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Critique de gill
L'intrigue, la tromperie, l'imitation et le déguisement sont toute la vie du capitaine de vaisseau James Jensen. Ce soir, il n'est qu'un marin simple et bourru. La lueur des étoiles scintille sur le galon doré de ses pattes d'épaules.
Il a convoqué le capitaine Keith Mallory pour lui confier une mission.
Douze cents soldats britanniques, bloqués sur l'île de Khéros, seront morts, blessés ou prisonniers d'ici la semaine suivante s'ils ne sont pas évacués avant cela.
Et pour rendre possible cette évacuation, il faut réduire au silence les deux canons rayés de 228 mm qui couvrent les abords des deux détroits envisageables.
Tous les moyens possibles ont été tentés : le "Sybaris croiseur de 10000 tonnes a coulé en 5 minutes et n'a laissé que 17 survivants, les commandos de la marine royale lancés dans une attaque amphibie de grande envergure ont été presque tous massacrés, des hommes du Service Spécial envoyés comme saboteurs ont simplement disparus, les attaques aériennes sont sans résultats car trop périlleuses.
La mission confiée à Mallory, et à son commando composé du caporal Miller, californien d'origine irlandaise, de l'enseigne de vaisseau Stevens, spécialisé en explosifs, de Casey Brown, sous officier télégraphiste et d'Andréa, lieutenant grec depuis longtemps sous les ordres du capitaine Mallory, est de, avec l'aide de la résistance grecque, pénétrer la forteresse imprenable de Navarone, puissamment défendue par une garnison mixte d'allemands et d'italiens et de faire sauter les deux formidables canons qui menacent le détroit de Maidos.....
Ce roman est, avec "H.M.S. Ulysses" et "Le dernier passage", sûrement un des meilleurs ouvrages d'Alistair MacLean. C'est un livre de guerre mais il y souffle un vent d'aventure qui le fait sortir du genre.
C'est un grand livre et l'adaptation cinématographique qui en a été faite, si grandiose qu'elle soit, n'occulte en rien l'éclat du roman et lui rend un bel hommage mérité.
Il a convoqué le capitaine Keith Mallory pour lui confier une mission.
Douze cents soldats britanniques, bloqués sur l'île de Khéros, seront morts, blessés ou prisonniers d'ici la semaine suivante s'ils ne sont pas évacués avant cela.
Et pour rendre possible cette évacuation, il faut réduire au silence les deux canons rayés de 228 mm qui couvrent les abords des deux détroits envisageables.
Tous les moyens possibles ont été tentés : le "Sybaris croiseur de 10000 tonnes a coulé en 5 minutes et n'a laissé que 17 survivants, les commandos de la marine royale lancés dans une attaque amphibie de grande envergure ont été presque tous massacrés, des hommes du Service Spécial envoyés comme saboteurs ont simplement disparus, les attaques aériennes sont sans résultats car trop périlleuses.
La mission confiée à Mallory, et à son commando composé du caporal Miller, californien d'origine irlandaise, de l'enseigne de vaisseau Stevens, spécialisé en explosifs, de Casey Brown, sous officier télégraphiste et d'Andréa, lieutenant grec depuis longtemps sous les ordres du capitaine Mallory, est de, avec l'aide de la résistance grecque, pénétrer la forteresse imprenable de Navarone, puissamment défendue par une garnison mixte d'allemands et d'italiens et de faire sauter les deux formidables canons qui menacent le détroit de Maidos.....
Ce roman est, avec "H.M.S. Ulysses" et "Le dernier passage", sûrement un des meilleurs ouvrages d'Alistair MacLean. C'est un livre de guerre mais il y souffle un vent d'aventure qui le fait sortir du genre.
C'est un grand livre et l'adaptation cinématographique qui en a été faite, si grandiose qu'elle soit, n'occulte en rien l'éclat du roman et lui rend un bel hommage mérité.
