Avec ses peuples inconnus aux civilisations aussi élaborées que celle des conquérants, avec sa faune et sa flore étonnantes, le Nouveau Monde exerce, à la Renaissance, un attrait irrésistible. Ces hommes intrépides, ces aventuriers, s'ils ne songeaient qu'à faire fortune et à imposer la loi européenne, n'en étaient pas moins souvent des hommes cultivés, pétris de l'imaginaire des Anciens : non seulement croyants, mais croyants en l'extraordinaire.
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