Un prince à croquer, tome 2 : Plat

Après le premier tome, j'avais dit plus jamais, mais bon je n'arrive jamais à résister à une suite qui a une belle couverture ;-)
Étrangement, j'ai plus apprécié ce volume que le précédent. J'ai trouvé l'histoire un peu mieux et plus drôle que la précédente, peut-être parce que je n'avais aucune attente justement.

Glawdys est juste ridicule et du coup ça nous fait plus rire qu'autre chose. Elle ressemble aux personnages de mangas complètement grotesques et toujours dans l'excès. Et puis j'ai beaucoup aimé la scène finale.

Peut-être que je me laisserai tenter par la suite qui est déjà disponible... En attendant, les deux premiers tomes vont vite rejoindre les étagères du CDI, en espérant que ça plaise aux élèves.
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Peu attiré par La Rose écarlate, j'ai été intrigué par le sujet de cette BD. Autant les histoires de princesse à l'eau de rose moderne me passionne peu, autant l'univers de la restauration est un sujet très peu développé en jeunesse.

Le scénario se tient bien, les personnages sont sympas et l'enchaînement des péripéties est agréable et vraisemblable.
J'ai donc passé d'agréables moments à lire les deux premiers tomes - oui j'ai hâte de voir comment Margot va réagir en apprenant que Noa est entré dans sa CHAMBRE, et les allusions homosexuelles amènent une modernité bienvenue - et serai ravi de découvrir la suite.

Il s'agit du second titre de la série Un Prince à croquer qui a été édité en 2013.

Dans Plat, nous retrouvons les aventures de Nicolas, le prince fugueur caché dans le cercle familiale de son ancien garde du corps.

Personnellement, je suis un peu déçue de ce deuxième tome tant du point de vue du scénario que des illustrations que je trouve peu soignées. Les dialogues sont trop concis et le vocabulaire est peu varié bien que j'admette qu'il s'agit d'une BD jeunesse. Un petit effort de ce côté-là aurait été cependant intéressant afin de satisfaire les lecteurs un peu plus âgée.

une héroïne pleine de caractère, et attachante qui protège bien ses sentiments derrière une porte blindée, seulement un prince en fugue viendra le déverrouiller.

Un album toujours mignon et sympathique dans la continuité du tome 1. Nous avons Margot qui a un sale caractère mais je sais qu'au final, elle est gentille. Puis Noa, qui découvre le monde avec innocence qui s'attache à la cuisinière. Les deux personnages se rapprochent malgré leur différence. Je sais bien qu'à la fin, ils vont se marier mais le côté midinette en moi veut continuer à lire. C'est assez simple à lire, rapide et sans surprise.

On peut reprocher comme pour la série « La rose écarlate » de Patricia Lyfoung qu'il manque un peu de diversité dans ces albums. Il devrait y avoir des gens gros, des gens moches, des gens imparfaits physiquement. Mais, la dessinatrice a fait un effort ici en parlant d'homosexualité. le second de cuisine, Cyril est gay et il n'ose pas le dire à sa famille. Cela ne pose pas de souci à Noa puisqu'ils vont danser ensemble au mariage du frère de Margot. J'ai trouvé que c'était un bel appel à la tolérance. Un message qui doit passer par les adolescents aussi. On pourra aussi trouver que ce n'est pas parce qu'on pas issue d'une famille riche que l'on ne peut rencontrer un prince et se marier avec. C'est de la différence que né l'enrichissement de chacun.

Un sympathique tome 2 dans la continuité de bons sentiments. le suspens monte doucement car l'identité du prince va être démasquée au prochain tome. Comment vont réagir les proches ?
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A l'image du premier tome, celui-ci poursuit l'histoire du Prince Nicolas fuyant ses parents et son palais d'un mariage arrangé.
Même si l'histoire est faite pour décompresser, je dois dire que certains détails vont quand même bien loin, jusqu'à me sortir du récit.
En voilà un petit florilège :
- Margot et Gwladys qui se battent avec des COUTEAUX DE CUISINE
- La décoration "kawaï" du restaurant qui apparaît en une nuit
- Margot gifle tellement violemment Nicolas qu'il CHUTE AU SOL
- Margot qui s'insurge contre sa belle-soeur parce que le plat qu'elle lui a gentillement concocté est "immonde" en lui disant qu'elle n'est "pas digne de son frère", en lui demandant si elle "n'a pas honte"
Je sais que cette histoire est volontairement simpliste et que l'idée n'est pas de personnifier à fond les personnages, mais chacun d'un est tellement "cliché" (la princesse chipie qui aime le rose, la cuisinière tyrannique qui aime son restaurant, le prince qui dit oui à tout en semblant n'avoir aucune âme) que ça en devient caricatural et lassant... Attendons de voir la suite...