Avis mitigé. Positif : l'explication de sa culpabilité de 70 années est bouleversante, éloge de
Manosque, belles rencontres avec
Giono, tendre sensibilité sur l'éveil de la sexualité et
de l'amour. Négatif : trop de descriptifs qui alourdissent et n'apportent rien au texte, répétitions.
Pierre Magnan, décédé en 2012, avait quitté l'école à 12 ans, et disait, je cite : ‘Quand je compare mes pauvres écrit à ceux de
Stendhal,
Saint-Simon ou
Proust, je suis au rez-de-chaussée quand ils sont au 20e étage.'
Je le mettrai, quant à moi, au 8ème étage.