire de ce qu'on voulait arrive forcément. Tout créateur au premier mot se trouve à présent écrasé de haines, concassé, vaporisé. Le monde entier tourne critique, donc effroyablement médiocre. Critique collective, torve, larbine, bouchée, esclave absolue.
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Pour l'esprit, pour la joie, en Russie, y a la mécanique.. La vraie terre promise ! Salut ! La providentielle trouvaille ! Il faut être " Intellectuel " éperdu dans les Beaux-Arts, ensaché depuis des siècles, embusqué, ouaté, dans les plus beaux papiers du monde, petit raisin fragile et mûr, au levant des treilles fonctionnaires, douillet fruit des contributions, délirant d'Irréalité, pour engendrer, aucune erreur, ce phénoménal baratin ! La machine salit à vrai dire, condamne, tue tout ce qui l'approche. Mais c'est dans le " bon ton " la Machine ! Ça fait " prolo ", ça fait " progrès ", ça fait " boulot ", ça fait " base "... Ça en jette aux carreaux des masses... Ça fait connaisseur instruit, sympathisant sûr... On en rajoute... On en recommande... On s'en fait péter les soupapes... " Je suis ! nous sommes dans la ''ligne'' ! Vive la grande Relève ! Pas un boulon qui nous manque ! L'ordre arrive du fond des bureaux ! " Toute la sauce sur les machines ! Tous les bobards disponibles ! Pendant ce temps-là, ils ne penseront pas !...

Comme Résurrection c'est fadé !... La machine c'est l'infection même. La défaite suprême ! Quel flanc ! Quel bidon ! La machine la mieux stylée n'a jamais délivré personne. Elle abrutit l'Homme plus cruellement et c'est tout ! J'ai été médecin chez Ford, je sais ce que je raconte. Tous les Fords se ressemblent, soviétiques ou non !... Se reposer sur la machine, c'est seulement une excuse de plus pour continuer les vacheries. C'est éluder la vraie question, la seule, l'intime, la suprême, celle qu'est tout au fond de tout bonhomme, dans sa viande même, dans son cassis et pas ailleurs !... Le véritable inconnu de toutes les sociétés possibles ou impossibles... Personne de ça n'en parle jamais, c'est pas " politique " !.... C'est le Tabou colossal !... La question " ultime " défendue ! Pourtant qu'il soit debout, à quatre pattes, couché, à l'envers, l'Homme n'a jamais eu, en l'air et sur terre, qu'un seul tyran : lui-même !... Il en aura jamais d'autres... C'est peut-être dommage d'ailleurs... Ça l'aurait peut-être dressé, rendu finalement social.
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La machine c'est l'infection même. La défaite suprême! Quel flanc! Quel bidon! La machine la mieux stylée n'a jamais délivré personne. Elle abrutit l'Homme plus cruellement et c'est tout! J'ai été médecin chez Ford, je sais ce que je raconte. Tous les Fords se ressemblent, soviétiques ou non!... Se reposer sur la machine, c'est seulement une excuse de plus pour continuer les vacheries. C'est éluder la vraie question, la seule, l'intime, la suprême, celle qu'est tout au fond de tout bonhomme, dans sa viande même, dans son cassis et pas ailleurs!... Le véritable inconnu de toutes les sociétés possibles ou impossibles... Personne de ça n'en parle jamais, c'est pas "politique"!... C'est le Tabou colossal!... La question "ultime" défendue! Pourtant qu'il soit debout, à quatre pattes, couché, à l'envers, l'Homme n'a jamais eu, en l'air et sur terre, qu'un seul tyran : lui-même!... Il en aura jamais d'autres... C'est peut-être dommage d'ailleurs... Ça l'aurait peut-être dressé, rendu finalement social.
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La supériorité pratique des grandes religions chrétiennes, c'est qu'elles doraient pas la pilule. Elles essayaient pas d'étourdir, elles cherchaient pas l'électeur, elles sentaient pas le besoin de plaire, elles tortillaient pas du panier. Elles saisissaient l'Homme au berceau et lui cassaient le morceau d'autor. Elles le rencardaient sans ambages : "Toi petit putricule informe, tu seras jamais qu'une ordure... De naissance tu n'es que merde... Est-ce que tu m'entends?... C'est l'évidence même, c'est le principe de tout! Cependant, peut-être... peut-être... en y regardant de tout près... que t'as encore une petite chance de te faire un peu pardonner d'être comme ça tellement immonde, excrémentiel, incroyable... C'est de faire bonne mine à toutes les peines, épreuves, misères et tortures de ta brève ou longue existence. Dans la parfaite humilité... La vie, vache, n'est qu'une âpre épreuve! T'essouffle pas! Cherche pas midi à quatorze heures! Sauve ton âme, c'est déjà joli! Peut-être qu'à la fin du calvaire, si t'es extrêmement régulier, un héros, 'de fermer ta gueule', tu claboteras dans les principes... Mais c'est pas certain... un petit poil moins putride à la crevaison qu'en naissant... et quand tu verseras dans la nuit plus respirable qu'à l'aurore... Mais te monte pas la bourriche! C'est bien tout!... Fais gaffe! Spécule pas sur des grandes choses! Pour un étron c'est le maximum!..."
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L’Homme il est humain à peu près autant que la poule vole. Quand elle prend un coup dur dans le pot, quand une auto la fait valser, elle s’enlève bien jusqu’au toit, mais elle repique tout de suite dans la bourbe, rebecqueter la fiente. C’est sa nature, son ambition. Pour nous, dans la société, c’est exactement du même. On cesse d’être si profond fumier que sur le coup d’une catastrophe. Quand tout se tasse à peu près, le naturel reprend le galop.
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M : 5:05 - MALADIE - Boris Vian 5:18 - MARIAGE - Édouard Pailleron
5:31 - Générique
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE : Jean Delacour, Tout l'esprit français, Paris, Albin Michel, 1974.
IMAGES D'ILLUSTRATION : Madame de Sévigné : https://www.linternaute.fr/biographie/litterature/1775498-madame-de-sevigne-biographie-courte-dates-citations/ Delphine Gay : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/5e/Delphine_de_Girardin_1853_side.jpg George Sand : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/0/09/George_Sand_%281804-1876%29_M.jpg Robert Poulet : https://www.belgiumwwii.be/belgique-en-guerre/personnalites/poulet-robert.html Jean-François Marmontel : https://www.posterazzi.com/jean-francois-marmontel-n-1723-1799-french-writer-stipple-engraving-french-c1800-poster-print-by-granger-collection-item-vargrc0085347/ Pierre-Adrien Decourcelle : https://www.mediastorehouse.co.uk/fine-art-finder/artists/henri-la-blanchere/adrien-decourcelle-1821-1892-39-boulevard-des-25144380.html Victor Hugo : https://www.maxicours.com/se/cours/les-funerailles-nationales-de-victor-hugo/ Alphonse Karr : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/9/9c/Personnalités_des_arts_et_des_lettres_-_Alphonse_Karr_%28Nadar%29.jpg Anatole France : https://rickrozoff.files.wordpress.com/2013/01/anatolefrance.jp Alphonse Allais : https://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/alphonse-allais-faits-divers.html Louis Scutenaire : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Scutenaire#/media/Fichier:Louis_Scutenaire,_rue_de_la_Luzerze.jpg Marcel Pagnol : https://www.aubagne.fr/actualites-109/marcel-pagnol-celebre-dans-sa-ville-natale-2243.html?cHash=50a5923217d5e6fe7d35d35f1ce29d72#gallery-id-4994 Anne Barratin : https://www.babelio.com/auteur/Anne-Barratin/302855 Charles Pinot Duclos
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