La mère enveloppe tout dans dans un amour inconditionnel. Pour elle, la question du bien ou du mal ne se pose pas.
Étonnant paradoxe, c'est en acceptant le mal, sous ses diverses modulations, que l'on peut trouver une certaine joie de vivre.
Il vaut mieux composer avec l'ombre plutôt que de la nier.
Le monde qui vient : Duo Michel Maffesoli et Louis Fouché