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Agatha Raisin enquête tome 17 sur 34
EAN : 9782226436474
324 pages
Albin Michel (05/06/2019)
3.74/5   368 notes
Résumé :
Entre son agence de détective qui tourne au ralenti et les réunions des dames de Carsely, Agatha s'ennuie. Aussi, est-elle enchantée lorsque son ex-mari James Lacey l'invite pour des vacances mais - horreur ! - sa conception d'un séjour idyllique est le petit hôtel décrépit de Burryhill-on-Sea où enfant, il passait ses étés.

Et tout va de mal en pis : quand un autre client de l'hôtel est assassiné, Agatha est la principale suspecte - et est obligée de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (59) Voir plus Ajouter une critique
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🌊☂️🏩 Dix-septième tome de la saga Agatha Raisin et on peut dire que rien ne change... malheureusement.🏩☂️🌊


Agatha a tout pour être heureuse. Son agence de détectives fonctionne, ses collègues et amis sont plus nombreux et Agatha commence à comprendre la notion de gratitude et d'amitié. Mais voilà, son ex-mari (et de nouveau son voisin), James Lacey est de retour à Carsely. Agatha accepte de partir en vacances avec ce dernier, espérant un rabibochage et un retour à une vie de couple. Mais, pour James Lacey, le terme de "vacances" rime avec Snoth-on-sea, lieu de villégiature où il se rendait avec ses parents quarante ans plus tôt. Quelle déconfiture pour Agatha qui comprend qu'elle peut oublier les dessous vaporeux dans sa valise et sortir les gros pulls et les mitaines. Sans compter que les autres clients de l'hôtel ne sont pas des plus sympathiques, notamment Mrs Géraldine Jankers, avec qui Agatha entre en friction. le lendemain, cette dernière est retrouvée sur la plage, étranglée avec le foulard d'Agatha.
Pour Agatha cela en est trop. Les vacances idylliques virent au cauchemar, James ne semble pas être le prince charmant qu'elle espérait ... et sa vie est en danger...


J'avais apprécié les deux tomes précédents où Agatha Raisin apparaissait plus mature, plus sensée tout en conservant cet humour anglais et ce côté décalé. Je suis quelque peu déçue par ce dix-septième tome avec le retour de James Lacey, qui recommence à subjuguer Agatha😴. Heureusement, celle-ci est prise dans l'action et ne prête plus autant d'attention à James... mais c'est lassant à la longue de la voir craquer, résister, pleurer pour cet idiot sans intérêt.
Côté enquête, sérieusement c'est brouillon. L'intrigue se présente comme un huis clos dans un palace miteux où la famille réside. L'épouse se fait assassiner puis deux autres membres. L'intrigue se disloque pour aboutir à des pistes invraisemblables comme le recel d'objets, le blanchissement d'argent et j'en passe. Bref, on s'y perd !!!


Heureusement, ce roman est sauvé par les personnages secondaires. Mrs Bloxby, la femme du pasteur vient épauler son amie pour la première fois dans une enquête. Les collègues d'Agatha, Henry et Patrick sont également de la partie et apportent une touche "professionnelle" et "policière" à l'intrigue. Cet élan de fraicheur rehausse l'ambiance du roman.
Côté relation amoureuse, c'est à devenir chèvre !!! Entre James Lacey qui tente de la reconquérir, Charles Fraith qui aime sa compagnie, on a l'impression de tourner en rond. le final de ce roman d'ailleurs laisse entendre que ce triangle n'est pas près de s'arrêter. Dommage.


Au final, une intrigue assez tarabiscotée ; des personnages récurrents qui mériteraient de consulter un psy. Bref, une lecture sans prise de tête, mais pas des plus transcendante.😴
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Quelle chance qu'Agatha Raisin, l'héroïne de cette série soit aussi idiote, sinon, ces romans n'auraient pas autant de succès !
Parce qu'il faut bien le dire, au bout de la 17ème enquête, question intrigue, on tourne carrément en rond. Ce qui fait le charme de cette série policière humoristique, c'est justement Agatha, cette apprentie détective pimbêche et sans gêne, qui prend des risques inconsidérés toutes les 10 minutes, qui n'a aucune considération pour les autres, et qui se comporte comme une adolescente face à la gente masculine, toujours à minauder et à se faire des films.
Son histoire sentimentale avec son voisin James Lacey a connu des dizaines de rebondissements, mais Agatha n'apprend jamais de ses erreurs.

Dans ce volume, Agatha imagine une fois encore que l'amour va être plus fort que tout car James l'invite à passer quelques jours de vacances avec lui.
Evidemment, rien ne va se passer comme prévu.
On va notamment assister à plusieurs meurtres, mais il sera aussi question d'un cambriolage, de bijoux volés, d'un trafic de drogue, de personnes vénales, de femmes battues, de blanchiment d'argent, de rivalités masculines pour les beaux yeux (ou le postérieur, ou même le compte en banque) d'une femme, de tueurs à gage, de pétasses en chaleur, d'une tempête, de disputes en cascades, de situations aussi idiotes que peu crédibles, de plusieurs tentatives d'assassinats, de policiers incompétents…Stop !
Ca me semble un peu beaucoup pour un court roman de même pas 200 pages...
Bref, cette enquête m'a semblé bien longue, et au final, le coupable est bien celui auquel on pensait dès les toutes premières pages, mais entre temps, l'histoire aura pris des tours et des détours bien alambiqués et franchement, je me suis ennuyée.
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"Snoth-on-Sea", soit à une lettre près "Morve sur Mer", tel est le nom de la station balnéaire sinistre dans laquelle se passe presque toute l'action de ce dix-septième volume des enquêtes d'Agatha Raisin.

C'est James Lacey, l'ex d'Agatha (pour lequel elle a toujours un faible), qui l'a invitée dans cet endroit riant, qu'il avait connu enfant.dans sa aplendeur, mais qui a bien changé, ce qu'il ignore. Et pour corser le tout sans lui dire où ils se rendent, laissant miroiter des vacances au soleil, alors que la réalité est très sombre, venteuse et pluvieuse !.Sans oublier ces vagues traîtresses qui vous emportent comme un rien...

Coincés dans le pire hôtel qu'on puisse imaginer, ils seront rapidement accusés du meurtre d'une peu sympathique pensionnaire de cet établissement, avec qui Agatha avait échangé quelques mots fleuris..

L'intrigue va alors s'emballer et elle sera digne des pièces de théâtre de boulevard. Quasiment tout Carsely va défiler dans les parages, y compris la réservée Madame Bloxby. Les portes vont claquer, les placards s'ouvrir et se refermer.

Que dire de plus ? C'est évident que j'ai plus qu'un faible pour cette série addictive quoi que répétitive. Ce n'est pas de la grande littérature mais je passe toujours un bon moment de lecture avec elle.
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Ne jamais, jamais, jamais lire dans une autre langue quand votre esprit bataille avec ses propres démons. Alors l'esprit s'évade au lieu de se concentrer.
Aussi, j'ai du relire plusieurs fois les mêmes lignes.
Un meurtre, plusieurs , un paysage venteux et désolé et des bâtiments qui n'ont même pas conservé leur gloire d'antan. Marseille. Des regrets, des envies, des amis.
Mais après ne me demandez pas si c'était bien parce que je n'en sais rien. Ni quel est le nom des personnages et événements secondaires.
J'ai eu l'impression de naviguer dans un joyeux brouillard familier copié collé aux autres livres de : ouh James, meurtre, meurtre, oh Charles enquête enquête.

J'ai eu aussi l'idée qu'on navigait toujours avec les mêmes personnages, même si juste sur une demi-page mettons Roy, une pincée de Bill et une nouvelle prétendante à James. Et puis Charles qui jusqu'ici me plaisait devient fat et tout aussi salop. Agatha ne serait donc pas capable de rencontrer de belles personnes ?

Rien de nouveau sous le pâle et froid soleil d'Albion.

[lu en Anglais : love, lies & liquor]
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La monotonie semble gagner la petite vie bien réglée d'Agatha. Heureusement, James, son ex-mari et "à nouveau voisin" est de retour à Carsely et l'invite pour un voyage surprise. Agatha, comme à son habitude, tombe dans le piège de ses élucubrations romantiques. Tout ne se passe évidement pas comme prévu. "Snoth-on-Sea" n'a plus rien à voir avec la charmante station balnéaire que James a connue enfant. Agatha et lui échouent dans un hôtel miteux où l'on sert une nourriture aussi improbable que sa clientèle...
L'histoire bouge un peu dans tous les sens. On finirait même par avoir le tournis. Distrayant mais pas étourdissant.
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Citations et extraits (27) Voir plus Ajouter une citation
Agatha avait horreur des barbecues. Les barbecues, c'était pour les américains, les australiens et les polynésiens, enfin, pour les peuples jouissant d'un climat agréable !
D'après son expérience, les anglais se délectaient de viande à moitié crue servie sur des assiettes en carton dans un jardin infesté d'insectes.
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[...] Je vois que tu t’es mise aux chaussures plates. Ah ! quand l’amour s’éteint, les femmes rapetissent de sept centimètres.
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The Hewitts lived in a bungalow called Merrydown. As Agatha drove up the short gravelled drive, she could smell something cooking on charcoal. "It's not a barbecue ?" she asked.
"I believe it is. Here we are."
"James, if you told me it was a barbecue, I would have dressed more suitably"
"Don't nag." said James midly, getting out of teh car.
Agatha detested barbecues. Barbecues were for Americans, Australians and Polynesians, or any of those other people with a good climate. The English, from her experience, delighed in under-cooked meat served off paper plates in an insect-ridden garden.
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C'était curieux, mais il avait toujours tenu pour acquis qu'Agatha le suivrait partout. Pour la première fois, il comprenait combien l'admiration sans borne qu'elle lui vouait comptait pour lui.
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Agatha, tu es vraiment une garce! s'esclaffa James. Mais non de Dieu, tu as été magnifique, ce soir! Tu t'es mise en danger encore plus que d'habitude.
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