Un livre plaisant. Une lecture facile.
Mais il faut lui préférer
Malevil de
Robert Merle. Ils partagent ce goût commun pour parler de communautés reconstruites après une crise économique ou après une catastrophe naturelle et tentent de montrer que la lente construction de l'humanité telle que nous la connaissons, nous occidentaux, n'est pas à l'abri de la barbarie.
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