Voila qui promet une série à multiples rebondissements !
Nina est officiere de police, sous les ordres de son père, ce qui n'est pas simple, pourtant tout comme pour les autres recrues, elle doit faire ses preuves. Fille ou pas fille, le commissaire ne laissera rien passer.
Pour sa première enquête sur le terrain, elle va faire équipe avec Josh, un nouveau lui aussi. Cette enquête les mènera dans le bureau du canonisime Bruce Willington, petit fils et seul ayant droit du peintre Charles Willington dont une des peinture est apparemment une simple copie.
Cela fait de nombreuses annéesque celle-ci appartient à une connaissance de Charles, et donc de Bruce. C'est en voulant vendre ce tableau que l'autentification a révélé que ce n'était pas un vrai.
Par son comportement, nous pourrions penser que le sexy Bruce à quelque chose à cacher, d'ailleurs il dit lui-même qu'il n'aime pas la police. Aurait-il certains secrets qui ne doivent pas être dévoilés ? Il semble honnête et en même temps suspect …
Pour couronner le tout, il y a comme de l'électricité dans l'air lorsque Nina se trouve dans la même pièce que lui.
Y en série à ne pas manquer, en tout cas, moi, je serai bien présente pour lire la suite 😺
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L’adolescent des photos est devenu un homme, et quel homme ! Il est d’une beauté à couper le souffle : des cheveux bruns bouclent sur sa nuque, encadrant un visage à la peau hâlée et aux traits fins, rehaussés par des yeux marron clair pétillants d’intelligence. Sa bouche charnue et pulpeuse donne envie de la mordre tellement elle est sensuelle. Enfin, une charmante fossette au menton lui donne un côté fragile, très craquant. L’illusion de la vulnérabilité s’effondre dès que mes yeux glissent sur ses épaules. Ses muscles bien dessinés tendent le tissu d’une chemise blanche sans doute hors de prix. Il la porte sur un pantalon en lin clair qui lui va à la perfection. Je n’arrive pas à détacher mes yeux de cet homme. Mon cœur s’est mis à battre fort contre mes tempes et durant une seconde, je n’entends que lui.
Le baiser que Bruce et moi avons échangé imprègne encore chacun de mes sens : la chaleur de ses lèvres sur les miennes, son souffle, sa fougue, nos corps collés l’un à l’autre… Toutes ces sensations sont trop fortes et encore bien trop présentes dans ma mémoire pour s’effacer si vite.
Mais aussi délicieux soit-il, ce moment n’aurait jamais dû avoir lieu. Tant que je ne l’ai pas définitivement mis dans la case « Innocent », Bruce Willington ne m’est pas accessible. Il est un nom dans un dossier. Une personne pour qui je me dois de conserver l’esprit clair, neutre et objectif.
Je déteste ce genre de mondanités, dans lesquelles mon rôle se borne à sourire bêtement tandis que mon père courtise les grandes fortunes et les hommes d’influence, dans l’espoir de faire un jour partie des mêmes cercles.
Il faudra que je trouve un emplacement de choix pour les orchidées : elles sont splendides, même si la manière dont je les ai reçues était pour le moins maladroite. Je pourrais les contempler durant quelque temps avant de passer à autre chose lorsqu’elles auront fané. C’est une bonne façon de clore le débat et de classer notre baiser comme un « moment délicieux mais impossible à renouveler ».
Mon métier m’a enseigné certaines choses, par exemple, à me méfier des hommes de pouvoir. Ils sont parfois attirants mais souvent dangereux. Je le sais pour en avoir côtoyé : les « fils de » de l’école de police, les officiers à la petite autorité qui en usent au commissariat, les criminels en col blanc sur lesquels j’ai enquêté à la brigade financière…