Cruelle télé

De prime abord, le nom de Raphaël Majan ne me disait rien, mais en ouvrant le livre, je suis tombée sur une phrase écrite sur la deuxième de couverture : « Un criminel moins soucieux des droits de la femme aurait violé avant de tuer » (extrait des carnet du commissaire Liberty). Et là, ça a fait « tilt », j'ai tout de suite repensé au commissaire Liberty Wallance, un des personnages les plus incongrus que j'ai pu rencontrer au cours de mes lectures.

Il y a très longtemps, j'ai lu L'auteur de polars et Vacances merveilleuses. Et ces deux romans ne m'avaient pas franchement convaincue à l'époque. J'ai donc eu un peu peur en démarrant Cruelle télé.

Je crois que cette série est trop délirante pour moi et pas assez approfondie pour que j'accroche. le style est un peu fou, quasiment surréaliste par moment, tout comme ce personnage de Liberty Wallance (oui, en effet, il y a une référence à L'homme qui tua Liberty Valance, l'excellent western de John Ford).

Mais si vous aimez l'absurde et être surpris par un personnage et une intrigue qui n'a rien d'habituel, vous pourriez tomber sous le charme de Liberty. Mais pour moi, le charme n'a pas opéré cette fois encore, je suis trop sérieuse sans doute…
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