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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Qu'est ce que c'est jouissif une bd comme ça !!

Et qui aurait pu penser qu'une BD faite de vieux aurait pu être aussi bonne et aussi prenante.
Toujours plein de convictions nos vieillards ne lâchent rien et franchement je les aime comme ça.

Qu'est que j'aurais aimé être Sophie et rencontrer ces trois vieux . j'aurais adoré papoter avec eux et refaire le monde.. et puis ce vocabulaire c'est juste parfait avec le scénario.

J'adore vraiment cette série et les auteurs sont à la hauteur de leur réputation (une fois encore).
A conseiller les yeux fermé à tout ceux qui ont une âme d'anarchiste au fond d'eux.
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Alors, les vieux dans les vieux, je vous le dis, Lupano en remet une couche...et ça sent très bon!

Le pitch ressemble comme deux gouttes d'eau-de-vie au rectum de Jean-Childéric alias Jean-Chi alias human bomb, docteur ès attentat gériatrique! C'est qu'il faut pas trop le faire chier le Jean-Chi, recordman du monde du vidage de canal anal sur commande.
Un scénario donc qui, comme l'ami Jean-Chi, dégoupille un peu dans tous les sens. Grosse déflagration de bonne humeur en vue!

L'on y retrouve avec grand plaisir nos trois Old Sons Of Anarchy toujours aussi bougons et remontés contre la terre entière et sa proche banlieue.
Une BD jubilatoire, totalement anticonformiste, véritable bouffée d'oxygène (Jean-Chi excepté) qui fera travailler vos zygomatiques comme rarement.

Si la truculence des dialogues et des situations prédomine, ce serait faire injure que de passer sous silence les réels moments d'émotion.

Comme une envie de grosse marrade attendrissante? Pari relevé haut les déambulateurs!

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Après des aventures rocambolesque en Sardaigne où Antoine, après avoir appris que sa chère et tendre, feu Lucette, l'a fait cocu, a vengé son honneur en compagnie de ses amis de toujours, Pierrot et Mimile, les trois comparses vaquent à leurs occupations. Pierrot, de retour à Paris, se démène à fond dans ses actions militantes "Ni yeux ni maître". Or, après avoir fait un détour à la boulangerie, il est intrigué par un colis que lui a déposé le facteur. Surprise d'autant plus étonnante qu'il contient un sacré paquet de billets. Quand il voit qu'il est envoyé par une certaine Ann Bonny, son sang ne fait qu'un tour...
Il faut dire que Sophie, la petite-fille d'Antoine, ne savait pas quoi faire de tout cet argent plus ou moins donné par l'amant de sa grand-mère qui l'a confondue avec cette dernière. Elle croyait évidemment faire une bonne action...
Antoine, de son côté, vient rendre visite à Pierrot. Une grosse manif' dans Paris, organisée par "Ni yeux ni maître", les attend. Il avait rendez-vous avec Mimile. Mais, ce dernier s'est défaussé, préférant aller voir Sophie et sa fille qui vient de naître. C'est dans un bar branché de la capitale qu'il se rend. Et quelle surprise de voir attablés tous ces petits vieux jouant au rami et s'abreuvant de thé au jasmin. le séjour parisien risque bien de s'animer...

Quel plaisir de retrouver Pierrot, Mimile et Antoine! Ces trois-là n'ont rien perdu de leur verve et de leur bonhomie. Bien au contraire, car bien malgré elle, Sophie va déclencher un tollé dans la vie pas si tranquille de ce cher Pierrot. Lupano reprend la même recette et nous régale avec ces personnages si attachants et ces situations drôlissimes, notamment les rencontres avec la boulangère ou avec Jean-Childéric, alias Jean-Chi ou bien les attentats gériatriques. le scénario est rondement mené et les dialogues sont savoureux. de la tendresse, de l'humour, des bonnes actions, des flashbacks touchants et des p'tits vieux à croquer, le tout dans un emballage semi-réaliste où les couleurs fusent.

Les vieux fourneaux ont encore de l'énergie à revendre!
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Ah si j'avais su, j'aurais emprunté cette série à mon père bien plus tôt...mais bon, comme on dit, il n'est jamais trop tard, bien au contraire et là, cela fait franchement du bien de lire des bandes dessinées pareilles, remplies d'humour mais avec des messages extrêmement forts !

Mimile, Pierrot et Antoine, notre bande de joyeux drilles s'embarquent cette fois pour de nouvelles aventures lorsqu'Antoine doit retrouver Pierrot à "l'île de la tordue" située en plein Paris. En fait d'île, il s'agit d'une sorte de paradis fiscal mais à l'envers : c'est ici que les vieux reçoivent les jeunes classés "hors normes" afin de faire capoter ce fichu système capitaliste...enfin bien sûr ne pouvant pas le faire capoter, du moins, à l'emmerder parlons franchement. Pierrot reçoit, tout comme Antoine une grosse somme d'agent mais pour ce dernier, un mystère de plus car la lettre l'accompagnant est signée de son amour de jeunesse, Anita, qu'il croyait morte il y a cinquante ans. C'est donc à son tour d'avoir une énorme peine de coeur, persuadé qu'il est passé à côté de sa vie ...sentimentale ! Lorsqu'il tente de mettre fin à ses jours, Sophie, la petite fille d'Antoine, qui accompagne nos trois compères depuis le début de ces aventures et qui n'est pas étrangère à l'affaire, va tout faire pour réparer son erreur !

Un graphisme toujours aussi bien travaillé et un second volume vraiment à la hauteur du précédent ! Il me tarde de me plonger dans le troisième volet et ne peux, en attendant que vous conseiller, si ce n'est déjà faire, de lire ou de relire cette série qui sera, malheureusement je crois (et heureusement, cela dépend de quel côté l'on se penche, moi j'ai choisi les messages décrits ici) toujours d'actualité !
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Ainsi font font font ...

C'est avec un plaisir toujours aussi juvénile que l'on retrouve nos trois vieux séniles hyperactifs et la jeunette Sophie ayant accouché d'un sacré paquet...pour la bonne cause.
En pleine forme, démentiels ou presque :

Mimile fait les marionnettes, histoire d'en dérider plus d'un,
Antoine débarque à Paris pour participer à une manif gériatrique : une action culottée qui en débouche un coin,
et Pierrot fait son coma back, le temps d'un flash, et le voilà réparti comme en 68.
Dans les pas de ses ainés anars , Sophie la pitchoune ne se laisse pas rouler... dans la farine.

Un second tome jubilatoire dans la veine du premier même si l'effet de surprise n'y est plus. C'est dans les vieux moules que l'on fait les meilleures recettes. le tandem Lupano-Cauuet l'a bien assimilé et donne encore du souffle à nos trois olibrius qui pètent le feu. Une mention toute particulière à Jean Chi qui sait si bien se lâcher.

Ainsi font font font.. trois petits vieux et puis s'en vont...
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POUR QUELQUES (200 000) EUROS DE TROP...

Plus déjantés et anti-système que jamais, nos délicieux... hum, pardon, nos insupportables mais si attachants grands-pères. N'empêche... Recevoir par simple colis postal tout à la fois une somme énorme et une nouvelle bouleversante, tout Pierrot que l'on soit, ça peut réellement ficher en l'air les dernières belles années avant le casse-pipe. Ça peut même pousser à aller bouffer les pissenlits par la racine après un ultime saut de la mort !

Rassurez-vous, il y a toujours un vieux copain qui veille au grain et qui vous rattrape par le colback pile au bon moment. Mais, n'empêche, ça mérite quelques explications et celles-ci tiennent en un nom : Bonny ! Ah non, je vous vois venir : pas la Bonny Parker du célèbre et tragique couple d'anarchistes américains, Bonny & Clyde, si éloquemment chanté par Serge Gainsbourg, non ! La Ann Bonny bien antérieure, mais d'un sacré caractère, compagne de Mary Read, toutes deux pirates parfaitement réelles qui ont écumé les côtes américaines au milieu du XVIIIème siècle. Sous ce pseudonyme se cacherait une femme que Pierrot a profondément aimé, Anita, - la seule, comprend-on - et qu'il aurait perdu de vue puis décédée après la répression sanglante des manifestations anti OAS de 1962, sa compagne étant d'origine algérienne, elle fut expulsée de France.

Bien évidemment, par le biais de cette histoire reliant le passé trouble des années 50 et 60 à notre présent, du moins, à celui de nos "Vieux Fourneaux", on en découvre un peu plus sur la vie tumultueuse de militant anarchiste de cet éternel jeune homme. Mais Wilfrid Lupano et Paul Cauuet saisissent aussi l'instant pour nous présenter une galerie de personnages, jeunes et moins jeunes - pour certains, vraiment plus jeunes du tout ! -, vivant plus ou moins à la marge, en raison de leur âge et de la place qui est laissée à nos vieux dans notre société d'hyper-actifs (pourvu qu'on ait un emploi), en raison de leur origine comme cette famille Konafi, expulsée d'un squat sur décision d'Hortefeux puis recueillie dans l'immeuble particulier de cette vieille très argentée mais totalement et magnifiquement anar', ou encore en raison du manque d'argent comme ces étudiants, ou bien par conviction politique. Tout ce beau petit monde gentiment cinglé vit donc dans "l'île de la Tordue", chez cette Francine de la Rochebonnefoy, dite Fanfan, 91 ans «et la colonne vertébrale torsadée comme un cep de vigne»... Ce qui ne l'empêche pas de prendre des cours d'informatique pour devenir hacker !!!
On croisera aussi Jean-Childéric, dit "Jean-Chi", véritable arme de destruction massive (et olfactive) que l'on retrouvera en pleine action à l'occasion d'un repas VIP organisé en soutien d'un certain Jean-François Copé...

Ces vieux-là ont, il faut bien le reconnaître, un sacré grain de folie. Mais d'une folie réjouissante, d'une folie grandeur humaine, d'une folie inventive et nécessaire en ces temps de post-moderniste grisâtre, tristement réactionnaires, empêtrés dans une fin de règne qui ne veut pas dire son nom. Ces vieux-là ne courent pas après une jeunesse perdue : cette jeunesse, ils l'ont encore dans les tripes, dans les veines et dans le coeur à défaut de l'avoir dans les guibolles. Alors, sans cesse, ils inventent et se réinvente un monde qui semble ne plus vraiment vouloir d'eux. Ils mettent le doigt sur nos petites faiblesses et nos grandes lâchetés, ils vilipendent à leur manière nos modes idiotes et nos fausses vertus - comme pour ces baguettes de pain supposément "traditionnelles" ou "à l'ancienne" aux noms aussi saugrenus qu'imprononçables (sans en rire) et pourtant fruit absolu de la finance, de la recherche agro-alimentaire et de la communication. Ce sera une espèce de fil rouge à cette histoire.

Et puis, sans avoir l'air de rien en dire, ils - par le biais du plus improbable des trois compères, Mimile, l'ancien pilier de rugby - nous adressent une petite leçon d'écologie vraie, d'écologie pratique en nous contant l'histoire de cette petite île du fin fond du Pacifique qui, par l'entremise de Mammon et du Dieu Commerce, fut un temps l'endroit le second endroit le plus riche de la planète avant que d'en devenir l'un des plus pauvres, non sans y avoir détruit, au passage, tout un équilibre naturel ancien, une culture, une population, une véritable planète en réduction.

Entre humour et désenchantement, espoir et sidération, chaises roulantes et "attentats gériatriques", ces trois anciens - ainsi que Sophie, la petite fille d'Antoine, une jeune femme bien dans sa tête et qui ne s'en laisse pas compter... mais qui sera à l'origine bien involontaire du drame de Pierrot - en font mener des vertes et des pas mûres à notre société si bien ripolinée, si propre sur elle, si... emmerdante à force de civilité froide et déshumanisée ! Ce second album des Vieux Fourneaux est une petite merveille dans son genre et si on ne l'avait pas vu de visu, jamais on aurait pu croire qu'une bande-dessinée racontant l'histoire de trois retraités modestes auraient à ce point pu faire rire tout en nous posant des tas de bonnes questions ! Une merveille qu'on vous dit !
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Il y a très longtemps, je devais avoir 11 ou 12 ans, lors de vacances d'été chez ma grand-mère, j'ai découvert dans sa buanderie, une pile de magazines dont je ne suis plus très sûre du titre (peut-être Bonne Soirée).
Des magazines qui ne m'intéressaient pas particulièrement... sauf que ... il y avait une page d'une bande dessinée encore inconnue de ma personne... toute une planche des aventures d'un petit moustachu. Oh, joie... j'ai remonté les numéros jusqu'au début de l'histoire... merveille, il n'en manquait pas ! Quelle découverte, quel régal... ce petit gaulois qui traversait la France (Oui, c'était le célèbre Astérix que je découvrais là).
Je sais, nous ne sommes pas sur la fiche d'Astérix et Obélix... mais vous allez voir le rapport dans un instant.
Je ne lis plus trop de BD... et y revenir avec ces vieux fourneaux, c'est comme si je remontais le temps et découvrais à nouveau cette BD jubilatoire d'il y a ... pff ! comptez-vous même.
Le même plaisir grâce à l'humour bien sûr, mais aussi par ces dessins fignolés avec toujours un petit plus de détails qui se révèlent lors de relectures.
Me manque que l'odeur de lessive et de vieux journaux pour me sentir comme une gamine.
Vous ne connaissez pas Les vieux fourneaux ? Honnêtement, vous ratez quelque chose.
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- Alors, les Vieux Fourneaux, ça donne quoi ?

- Cchuut, tu vois pas que je lis là ??!!

- Bah, quand même, tu pourrais me dire ce que t'en penses.

( Tête penchée vers les Vieux Fourneaux. Petit rire)

- Ah, c'est marrant hein ?

- Marrant ?? Tu rigoles ou quoi ??!! C'est hilarant, tordant, jubilatoire !! Ils sont géniaux, ces vieux ! Pierrot le vieil anar, Antoine l'ancien syndicaliste et Mimile, le plus raisonnable des trois mais c'est normal parce qu'avec ses médicaments, il peut pas..et Sophie la petite fille d'Antoine , ce qu'elle envoie comme vérité !! Une vraie bombe à retardement, celle-là. Non, franchement, j'adore. Non seulement les réparties sont hilarantes mais c'est aussi ce regard posé sur la société, celle qu'elle était, celle que les hommes de la génération de nos trois septuagénaires en ont fait et celle qu'elle devient. Une bonne vieille satire sociale quoi ! La lutte des classes, ça peut faire un peu ringard de nos jours mais c'est tellement bien amené !

- Eh eh..tu vois, je te l'avais dit. Tu veux la suite ? le tome 2 est un vrai régal avec Pierrot qui présente son Q.G « L'île de la Tordue » repaire de sa bande d'anars malvoyants « Ni yeux ni maître ».

- T'as le tome 3 aussi ?

- Ouaip..Bonne lecture !

(Suite de cette critique au tome 3)
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« Ça va chier, mais alors là ça va méga chier ! » Après un premier tome bidonnant, les vieux fourneaux marquent ici leur grand retour, et le moins qu'on puisse dire c'est qu'ils sont en forme ! Enfin, presque tous, parce que Pierrot traverse pour sa part une petite crise existentielle depuis qu'une inconnue lui a envoyé un beau magot accompagné d'un énigmatique message signé « Anne Bonny ». Pour Sophie, la responsable de l'envoi, il ne s'agit que d'un clin d'oeil humoristique au côté rebelle du vieil ami de son grand-père. Mais pour Pierrot, cette signature ne peut qu'être celle de son ancien amour qu'il croyait décédé depuis cinquante ans. Un quiproquo qui va vite prendre des proportions démesurées au grand dame de la pauvre Sophie qui va devoir se résoudre à des mesures drastiques pour résoudre le problème. Alors que le premier volume se focalisait davantage sur le personnage d'Antoine désormais arrière-grand-père, ce second opus revient sur le passé mouvementé de l'attachant anarchiste que l'on découvre sous un nouveau jour. Antoine et Émile sont eux aussi toujours de la partie et renforcent encore leur capital sympathie auprès du lecteur : le premier en continuant la lutte après des années de syndicalisme, le second en faisant preuve d'une grande sensibilité à l'égard de la cause environnementale. Évidemment, nos héros restent malgré tout des seniors et se retrouvent donc bien souvent dans des situations cocasses pour leur âge...

Malgré la petite déprime de l'un des protagonistes, l'humour est donc toujours bel et bien présent et entraînera plus d'une fois d'incontrôlables éclats de rire chez le lecteur. Bon, précisons tout de même que si politiquement vous avez tendance à pencher vers la droite, pas sûr que la vision d'une petite vieille prenant des cours de hacking pour pirater le blog de Nadine Morano ou celle d'une bande de septuagénaires pourrissant une soirée organisée par l'UMP soit à votre goût. « -Allez un route ! Salut les vioques ! Je ramène Jean-Chi. -Jean-Chi ? -C'est Jean Childeric, mais on l'appelle Jean-Chi, alias « human bomb ». C'est notre plus belle arme. Ce gars-là, il se vide le moutardier sur demande, n'importe où, n'importe quand, tu vois. C'est une arme de destruction massive. L'incontinence au service de la cause, c'est beau.Je te dis pas la déflagration au milieu d'un meeting UMP ou d'un cocktail des anciens de sciences po. » Un régal ! Ce second tome se révèle d'ailleurs encore plus subversif que le précédant puisqu'il nous entraîne dans les coulisses du fameux collectif de Pierrot constitué de vieillards mal-voyants baptisé « Ni yeux ni maître ! ». Et c'est que ça donnerait presque des idées tant certaines trouvailles sont astucieuses (mention spéciale à « l'attentat gériatrique » organisé pour faire baisser la cote des endroits branchés). « Dites donc, vous êtes drôlement organisés pour des anarchistes. », s'étonnera l'un des personnages. « Hahaha ! Mais l'anarchie c'est pas le bordel, mon cher ! C'est l'ordre moins le pouvoir, nuance. » Et toc !

Un second tome encore plus jouissif que le précédent (qui plaçait pourtant la barre assez haut) et qui fait un bien fou au moral. Une chose est sûre, une fois que vous aurez fait la connaissance de ces trois sympathiques seniors, vous aurez bien du mal à vous en séparer !
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Les Vieux fourneaux Tome 2 est tout aussi drôle que le premier épisode, la tendresse et la générosité toujours présentes. Encore un excellent moment avec les trois compères, Mademoiselle la Marionnettiste et sa petite Juliette (je suis restée en arrêt sur la tête de poupon la première fois que je l'ai vue). Les dessins sont parfaits. J'en ai soupé de leurs pains spéciaux, moi aussi. Il y en a tant qu'il devient difficile passé une certaine heure de trouver « une baguette. » Une quoi ? Une baguette, le truc qu'on trouvait facilement dans toutes les boulangeries avant l'arrivée de la « Fleurimeuline du Pape » « l'Essentielle », « la Sarmentine »... !!
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