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Critique de bina


Clémenceau, le Tigre, le Père la Victoire a noué une amitié de cinquante ans avec le peintre impressionniste Claude Monet. C'est cet aspect de l'homme privé que l'auteur Philippe Madral, historien de formation, choisi de mettre en valeur.

Unité de lieu respecté, la pièce se passe dans la maison de Clémenceau en Vendée, à Saint Vincent sur jard, face à la mer.
Unité de temps: quelques jours, sur place, pour montrer la rencontre parfois virulente entre ces deux hommes.

L'intrigue porte sur un point précis qui met à mal leur amitié. Monet s'était engagé, avec l'aide et l'influence de Clémenceau, à donner ses Nymphéas à la France, au musée de l'Orangerie.
Entre saute d'humeur et colère homérique, nous voyons à l'oeuvre le sens de l'honneur, l'honnêteté, et surtout l'humour décapant de Clémenceau.

Quelle est la part de création et la part de vérité historique dans ces échanges?
Sur une documentation historique riche, l'auteur a trouvé la liberté d'inventer ce dialogue , pour ne pas noyer le spectateur dans des "mots d'auteurs', mais en restant fidèle à ce qu'étaient ces deux personnages haut en couleur.
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