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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Second tome de la licence les salauds gentilshommes.

Locke et Jean sont définitivement grillés à Camorr et commencent donc une nouvelle vie d'escroquerie à Tal verrar. Et tout comme pour le premier tome, l'escroquerie se transforme rapidement en nid à embrouilles, beaucoup plus vaste que les deux compères ne l'avaient d'abord imaginée. Nous verrons nos deux héros embarqués sur un bateau pirate pour fomenter une rébellion. Eux dont la seule expérience des navires consiste à monter dessus, à y avoir le mal de mer et à en descendre.

De plan foireux en plan foireux. Aucun  plan de bataille ne résiste au premier contact avec l'ennemi. Telle est désormais la devise de nos salauds gentilshommes.
Il faut dire que si Locke est doué pour établir des arnaques il est aussi et surtout un génie du rebondissement et de l'improvisation.
Ce tome qui nous ballade en mer une grosse partie du temps n'échappe pas à la règle. Construit comme le premier (avec des chapitres flashbacks) l'auteur nous immerge dans son univers et son histoire avec une facilité confondante. La verve et l'humour des personnages n'empêchent pas les scènes de violence.

On pourra regretter une facilité avec les Mages esclaves, mais il faut simplement comprendre que ces derniers seront l'objet du Tome 3.
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Nous retrouvons Locke Lamora et Jean Tannen dans la foulée des événements du tome 1, plus précisément deux ans plus tard, les "trous" concernant ces intervalles seront comblés à la faveur de courts flash back, une forme narrative efficace à laquelle nous sommes maintenant habitués.
Les deux amis n'ont pas renoncé à leur mode de vie et oeuvrent désormais en duo sur leur nouveau terrain de chasse, à savoir la ville portuaire de Tal Verrar, ici comme ailleurs l'argent est roi et les talents de nos salauds gentilshommes vont trouver à s'employer de façon spectaculaire.
Après un premier tome proche de la perfection, je n'avais qu'une crainte qui était de savoir si je retrouverais le même plaisir et la même fascination sachant qu'il n'y aurait plus la surprise de la découverte.
Mon verdict est sans appel, c'est toujours aussi bon, aussi inventif, tordu, méchant et trash que précédemment (juste la surprise en moins quand même), avec un tout petit bémol concernant une petite longueur en milieu de récit, avis très personnel qui n'enlève rien à la qualité de l'intrigue et du scénario.
Je n'en dirai pas plus, ça se dévore littéralement et j'envisage le tome trois avec un bel optimisme, je me demande ce que Mr Lynch va bien pouvoir inventer cette fois :)
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Quelle claque ! Scott Lynch nous laisse comme deux ronds de flan après la lecture de ces « Horizons Rouge Sang ». Une fois de plus, il a su manier rythme, imagination et dialogues fleuris pour concocter un voyage dépaysant des plus réussis.

Après un premier tome tonitruant, plein de malice et de violence, nous voici de nouveau sur les traces de Locke Lamora et de son fidèle acolyte, Jean Tannen, deux Salauds Gentilshommes. Même si nous abordons Des horizons rouge sang par la ville de Tal Verrar, les mensonges de Locke Lamora ne sont finalement jamais bien loin. Et tout au long de ce volumineux opus, la langue de bois servira de langage universel dans une ville aux dents longues et aux ressources quasi illimitées.
En effet, le danger est constant et les ennemis partout pour les deux compères, qui se remettent à grand peine des événements tragiques qu'ils viennent de connaître. Si Tal Verrar constitue tout le début de l'intrigue avec une flopée d'assassins, de mercenaires et d'hommes de main qui les observent, les poursuivent ou les contraignent, la deuxième partie du récit nous réserve de belles surprises en matière de lieux exotiques et de relations conflictuelles. Nous ne sommes évidemment pas dans une simple affaire de truands cherchant à subtiliser un quelconque bien ; Locke Lamora et Jean Tannen ont l'art de se glisser, bon gré mal gré, dans les affaires qu'il ne faut pas approcher, même de loin. Aurions-nous deviné que ces deux là pouvaient survivre dans un environnement qui leur était aussi hostile et aussi inconnu que celui de la piraterie en haute mer ? Leur gouaille et leur habilité au vol ne leur seront pas d'une grande utilité et c'est tout l'intérêt de ce tome : déconstruire les atouts du premier (une équipe, une spécialité, un lieu bien connu) pour poser d'autres problématiques à ce duo de choc soumis à bien des périls.
Certains lecteurs pourront se dire : tout ce chemin parcouru pour uniquement mener à bien un braquage, certes audacieux, prévu dès le départ ? Oui, certes, il serait légitime de mettre en parallèle la longueur de l'exposition et de l'aventure avec le raccourci de la résolution finale. Toutefois, comme dit le proverbe, c'est le chemin qui compte, pas forcément l'arrivée. En effet, c'est la verve de l'auteur qui nous pousse à poursuivre la lecture, c'est la profondeur de son histoire qui nous tient en haleine tout du long. de plus, comme à son habitude, Scott Lynch réussit à imaginer des contextes locaux particuliers, des récits très ponctuels, qu'il nous transmet en quelques lignes ou pages, presque pour le plaisir. Une ville côtière isolée, un souvenir raconté à la va-vite, voire un simple point de détail dans l'histoire, sont autant d'occasions de placer une bonne idée ou un concept astucieux issus de son imaginaire fertile.

C'est avec un cliffhanger de fou, vraiment insoutenable pour nous, pauvres lecteurs, que nous terminons ce deuxième volume d'une saga qui fera date si l'auteur tient la cadence. Même si les aventures des Salauds Gentilshommes, quelle que soit leur composition, sont d'ores et déjà prévues en sept tomes, Des Horizons Rouge Sang va chercher des ressorts scénaristiques dans le très spectaculaire et le jusqu'au-boutisme absolu ! Que Scott Lynch a donc pu inventer de plus grandiose ou de plus abouti dans sa République des Voleurs, le volume suivant ?

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Gardien véreux, quel pied que cette lecture du deuxième tome des Salauds Gentilshommes !
C'est avec bonheur que j'ai retrouvé Locke Lamora & Co, poursuivant leurs aventures du côté de la Mer Cuivre, bien loin de Camorr. Nouveaux horizons et nouvelles arnaques pour le délicieux brigand, qui compte bien remporter le jackpot au Casino. Mais... rien n'est jamais simple, et voilà notre héros contraint de jouer un double, voire un triple jeu pour sauver sa mise -et sa vie. Pire encore : le voici embarqué dans une sacrée galère -ou plutôt, un beau navire de pirates !
J'ai adoré. Je me suis laissé emporter par les aventures extraordinaires de ce personnage extraordinaire. J'ai même suivi avec passion les batailles navales (alors que je suis une fille et que ce n'est pas mon thème de prédilection, mais je suivrais Locke n'importe où). Comme dans le premier tome, je suis en pâmoison devant l'imagination retorse de Scott Lynch, qui n'épargne RIEN à ses personnages. J'adore cette façon de les maltraiter et de pousser toujours plus loin et plus haut les rebondissements ; ça apporte une telle fraîcheur à la lecture ! J'admire aussi sa façon de donner vie et consistance à ses personnages, et c'est là qu'il est encore meilleur : en faisant de ses héros de simples humains, avec leurs forces et leurs faiblesses, leurs hésitations, leurs doutes, leurs regrets, leurs peurs, leurs chagrins, leurs hontes, et leur sens de l'honneur, de l'amitié, de la fraternité, et de l'adaptation. Je trouve ça grandiose. de plus, ses héroïnes sont de sacrées nanas, capables de se débrouiller sans mecs ; ça fait un bien fou ! Enfin, j'ai retrouvé avec un plaisir jubilatoire la flopée de gros mots qui ornent les dialogues, sans que jamais le texte ne sombre dans la vulgarité ; quel pied, vraiment !
Par les treize dieux, il me reste à présent le 3ème tome à lire, en attendant la suite. N'hésitez pas, vous non plus, à tomber sous le charme de Locke Lamora, vous n'en reviendrez pas !
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Après un premier tome particulièrement remarquable Scott Lynch remet le couvert avec « Des horizons rouge sang », second volume de la trilogie des « Salauds Gentilshommes ». On y retrouve Locke Lamora ainsi que son compagnon Jean Tannen dont on suit les aventures après leur départ précipité de Camorr. Encore une fois nos deux héros se retrouvent mêlés à des affaires qui ne les regardent pas et celles-ci les entraîneront cette fois beaucoup plus loin... Si vous vous inquiétiez de savoir si ce deuxième tome allait être à la hauteur du premier, tranquillisez-vous. Scott Lynch continue de nous éblouir de son talent et nous offre un roman formidable que l'on ne peut que dévorer avec avidité. Tout ce qui avait fait le charme des « Mensonges de Locke Lamora » est là : une écriture très fluide qui plonge aussitôt le lecteur dans l'ambiance, des personnages hauts-en-couleur, de l'humour, de la gouaille, de l'aventure, une intrigue complexe et ambitieuse... Tout ce qu'il faut pour faire un très grand roman.

En ce qui concerne l'univers de l'auteur, nous avons là aussi droit à un festival. Les nostalgiques de la splendide Camorr dans laquelle se déroulait l'essentiel de l'action du premier tome devraient ainsi vite se consoler. Tal Verrar, ville du jeu sous toutes ses formes, l'imprenable forteresse de Mon Magisteria, le repaire pirate de Port-Prodigue... le moins que l'on puisse dire c'est que Scott Lynch nous fait voyager et rêver dans ce second volume. Difficile de ne pas être admiratif devant l'imagination et la créativité de l'auteur tant le roman fourmillent d'idées plus brillantes et plus originales les unes que les autres. L'auteur dévoile également ici une autre facette de son talent en offrant au lecteur des scènes d'action à couper le souffle, à commencer par les nombreuses batailles en mer par lesquelles on ne peut que se laisser embarquer. Il ne me reste plus qu'à attendre avec beaucoup d'impatience le troisième volume de la série qui sera, je n'en doute pas, à la hauteur des deux autres.

De la très grande fantasy et un auteur décidément exceptionnel qui aura également eu le mérite d'inspirer et d'influencer un grand nombre de jeunes auteurs de fantasy, qu'il s'agisse de Jean-Philippe Jaworski (« Gagner la guerre »), Cédric Ferrand (« Wastburg ») ou encore Sam Sykes (« La porte des éons »). La sortie du troisième volume de la série est d'ores et déjà annoncée en France pour 2014, et inutile de vous dire que je serai parmi les premiers à me ruer à l'assaut de cette nouvelle petite pépite de fantasy.
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C'est le visage encore un peu mouillé d'eau salée (eau de mer mêlée, peut-être, de quelques larmes) que j'écris ces lignes.
En effet je ressors d'une aventure trépidante que j'ai fait en compagnie des Salauds gentilhommes...aventure qui s'est déroulée essentiellement sur les flots mouvementés et cruels de la mer de Cuivre.
Ahh, qu'est ce que j'ai aimé cette lecture. Quelle belle découverte que cette saga (grâce à Babelio, je tiens à le signaler. Sinon, je ne suis pas certaine que ces ouvrages auraient échoués dans mes mains).
Ce qui m'a plu dans le premier tome est toujours aussi efficace. Nous sommes pris dans une aventure qui rebondit sans cesse, nous côtoyons des personnages qu'on ne peut qu'aimer (ou détester, comme de bien entendu) et avec qui on explore, on aime et on souffre.
Et, pour moi, petite cerise sur le gâteau, cette aventure se passe sur un imposant bateau pirate.
Qu'est ce que j'aime ça, moi, les histoires de trois-mâts, de corsaires, d'abordage...
Une fois de plus, ça a été un réel regret de quitter les Salauds gentilhommes...et comme ça sera un réel plaisir de les retrouver avec le tome 3!
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Un deuxième tome a la hauteur du premier. Toujours aussi réjouissant, exaltant et captivant. Nos salauds gentilhommes gagnent en humanité et en profondeur. Nous découvrons que l'on peut-être le meilleur et se faire avoir en beauté.
Une grande partie du livre se passe en mer, à bord de l'orchidée-poison, navire pirate. Cette incursion dans l'univers de la piraterie est une réussite. Locke y perd de sa superbe. Il n'est plus le chef, ni même le héros intouchable du 1er tome. Il doit apprendre à faire confiance. Encore une fois l'amitié est au coeur de l'histoire et la relation Jean / Locke est de plus en plus passionnante. J'avais regretté le manque de personnages féminins dans le 1er tome, me voilà comblée. Les personnages de pirates, Drakasha la capitaine et Ezri sont les contrepoints parfaits aux deux salauds.
Je ne saurais trop vous conseiller de poursuivre cette série, a la hauteur de son formidable démarrage.
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Vous avez aimé le tome 1, Les mensonges de Locke Lamora du cycle Les salauds Gentilhshommes ? Vous allez adorer ce deuxième volume. le feu d'artifice du premier tome redouble en intensité, et vous prend à la gorge d'entrée de jeu. Nous abandonnons temporairement Camorr, pour un voyage tout autant dépaysant et exotique à Tal Verrar avant de goûter les eaux sombres et salées (de l'amertume, certes) du défi de la Ronce de Camorr.

Cette suite, à la hauteur du premier tome et même un poil au dessus, combine avec brio les ingrédients précédents : héros pétillants, dangers, magie, escroqueries, dépaysement en y intégrant une part plus grande de mystère et de noirceur. Il suffit de lire les deux premières pages et vous aurez tout compris sur ce qui vous attends : rebondissements, chausses-trappes, bifurcations, dangers et affrontements…

Nos deux compagnons, Locke et Jean, ont ourdis une machination d'une ingéniosité proprement diabolique…et hautement périlleuse. Car rien n'est à priori inaccessible pour notre voleur/escroc. D'ailleurs, le plan semble se dérouler à la perfection… jusqu'au jour où on leur impose un nouvel objectif… Commence alors une partie d'échec où la mort peut les saisir n'importe où, n'importe quand, et dans laquelle les mensonges de Lamora pourraient bien les rattraper…

Scott Lynch a abandonné Camorr pour une cité plus périlleuse Tal Verrar, tout aussi exotique (moins onirique) qui n'est pas sans rappeler l'ambiance des îles refuges des pirates du XVII°. J'ai d'ailleurs trouvé à ce roman un ambiance Pirates des Caraïbes, en plus sombre, mais avec cette touche d'humour et de dérision propre à nos salauds gentilshommes ( et à Jack Sparrow). C'est ensuite vers le large, les horizons rouge sang que se poursuit la suite des aventures de Locke et Jean. Bien que le cadre naval s'impose, l'auteur parvient à conserver dans son écriture et ses descriptions ce petit quelque chose qui confère à l'ensemble une nuance ambrée (dans ma tête tout au moins).

Locke et Jean sont toujours autant fêlés, attachants et vulnérables. Scott Lynch a apporté un soin particulier à l'écriture de ces deux compères. Partie héros, partie victimes et partie anti-héros, ils ne ressemblent en rien à des figures célèbres ou des stéréotypes vus et revus. L'ambiguïté qui s'attache à Locke ne repose pas sur les motivations du personnage (que nous connaissons), mais bien sur ses vulnérabilités et les séquelles de l'enfance. Requin et comparses sont bien imaginés, un brin caricaturaux mais je pense que c'est voulu.

L'intrigue, couplée à un rythme endiablé, est impeccable. Ainsi, les ressorts de l'histoire sont-ils bien masqués pour ménager la surprise du lecteur. Les quelques manoeuvres ou ficelles discernables seraient d'ailleurs submergées par le train d'enfer de l'auteur.Le style est enlevé,très visuel, on parvient à imaginer parfaitement chaque séquence avec le cadrage voulu par l'auteur. le lecteur se croirait presque au cinéma!

Cette série est inclassable tellement elle emprunte à tous les genres. Mais quelles sensations procure-t-elle! Vive les montagnes Russo-Lockiennes!
Lien : https://albdoblog.wordpress...
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De la bande, ils ne sont plus que deux.
Mais ce duo ultra complémentaire est à tout épreuve. Et son génie sublime. Nous les retrouvons à Tal Verrar dans leurs nouvelles combines.
Malheureusement une fois de plus, ça ne va pas se passer comme prévu et nous voila embarquer dans les voiles rencontrer les pirates dans leurs conflits avec la belle cité iliaire de Tal Verrar.

Péripéties, amours, humour et surprise. Tout ce qui fonctionnait dans le tome précédent est également présent. La construction en chapitre présent et chapitre flashback fonctionne.... mais semble un peu plus poussé.
On aime la découverte des nouveaux environnements mais maintenant on connaît nos deux lurons et il leur manque les jumeaux et moucheron... Ces petits manques font que ce second tome est un tremplin vers la suite plus qu'un grand tome 2 qui dépasserait le premier volume qui reste pour moi uma Obra-Prima.
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Moi je cacherai pas que j'ai vraiment adoré les deux premiers romans, après peut être que j'ai aussi été plus sensible à l'univers de type fantasy renaissance et honnêtement j'ai pas spécialement trouvé de longueurs.
Les salauds Gentilhommes c'est un peu comme le mariage improbable entre les Borgias, Arsène Lupin, oliver Twist et mission impossible..
j'ai également apprécié que l'intrigue soit menée sous deux lignes temporelles et globalement je remarque qu' à titre personnel j'aime ce genre de construction narrative et mine de rien cela permet pas mal de ressorts scénaristiques quand cela est bien fait, ce qui est le cas ici.
Assez souvent je suis déçu des romans que les critiques spécialisés " présentent comme des pages-turner", des HITs, celui ci mérite pour moi amplement son succès d'estime.
Et puis il y a ce ton irrévérencieux mais fin , des répliques à tuer que l'on prend plaisir à essayer de retenir afin de les ressortir en communauté pour faire le malin...
Le second est plus classique dans l'approche mais propose plus de dépaysements, il y a bien toujours cette construction en deux temps mais le fil du passé est moins exploré ce qui donne un coté peut être plus rythmé au roman.

Le tome 2 me fait pensé à un film de Tarentino avec une première partie en totale décalage avec la seconde et çà c'est cool, çà commence un peu comme le film "California split" de 1974, pour se terminer par quelques chose à mi chemin entre Pirates de roman Polanski et pirates des caraibes.

Le troisième tome retrouve dans sa construction l'équilibre du premier tome, la premier moitié est réussit et m'a fait douter du bien fondé des critiques négatives sur le livre, la seconde partie m'aura fait tristement rejoindre l'avis générale, c'est long très long avec beaucoup trop de tirage à la ligne et des développements inutiles.
L'intrigue dans le passé m'a clairement saoulé et de toute façon on ressent que l'auteur est beaucoup trop soucieux de développer un travail d'introspection ici, en quelques sorte une forme d'automédication où l'écriture est un catalyseur des émotions, une forme de thérapie. (l'auteur soufre malheureusement de dépression, sa femme l'aurait quitté etc...) Un troisième tome qui fait craindre de la capacité de l'auteur à retrouver la flamme.
Lien : http://david-gemmell.frbb.ne..
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