« 360, rue des Degrés est un roman à rebondissements parce que nous rebondissons d'une sphère à une autre, depuis la lucarne de la gardienne.
Des bulles d'oxygène, de souffrance, d'air, d'imaginaire s'ouvrent pour nous, rien que pour nous. Si tout est fiction, qui sait si on ne se découvre pas au détour d'une porte, si on ne s'aperçoit pas dans un trou de serrure, si on ne se reconnaît pas au balcon ? Qui sait dans le fond si on n'est pas Ulrike, Aline, Chloé...
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