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EAN : 9782081387119
256 pages
Flammarion (02/03/2016)
3.29/5   214 notes
Résumé :
Il nous a fait redécouvrir La Fontaine, Rimbaud et Céline. Il incarne l'esprit et le panache de la langue française. En prose, en vers et même en verlan, il a donné sa voix à d'immenses auteurs, auxquels il sait faire respirer l'air de notre temps. Il a quitté l'école à quatorze ans pour devenir apprenti coiffeur. Il est aujourd'hui l'un de nos plus grands comédiens, célébré pour ses lectures-spectacles, couronné pour ses rôles au cinéma. Dans son autobiographie, Fa... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (65) Voir plus Ajouter une critique
3,29

sur 214 notes
Tout d'abord, il faut que je l'avoue : je suis un inconditionnel du Fabrice… Oui : j'aime beaucoup, même quand il fait du Luchini à la demande, promo oblige.

Alors là, « Comédie française, Ça a débuté comme ça… » annoncé comme autobiographique : la promesse d'un régal, doublée d'une occasion d'en connaître un peu plus sur le phénomène. Car il s'agit bien d'un phénomène, le Fabrice : mémoire de numéro de foire, diction tellement particulière, emphase et excès en tous genres. Un numéro à lui tout seul.
Petite déception néanmoins dans la mesure où le coté autobiographique est vraiment secondaire et pas vraiment révélateur : coiffeur, petits boulots, puis Rohmer…

Pour le reste une série de textes commentés à la façon de ses spectacles… Il écrit comme il parle le bougre, on l'entend en lisant… On retrouve La Fontaine, Molière, Céline, évidemment, mais aussi Proust, Rimbaud, Stendhal, Nietzsche … ses habitués, Barthes, Genet également… On rencontre Jouvet… Vient Philippe Muray ; c'est long Philippe Muray : un auteur que je m'étais promis de lire un jour mais que le chapitre 9 du bouquin m'a permis d'éliminer (provisoirement ?) de ma liste des auteurs en attente…

Bref ! Quelques passages succulents comme seul Luchini sait nous en produire, malgré quelques redites maintes fois entendues à la télé et à la radio lors de la promotion de l'ouvrage. Un peu déçu ? Oui… je me dois de le dire, tout inconditionnel de l'auteur que je suis et que je pense, je serai encore à l'avenir.
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Ce récit de Fabrice Luchini me laisse sur une impression mitigée. Preneur du Luchini acteur, je dois avouer que ce monologue est à la fois à l'image du bonhomme, capable d'envolées surréalistes, drôles qui font de lui un bon client des plateaux télés, mais aussi ici, une forme d'agacement, l'impression que lui l'autodidacte apprenti coiffeur, devenu l'ami par textes interposés des plus grandes plumes, étalait son érudition devant un parterre de candides ou de sots. Pourtant, certains passages sont passionnants (j'ai adoré le texte de Philippe Muray) et on pardonne à Luchini une forme de condescendance. Mais du coup, pour l'autobiographie, on reste quand même sur notre faim. Reste l'immense acteur, formidable passeur de mots pour nos oreilles toutes ouïes.
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Je me suis plongé, quelques semaines avant Cannes où il venait présenter Ma Loute de Bruno Dumont ( dont j'ai parlé vendredi dernier) dans la première autobiographie tant attendue de l'immense Fabrice Lucchini qu'il avait publié chez Flammarion en mars dernier et que chaque fan de l'acteur- dont je fais assurément partie, ne pouvait que se procurer.

Un livre qui ne constitue pas vraiment ses mémoires comme on avait eu tendance un peu à le vendre à sa sortie, puisque si Fabrice Lucchini y raconte rapidement sa vie, il revient surtout sur ses tous débuts, en nous expliquant comment l'apprenti coiffeur qu'il était à 13 ans est devenu celui qui fait aimer les Lettres par ses lectures seul en scène et surtout sur cet amour de la langue française qui l'anime et qu'il défend et au théâtre et dans les médias avec sa verve et la faconde légendaire.

Par contre, que les amateurs des coulisses de tournage ravalent leur déception : on n'aura pas droit à des anecdotes de tournage que Lucchini juge d'emblées peu interessantes et on n'aura donc rien de tel,

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à part un petit journal de bord très bref sur le tournage de "Ma Loute," que Lucchini tournait au moment de l'écriture du livre, et on s'aperçoit comme l'acteur l'a confirmé à Cannes que les relations de tournage avec Bruno Dumont - qui a réalisé la vie de Jésus ( cqfd) ne fut pas des plus simples qui soient.

Mais avant tout, "Comédie Francaise " est surtout une ode aux grands textes : La Fontaine, Céline, Molière, Philippe Murray, Roland Barthes ou encore Nietzsche. sont ainsi glorifiés et analysés dans ce "Comédie Française" qui sonne parfois comme un recueil de citations qu'on lit avec en tête le phrasé si particulier de Lucchini.

Parfois , c'est aussi délectable qu' à l'oral, parfois en revanche, ca passe un peu moins bien et on s'aperçoit alors en lisant quelques phrases de ce livre, combien il s'avère difficile de transposer le langage parlé en langage écrit..

De même, la charge contre la société actuelle n'est pas toujours des plus fines et accentue le coté un peu réac qui colle souvent à la peau de ce fan de Philippe Muray..
Cependant, malgré ces quelques réserves (et puis on connait le bonhomme, on sait que tout n'est pas à prendre au pied de la lettre), le plaisir de lecture est évident si on aime le bonhomme ...et les allergiques au comédien passeront évidemment leur chemin..

Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Voilà le résultat !
Quand on donne carte blanche à un apprenti coiffeur habitant du quartier de la goutte d'or à Paris !
Au départ il n'y connaît rien, il ignore tout de ce monde de la déclamation. Il ne se laisse pas abattre. Avec malice il évolue pour et dans ce milieu extravertis. Quelques années, quelques rencontres déterminantes suffisent. Il atteint les sommets théâtreux et cinématographiques. Ce destin Luchinien est du type « non prédéterminé ». C'est ça l'épatant, c'est beau, c'est presque scandaleux ! C'est ça qu'il clame haut et fort ! Je suis présent écoutez-moi !

Fabrice Luchini ne récite pas ! Il fait vivre et vibrer le texte, il s'oublie dedans, la phrase étant « l'état à atteindre » son être en entier est voué à faire ressentir au lecteur ou au spectateur le sens des phrases composant le texte. Alors il fait passer l'émotion voulu par l'auteur, il utilise les intonations variables de sa voix, il utilise ce procédé à fond, il n'est pas dans la demie mesure Fabrice, il utilise …la stupeur … les trous de mémoires voulus ou non, et nous, nous jubilons de l'effet que cela fait !
Son cinéma, son style c'est ce qui le distingue tellement des autres … Résister ? non ! En parallèle de cette lecture, j'ai regardé Fabrice Luchini sur scène grâce à Youtube, du coup en reprenant le livre, je le vois me faire la lecture de sa vie … terrible ! Quelle truculence ! Quelle véhémence ! Quelle énergie !

Je suis éblouis parce qu'il est lui-même éblouit par l'autre, qui vient le voir, l'autre qui le lit, il joue avec mes émotions, il sait intéresser l'autre grâce à ce qu'il dégage, grâce à sa littéraire passion, il sait faire corps avec l'autre, il ira jusqu'à l'épuisement si il le faut. Son exaltation pour les mots et leur agencement dans la phrase lui coûte … et lui rapporte. C'est un enchantement de le lire, de l'écouter …
Il captive son auditoire avec la lecture de ces auteurs que je vais découvrir. Il y a Louis Ferdinand Céline, oui ça c'est prévu, Rimbaud, la poésie l'art délicat peut-être,
La Fontaine, connu comme le perspicace, Nietzche, là je ne m'y risque pas une deuxième fois …

Un passage m'a marqué c'est le moment d'un poème ou cette femme … Cette femme que je n'ai pas envie de voir disparaître …

En lisant ses mots, je le vois, lui Fabrice, il monte sur scène avec tous ses compagnons du genre littéraire ou du genre cinéma, tous ses fantômes, il me narre sa vie. A travers les auteurs qu'il admire sa vie avance, il y a avec lui François Truffaut, Eric Rohmer, Marcel Proust, Gustave Flaubert, Victor Hugo, Charles Baudelaire, Paul Valéry, Emil Cioran, Roland Barthes, Jean Genet, Samuel Beckett, Molière, Louis Jouvet, Jean Racine, Philippe Murray et j'en oublie …pardon.
Il me transmet sa passion du verbe, j'y prends un plaisir dingo, je jubile, je ris de nouveau, merci Fabrice. Il y a son côté un peu réactionnaire qui s'échappe de sa prose mais ce n'est un problème …

Voilà le résultat !
L'acteur, le comédien, se tait et donne de sa personne autrement, il écrit.
C'est très curieux, sa présence charnelle, sa diction, ses gesticulations, demeurent. Il est là à travers son texte. C'est comme un flottement, une évocation, une oraison… Luchini devient un mythe de son vivant ?

C'est une recommandation, un pur régal spirituel !
Essayez-le !
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La plupart de ceux qui ont acheté ce livre (pour ne pas dire tous) sont des fans de Luchini. En effet, l'homme ne laisse pas indifférent : On adore ou on déteste.
Pour ma part j'aime beaucoup cet acteur, lecteur, etc, même quand il est en représentation dans les émissions de promotion.

J'ai entendu parler de ce bouquin dans plusieurs émissions de radio et bien sûr je me suis précipité. Outre que l'éditeur nous parle bien d'autobiographie, j'ai sérieusement l'impression que certains pseudo-critiques qui en ont parlé (pas tous) n'avaient lu que les vingt premières pages, les dix dernières et la quatrième de couverture. En effet il y a toute une partie où l'on pouvait attendre Fabrice Luchini : Celle où il aborde, cite, dissèque, explique ses auteurs fétiches, ses maîtres. Et on retrouve bien sûr Céline, La Fontaine, Rimbaud, Barthes, Proust, Nietzche et même Philippe Murray qui est cité dans un étonnant poème sur huit pages !
Toute cette partie m'a plu car elle est érudite, intelligente, même si elle ressasse de nombreuses anecdotes déjà entendues ça et là. Mais je suis désolé : ce n'est pas de l'autobiographie.

Tout cela a finalement peu d'importance. J'ai passé un très bon moment de lecture et je me suis senti plus heureux en refermant ce livre.
A vous de juger.
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critiques presse (1)
LaPresse
23 mars 2016
Ce livre est surtout une autre occasion pour lui de redire toute son admiration pour ceux dont il se voit comme le passeur.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Citations et extraits (66) Voir plus Ajouter une citation
Il est fin le 80. S’il était le 30, il pourrait aller directement à l’Étoile par le boulevard des Batignolles. C’est pas le cas, il tourne à gauche, rue de Saint-Pétersbourg. Il descend doucement vers l’apaisement de la bourgeoisie. Place de l’Europe, on sent que ça y est. Fini la cacatouille, Haussmann a bossé. Du très bon Haussmann. Du Haussmann triste, sans hystérie, dépressif. Du Haussmann protestant, quoi, mais du baron quand même. Autour de la place de l’Europe, il suffit d’énumérer le nom des rues pour comprendre que le monde s’élargit : rue de Madrid, rue de Saint-Pétersbourg, rue de Rome, rue de Budapest, rue de Moscou ! Il n’y a pas un bistrot, pas un troquet, mais du mystère dans tous les apparts. Ça change du reste de Paris et des restaurants qui, aujourd’hui, poussent comme des champignons. Tout le monde a l’air de s’en foutre, mais devant l’industrialisation du restaurant à Paris on devrait quand même s’interroger ! Tous les mois il y a un nouvel endroit et on dirait que ce nouvel endroit produit une nouvelle clientèle ! On dirait que le bobo se reproduit en fonction du nouveau restaurant ! C’est fascinant. Place de l’Europe, pas de restau, ni de bobo. C’est froid, triste mais il y a du lingot. C’est secret. On ne jouit pas, place de l’Europe. Ici, on ne rigole pas. Ici, on cache. On ne joue pas le 16e arrondissement. Quand on arrive là, avec Maman, on est comme Frédéric Lopez dans l’émission « Rendez-vous en terre inconnue ». Vous savez, cette émission fascinante où l’on voit les actrices se lier d’amitié avec certains Papous. Il paraît qu’à chaque fois c’est un triomphe. Très grosse audience. Énorme audience. Énorme audience Frédéric Lopez ! Ça peut monter à huit millions de gens. Huit millions de gens qui voient les riches qui voient des pauvres : c’est magnifique ! Place de l’Europe, donc, je ne sais plus comment je m’appelle. La rue de Miromesnil me semble bouleversante. Quartiers chics. Ça dégage, c’est large, c’est plein de perspectives. La bourgeoisie a l’immense arrogance d’être dans les lieux où tout est aéré. Il y a de l’arbre dans la bourgeoisie. Des feuilles et des branches. On est dans les cimes. « Là-haut, dit Nietzsche, il faut être apte au climat très puissant. » Ce qui est pathétique dans la bourgeoisie, c’est que ces sommets l’angoissent et comme ça la gêne terriblement, elle recrée du lien parce qu’il n’y a pas de bourgeois sans dîners et qu’il n’y a rien de plus accablant que des dîners où l’on vous demande si vous avez lu le dernier Houellebecq. J’arrive à Saint-Philippe-du-Roule, je ne comprends plus rien : c’est de l’hébreu ! Enfin, on s’arrête au rond-point des Champs-Élysées. Du monde fermé, celui de l’enfance et des angoisses, j’entre dans un autre. 3, avenue Matignon. Un bel immeuble années 1930. Grand escalier, des tapis. Des tapis incroyables. Si je pouvais aujourd’hui en tirer des moquettes, je le ferais. Je n’ai jamais eu d’aussi belles moquettes que celles de cet escalier. À l’étage, deux énormes orangers. On s’assoit. Une Alsacienne fait le ménage. On est à la fin de la journée. Ma mère parle, elle connaît le métier : c’est le même que le sien. Tôt le matin, elle part au Figaro pour nettoyer les bureaux. On est reçu par le patron. Il ressemble à Georges Brassens. C’est l’associé de Jacques Dessange. J’ai les cheveux un peu courts. On est obsédé par les Beatles, on n’a pas le droit d’avoir les cheveux longs et là le patron dit : « Il n’y a qu’une chose qu’ils doivent faire s’ils sont pris, les employés, c’est se laisser pousser les cheveux et certainement changer de prénom. » C’est même plus qu’un déclic que ça produit. Je fais un numéro sur ma motivation. Il me dit que Robert c’est trop populaire. Il ne doit pas connaître Robert de Saint-Loup. Je dis : « Jean-Octave ou Fabrice. – Va pour Fabrice. » J’invente n’importe quoi, j’explique que j’ai toujours rêvé d’être coiffeur, que c’est plus qu’une passion : une vocation ! Je deviens Fabrice.
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Aujourd'hui le deux-roues est comme une métaphore de la société, agressive ; il veut aller plus vite, il ne supporte pas de s'arrêter, même dans les embouteillages. Il n'a même plus deux roues mais trois. Il a le portable écrabouillé dans l'oreille, il écrit des SMS tout en roulant. Ce qui est impressionnant à remarquer, modestement, c'est le feu rouge. Le feu rouge ne peut plus être subi. Car le feu rouge subi, c'est le rien. Le feu rouge sans SMS, c'est l'homme sans Dieu. Il n'en peut plus, il est irrité. Il n'est pas du tout le deux-roues d'il y a trente ans ouvert aux vents dans une vision panthéiste de l'actualité. Aujourd'hui, il veut aller plus vite que la voiture. Il regarde son portable comme au précédent feu rouge, 1,27 mètre plus tôt, et il se demande s'il a un SMS. Quelque chose qui se soit passé. Mais rien ne s'est passé. C'est ça qui est fascinant.
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Alors que je passe mon temps à témoigner d’auteurs plus grands que moi, d’auteurs immenses, les gens ont parfois tendance à penser que j’occupe le terrain par infatuation de l’ego. Je me vis comme un passeur. [ ] Je suis tellement sûr de mes écrivains [ ] que je suis inébranlable, incontestable. P225

Le théâtre a été un miracle. Je souffrais de cette anxiété très grande qui faisait que je prenais beaucoup trop de place, que j’étais égocentré et incroyablement narcissique. [ ] J’avais un besoin immense d’être aimé et je m’effondrais dès qu’on ne m’aimait plus. P212
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" Par les soirs bleus d’été, j’irai par les sentiers (Rimbaud). "Avouez que c'est quand même autre chose que ces images où les gens sont très épanouis mais toujours avec des chips et où tout le monde est en groupe »
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Que nous dit Muray? Il nous dit que notre époque s'exprime par ses fêtes.Si Muray critique le festif, nous sommes d'accord, ce n'est pas parce qu'il n'aime pas les fêtes . Ce n'est pas un raseur.Il lutte simplement contre un comportement imposé, il montre que le "festif" abrite une sorte de systéme totalitaire.Non parce que ce n'est pas bien que les gens s'éclatent mais parce qu'il éteint toute individualité, il éteint toute analyse négative du réel, il éteint toute problématique de souffrance .Il évacue le tragique de l'existence , empêchant ainsi toute littérature.Il transforme le réel en une grande fête insaisissable, indéfinissable.la comédie humaine est déshumanisée puisqu'elle est perpétuellement connectée et souriante
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Videos de Fabrice Luchini (29) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Fabrice Luchini
Émission “Répliques” enregistrée le 17 novembre 2015 et diffusée sur France Culture le 28 novembre 2015 dans le cadre des 30 ans de l'émission. Qui sont les grands prosateurs ? et comment les distinguer ? Pour en débattre, Alain Finkielkraut a réuni Suzanne Julliard qui vient de publier une “Anthologie de la prose française” ordonnée par genres (des orateurs aux critiques) et le comédien Fabrice Luchini qui, dans son dernier spectacle Poésie ?, va chercher la poésie dans la prose. Photographie : Fabrice Luchini © Sylvie Lancrenon. Son site internet: http://www.sylvielancrenon.com. Suzanne Julliard, Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/JC MARMARA/LE FIGARO Lectures d’extraits :
“Un cœur simple” de Gustave Flaubert par Fabrice Luchini ”Mort à crédit” de Louis-Ferdinand Céline par Fabrice Luchini “L'Abbé Dubois” de Saint-Simon par Alain Finkielkraut “Un amour de Swann” de Marcel Proust par Fabrice Luchini “La prisonnière” de Marcel Proust par Suzanne Julliard “L’Argent” de Charles Péguy par Alain Finkielkraut “Le Bateau Ivre” de Arthur Rimbaud par Fabrice Luchini “Du cul des vaches après l’histoire” de Philippe Muray par Alain Finkielkraut
Invités : Suzanne Julliard, professeur de lettres, prix de l’Académie Française 2003. Fabrice Luchini, comédien
Thèmes : Idées| Littérature Française| Prose| Poésie| Suzanne Julliard| Fabrice Luchini
Source : France Culture
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