Sophie nous entraîne dans son magnifique jardin afin de nous aider à fleurir notre vie en 4 étapes...
Telle une jardinière, Sophie nous offre les graines indispensables pour y arriver et pour que l'on puisse récolter les fruits de notre "potager de vie".
En 4 parties, Sophie nous guide sur notre chemin afin de retrouver confiance en soi, estime de soi, retrouver de la satisfaction dans notre vie, d augmenter notre optimisme, de nous libérer de nos mauvaises herbes...
Aucun jugement de valeur n'est fait, chacun-e est libre d'avancer à son rythme dans ce processus de transformation et d acceptation.
A travers divers petits exercices, Sophie nous mène dans notre jardin..
Ce manuel regorge de beaux principes, d exercices pratiques, faciles à mettre en oeuvre sans nous culpabiliser !
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Facile à lire et à mettre en pratique.
Format aéré.
s'il ne rend pas heureux il permet en tout cas de réfléchir sérieusement à la question !
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exige un travail quotidien, une attention bienveillante et une motivation profonde.
✔ Semez !
✔ Arrosez !
✔ Récoltez !
✔ Croquez !
Voici les quatre étapes pour devenir le maître jardinier de votre destinée et apprendre à cultiver cet éden encore inconnu : Vous !
Check-list du parfait jardinier… de vie.
Nous connaissons tous ou presque (même ceux qui n’ont pas la main verte !) les étapes nécessaires pour créer un beau potager.
Il nous faut d’abord trouver le bon emplacement. Un emplacement qui bénéficie d’une terre fertile et généreuse, d’un ensoleillement maternant, épargné des vents impétueux, à proximité d’un point d’eau, et avec assez d’espace pour que chaque plan puisse s’y épanouir et s’enraciner à sa guise.
À l’aide d’un bon compost, on prépare ensuite la terre afin qu’elle soit prête à accueillir les semences. Puis, selon nos envies et notre créativité, nous choisissons les graines en prévision de récoltes gourmandes, sucrées-salées, colorées et odorantes. Mais pas question de semer à tout vent, n’importe quand et n’importe comment ! Respecter religieusement le cycle des saisons est la condition sine qua non pour que Mère Nature nous accorde ses faveurs. Alors en bons petits jardiniers, nous obéissons aux lois naturelles, sélectionnons nos semis et exécutons les tâches selon un calendrier bien précis : printemps, été, automne, hiver, à chaque saison son action.
Ensuite avec beaucoup d’attention et d’application, nous entretenons notre création en arrosant régulièrement, en arrachant les mauvaises herbes, en coupant les feuilles mortes, etc. En somme, nous veillons à ce que nos «petits» aient bien tout ce qu’il faut pour pousser tranquillement et donner le meilleur de leur potentiel. Cette étape essentielle nous demande de faire preuve de patience car la Nature est ainsi faite qu’elle a besoin de temps pour donner naissance à sa récolte et cela, nous l’acceptons bien volontiers. Nous faisons preuve également de confiance en nos capacités à mener à bien notre mission : d’indulgence lorsque nous échouons à faire pousser ces satanées cucurbitacées, et enfin de persévérance devant les nombreuses difficultés qui jalonnent le parcours de tout bon jardinier !
Puis, quand vient l’heure de la récolte, nous cueillons avec gourmandise et fierté les fruits de notre moisson et ne boudons pas notre plaisir de les savourer et les partager avec nos proches, en n’omettant jamais de préciser que les courgettes de cette délicieuse tarte avalée le midi même, viennent de notre jardin et pas du supermarché du coin !
Patience, attention, confiance, indulgence, persévérance… Autant de qualités mises au service de notre passion bucolique mais dont nous sommes étonnamment amputés lorsqu’il s’agit de cultiver notre propre bonheur !
En effet, il n’est pas rare que nous ne nous accordions pas toute l’attention nécessaire pour nous épanouir pleinement dans notre quotidien.
Souvent débordés, nous négligeons certaines parcelles de vie pourtant fondamentales.
Nous découvrirons au cours de ce livre les cinq domaines dont il faut prendre soin pour cultiver son bien-être, jour après jour, à commencer par la parcelle « personnelle » qui comprend entre autres, le repos, l’alimentation, les activités sportives et créatives, premiers besoins généralement sacrifiés sur l’autel du sacro-saint «Déjà que j’ai l’temps de rien alors m’occuper de moi, tu penses bien ! ».
La patience n’est pas, non plus, ce que nous privilégions comme force indispensable pour atteindre nos objectifs. Ne sommes-nous pas plutôt de ces inconditionnels du « toujours plus, toujours plus vite » ?
Soyons honnêtes. Sommes-nous, réellement, patients avec notre entourage, avec nos enfants, notre conjoint(e), nos collègues, ou encore avec cet inconnu maladroit qui vient se heurter à notre vie ? Avons-nous confiance en nous, en nos choix, en nos capacités, en l’autre, en l’avenir ? Lorsque l’on sait qu’« avoir confiance en soi » est l’un des objectifs emblématiques d’une démarche de coaching et, très certainement, l’une des problématiques récurrentes de l’être humain, on peut en douter.
Sommes-nous indulgents envers nous-mêmes en acceptant nos erreurs, nos failles et notre fragilité ? Ou sommes-nous ce juge impitoyable éructant un inflexible «coupable !» à chaque échec rencontré ? « Il n’y a pas de perfectionniste heureux », nous dit Richard Carlson, psychothérapeute et écrivain américain, et pourtant, à quel niveau mettons-nous notre barre personnelle ? À quelle hauteur souhaitons-nous voir celles des autres ?
Enfin, face aux difficultés de cette facétieuse vie, est-on assez combatif et persévérant pour avancer et aller au bout de nos objectifs ? Ou bien, baissons-nous les bras plus vite qu’il ne faut pour le dire ?
Aussi incroyable que cela puisse paraître, nous savons, pourtant parfaitement, que lorsque nous nous accordons un peu de temps, de considération, de bienveillance, de crédit, notre vie prend alors une saveur bien différente dont nous pouvons ressentir instantanément les bienfaits sur notre santé,
notre moral, notre dynamisme et notre créativité.
Patience, attention, confiance, indulgence, persévérance, autant de qualités indispensables pour cultiver notre bonheur au quotidien. La bonne nouvelle est que nous détenons déjà en nous les outils nécessaires à l’éclosion de notre épanouissement, mais que faute de les utiliser, notre quotidien est, par trop souvent, asséché et fané.
Tout au long de cet ouvrage, vous apprendrez comment (re)donner couleurs, odeurs et saveurs à votre potager de vie, grâce aux «Plant’action !», des petits exercices ludiques que je vous conseille de réaliser sur un cahier, outil précieux et indispensable, exclusivement réservé à cet effet. Je l’ai dénommé, pour ma part, le Petit manuel du parfait jardinier de vie.
Vous irez également à « La cueillette des p’tits bonheurs» de vos semblables et récolterez des «Graines de joie» butinées au gré de touchantes rencontres, ainsi qu’auprès des lecteurs de mon blog « Concentré de Bonheur » (je les en remercie tous chaleureusement car chaque graine offerte est une graine semée en nous).
Et comme le dit si bien Albert Schweitzer : «Le bonheur est la seule chose qui se double si on le partage», alors plus d’hésitation, semez, arrosez, récoltez, croquez et partagez !
Maintenant c’est à vous.
À vos bêches, prêts, jardinez !
"Il faut cultiver son jardin".
Candide ou l’Optimisme de Voltaire
Apprendre à cultiver son bonheur, à jardiner ses rêves, à fleurir son quotidien en devenant le créateur de son propre « potager de vie », voilà tout l’enjeu de ce grimoire. C’est d’ailleurs le sens donné par Voltaire à la fameuse réplique de Candide : «Il faut cultiver son jardin », à la fin de son conte philosophique Candide ou l’Optimisme. Par cette injonction inspirante dite à Pangloss après moult mésaventures (et le mot est faible !), Candide nous invite à prendre conscience que, malgré les vicissitudes de la vie, nous avons le pouvoir de choisir, de décider, de créer, de changer, d’acter ; que nous sommes seuls maîtres de notre destinée ; que tout n’est pas écrit ; que la fatalité a trop souvent « bon dos » !
Cultiver notre bonheur exige un travail quotidien, une attention bienveillante et une motivation profonde.
✔ Semez !
✔ Arrosez !
✔ Récoltez !
✔ Croquez !
Apprendre à cultiver son bonheur, à jardiner ses rêves, à fleurir son quotidien en devenant le créateur de son propre « potager de vie », voilà tout l’enjeu de ce grimoire. C’est d’ailleurs le sens donné par Voltaire à la fameuse réplique de Candide : «Il faut cultiver son jardin », à la fin de son conte philosophique Candide ou l’Optimisme. Par cette injonction inspirante dite à Pangloss après moult mésaventures (et le mot est faible !), Candide nous invite à prendre conscience que, malgré les vicissitudes de la vie, nous avons le pouvoir de choisir, de décider, de créer, de changer, d’acter ; que nous sommes seuls maîtres de notre destinée ; que tout n’est pas écrit ; que la fatalité a trop souvent « bon dos » !
Cultiver notre bonheur exige un travail quotidien, une attention bienveillante et une motivation profonde.
✔ Semez !
✔ Arrosez !
✔ Récoltez !
✔ Croquez !
Entretien avec Sophie Machot à l'occasion de la rencontre entre l'auteure et les lecteurs de Babelio.com le 11 mars 2020. Découvrez les mots choisis par l'auteure pour évoquer son roman 'Il faut savoir perdre de vue le rivage', paru aux éditions Eyrolles.
Retrouvez toutes les critiques de 'Il faut savoir perdre de vue le rivage' sur Babelio : https://www.babelio.com/livres/Machot-Il-faut-savoir-perdre-de-vue-le-rivage/1207423
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