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EAN : 9782210960213
48 pages
Magnard (10/11/2014)
3.63/5   241 notes
Résumé :
« La princesse Aurore grandira en beauté, en sagesse, aimée de tous ceux qui l'approcheront. Mais, avant que le soleil ne se couche sur son seizième anniversaire, elle se piquera le doigt à un fuseau... et elle mourra! »
La fée Maléfice, qui n'avait pas été invitée à célébrer la naissance d'Aurore, venait de se venger cruellement.
Le roi et la reine étaient anéantis. Les trois marraines de la petite princesse les regardaient tristement.
Soudain,... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (22) Voir plus Ajouter une critique
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Veuillez vous lever: la Cour !
Mesdames et messieurs, nous débutons aujourd'hui, au Château d'Ussé, le procès du Prince Charmant, accusé d'avoir embrassé la jeune Aurore, sans son consentement...
Elle était endormie et, fait accablant, mineure au moment des faits...

-Madame la procureure?
-Madame la présidente, mesdames et messieurs du jury. Il y a séduction et agression sexuelle sans consentement formel, abus de faiblesse sur mineure, car la jeune Aurore n'était pas réveillée au moment de l'acte, du baiser...
Sans parler de violation de domicile, de plus la robe de la jeune fille était retroussée! Pire, elle était toute décoiffée...

-La parole est à la défense !
-Le Prince Charmant parle d'une malédiction, envers une jeune fille, (même si elle n'a que 16 ans) et qu'il n'a fait que son devoir de Prince, son "Job". Car cela faisait 100 ans qu'elle l'attendait, Lui, son "Prince Charmant!"
-Objection votre honneur! La défense veut nous faire croire aux contes de fées !

-Voyez donc la jeune Aurore, comme ses yeux enamourés contemplent le Prince, son Prince! Il n'y a pas lieu, dans ce prétoire, de juger de l'attirance entre 2 jeunes gens... Sans l'intervention du Prince, cette jeune fille serait encore endormie et prisonnière d'un sort.
Et justement, qui a porté plainte? Pas Aurore, mais une fée, c'est encore et toujours de la jalousie! Maléfique qui n'a pas réussi à empêcher la réunion de ces deux êtres que le Destin et l'Amour ont ...

-Réservez vos effets de manche, maître. Cependant, ce Prince Charmant a déjà sévi, il me semble, auprès d'autres princesses!
Une Blanche...

- Votre honneur! Une oie blanche, cette Blanche Neige, mesdames et messieurs. Enfin, écoutez donc ce que Blanche Neige et les autres filles chantaient:
"Un jour, mon Prince viendra..."

- Justement, nous parlons de cela! Ce sort, cette charge mentale qu'on jette sur les jeunes filles en leur faisant croire, qu'elle doivent se marier (avec un Prince Charmant ou n'importe qui, du moment qu'elles se marient...)

-Enfin, le Prince Charmant reconnaît les faits et il est prêt à consentir au mariage (pour une fois). Pourquoi ce procès ? Mon client risque d'être transformé en Crapaud, à perpétuité, en cas de condamnation...

Pourquoi ne pas donner la parole à Aurore?
Écoutez la, elle chante:
- ❤️"Mon amour, je t'ai vu au beau milieu d'un rêve ! Mon amour, un si doux rêve est un présage d'amour 💞. La la la"

Et vous mesdames, messieurs du jury, quel est votre verdict ? le Prince est-il coupable de détournement de mineure, entre autres ?
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La légende veut que ce soit en séjournant au Château d'Ussé que Charles Perrault ait eu l'inspiration d'écrire La Belle Au Bois Dormant. Peut-être n'est-ce là qu'un conte à dormir debout même pas auprès d'un bois, peu importe. Ceci continue de générer quelques substantiels bénéfices sur place au château et les petites filles, peu soucieuses en réalité des vérités historiques, y trouvent tout à fait leur compte.
J'ai eu l'occasion de le tester avec la mienne lors du circuit de ronde où tout y est clairement aménagé dans l'esprit Disney avec même la musique du film (non, non, pas celle de Tchaïkovski, celle de Disney, car il faut la VRAIE musique que les petites filles mondialisées connaissent).
Malgré tout ce que ma fibre résolument hostile à toute forme de mercantilisme culturel en pense, force est de constater que les enfants adorent, que le château est effectivement propice au débridement de nos songeries moyenâgeuses et que le conte de Perrault, en lui-même, présente quelque intérêt.
C'est ce dernier point qu'il convient de développer ici. Tout d'abord, il s'agit du conte qui ouvrait le recueil dans lequel il figurait originellement et qui était le plus long avec le Petit Poucet, qui lui, clôturait l'ouvrage.
Ce n'est donc probablement pas totalement un hasard s'il occupe cette position. C'est également le conte où l'on entend le plus clairement, au détour de quelques remarques apparemment anodines, les quelques échos de la pensée propre de l'auteur, notamment sur les gardes suisses et leur penchant avéré pour l'alcool, les effets de mode vestimentaire, etc.
C'est aussi l'un des contes dont la valeur symbolique est la plus facile à déchiffrer (quoiqu'il faille toujours se méfier de ce qui a l'air facile).
On nous parle d'une jeune fille qui, malgré ses atours, doit savoir se montrer patiente afin de rencontrer celui qui lui conviendra. (C'est la partie « Disney » du conte, reprise sous forme gnan-gnan par les frères Grimm.)
On nous dit également que la jeune mariée devra apprendre à se méfier de sa belle-mère, qui restera, tant qu'elle vivra, une rivale potentielle. (C'est la partie qui est totalement éludée du conte dans le dessin animé et dont les frères Grimm ont remixé les ingrédients pour en faire Blanche-Neige.)
Donc, derrière ces monceaux de présages et de féeries, il y a des réflexions, somme toute, très terre-à-terre sur les combinaisons du mariage et les réjouissances à en attendre dans la belle-famille. Ces avertissements et mises en garde seront renforcés dans Cendrillon où l'on expliquera, au surplus, qu'il faut également se méfier de sa propre famille, et dans Barbe-bleue et le Petit Chaperon Rouge où l'on s'appesantira davantage sur les qualités possibles du mari. Tout un programme et un véritable conte de fées pour nous mesdames...
En tout les cas, une version assez plaisante à privilégier en priorité par rapport à celle des frères Grimm qui, selon moi, ne l'égale pas, mais ce n'est là encore que mon avis, c'est-à-dire, bien peu de choses.
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Le comble du romantisme est à mon avis le bisou du jeune prince qui réveilla Aurore ou Thalie de son sommeil de cent ans.
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Critique littéraire de Gwenaëlle



Charles Perrault est né le 12 janvier 1628 à Paris. Il y est également mort soixante-quinze ans après, le 16 mai 1703. Perrault est un des grands hommes de lettres français et auteurs du XVIIème siècle. Il a publié La Belle au Bois Dormant en 1697, dans Les Contes de ma mère l'Oye.

La Belle au Bois dormant raconte l'histoire d'un roi et d'une reine qui essayaient désespérément d'avoir un enfant. Un beau jour, la reine finit par avoir une petite fille et il y eut une grande fête.
Pour l'occasion, sept fées furent invitées pour que chacune fasse un don à la princesse. Pour les accueillir sept beaux couverts avec un étui en or furent prévus pour le festin royal. L'assemblée allait passer à table quand une vieille fée apparut. Personne n'avait songé à l'inviter, car elle n'était pas sortie depuis plus de cinquante ans et on la pensait morte. La vieille fée reçue elle aussi un couvert, mais il n'y avait plus d'étuis d'or. Se sentant méprisée, elle grommela assez fort pour se faire entendre d'une des jeunes fées présentes. Présageant un mauvais coup, cette dernière se cacha afin d'être la dernière à pouvoir faire un don à la princesse.
La petite princesse fut comblée par les voeux. La première fée lui donna la beauté, la seconde la finesse d'esprit, et la troisième, une grâce admirable. Quant à la quatrième et la cinquième fée, elles lui donnèrent respectivement le don de chanter comme un rossignol et de pouvoir jouer à merveille tous les instruments. Vient alors le tour de la vieille fée. Celle-ci annonça que la princesse se percerait le doigt avec un fuseau et qu'elle en mourrait. Sortant de sa cachette, la dernière fée dont la puissance n'était pas aussi grande que celle de son aînée, s'évertua à conjurer le sort. Elle déclara que la princesse ne mourra pas, mais qu'elle sera endormie pendant 100 ans, et qu'un prince viendrait la réveiller.
Dès lors, le roi interdit l'utilisation des fuseaux dans tout le royaume. Les années passèrent. La princesse eut 16 ans et en se promenant, elle trouva en haut d'un donjon une vieille femme qui filait au fuseau. Cette vieille n'avait jamais entendu parler de l'interdiction du roi. Elle céda à la requête de la princesse de la laisser filer. À peine la princesse toucha l'objet, qu'elle s'endormit. Affligé, le roi la fit installer dans le plus beau lit du château. Prévenue, la jeune fée qui avait réussi à contrecarrer le sort se rendit au château et y endormit tout le monde. Des arbres, des ronces et des épines s'élevèrent tout autour du château jusqu'à le recouvrir totalement empêchant quiconque d'y entrer.
Un siècle passa. le fils d'un roi qui était parti à la chasse aperçut le sommet des tours du château derrière ce qui semblait être une forêt touffue. Il demanda ce que c'était et reçut différentes réponses. Pour certains, c'était un repaire de sorciers, pour d'autres, c'était le domicile d'un ogre qui était le seul à pouvoir s'y rendre. Un vieux paysan lui confia qu'il avait appris de son père qu'il s'agissait du château de la plus belle princesse du monde, qu'elle y dormait pendant 100 ans et que seul un prince pouvait la réveiller. Plein d'entrain et de bravoure le prince décida de tenter sa chance. Dès qu'il s'approcha des bois, ceux-ci s'écartèrent comme par magie pour se refermer aussitôt derrière lui. le prince traversa le château en rencontrant partout des humains et des animaux endormis. Il arriva enfin dans la chambre de la princesse et eut le souffle coupé devant tant de beauté. Il se mit à genoux auprès d'elle et, ... la princesse s'éveilla ! Ce fut la fin de l'enchantement. Tous les habitants du royaume se réveillèrent et tout repris vie.
Des festivités eurent lieu et le prince et la princesse furent mariés le soir même. le lendemain, le prince rentra chez lui, mais préféra ne rien dire. Deux ans passèrent et la princesse mit naissance à une petite fille du nom d'Aurore et à un petit garçon appelé Jour. Bien que la reine, la mère du prince, chercha plusieurs fois à deviner son secret, ce dernier se méfiait, car elle était issue d'une race ogresse.
Toutefois, à la mort de son père, le prince - devenu roi - décida de révéler son mariage et fit venir la princesse et ses enfants. Un jour, il partit à la guerre et la reine-mère ne tarda pas à demander à son maître d'hôtel de cuisiner la petite Aurore pour son dîner. le pauvre homme ne pouvait s'y résoudre. Il cacha la princesse chez lui et tua un petit agneau qu'il servit à la reine qui n'y vit que du feu. Plus tard, elle demanda à manger le petit Jour et elle reçut plutôt un petit chevreau tendre. La reine-mère ne s'arrêta pas là ! Elle voulut manger la jeune reine et savoura à la place, une biche bien cuisinée.
Tout alla bien jusqu'à ce qu'un jour, en promenade, la reine-mère entendit les voix de la jeune reine et de ses enfants. Folle de rage, elle fit venir une grande cuve remplie de serpents pour les y jeter tous, avec le maître d'hôtel et sa maisonnée. Ils en étaient là quand le roi fit soudain son entrée. Enragée, la reine-mère se jeta elle-même dans la cuve et fut dévorée. le roi vécu des jours heureux avec sa belle femme et ses deux enfants.

L'oeuvre La Belle au Bois Dormant a une portée morale. En effet, l'auteur, Charles Perrault, met en valeur l'envie d'une femme de se marier vite et jeune. La Belle au Bois Dormant en est un bon exemple car la princesse, ici, doit attendre un siècle avant de pouvoir rencontrer son prince et donc de se marier.
le conte a également une portée sociale puisqu'il est destiné à la haute bourgeoisie. Il fait référence à toutes les qualités et les talents que les aristocrates doivent posséder (ici, ce sont les dons faits par les fées à la princesse à son baptême tels que le chant, la musique, la grâce, l'intelligence,….)

le livre m'a vraiment beaucoup plu. A vrai dire, j'ai connu La Belle au bois Dormant grâce à la version de Walt Disney. Mais je trouve très intéressant de découvrir les versions précédentes car même si au fond cela reste le même conte que l'on relit encore et encore, les petits détails qui varient sont importants puisqu'au fond, cela peut changer décisivement le cours d'une histoire. le personnage de la reine-mère m'a particulièrement plu car je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit descendante d'une lignée d'ogres. Cela m'a en effet surprise car il est vraiment peu commun qu'une personne venant d'une lignée comme celle-ci devienne une aristocrate.

S'il y a bien un passage du conte qui m'a particulièrement plu, c'est à la fin du récit : en effet, pendant que le roi est parti à la guerre, la reine est seule avec ses deux enfants et la reine-mère. Seulement, la reine-mère demande à son maître d'hôtel de tuer les deux enfants puis la reine afin de les manger. Mais ne pouvant s'y résoudre, il tua à la place du gibier pour la reine-mère. Sauf que celle-ci ne se rend pas compte qu'elle a été trompée. Son plat a eu le goût qu'elle voulait qu'il ait.
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Après avoir été émerveillé par toutes les adaptations tirées de ce fabuleux conte, quel plus grand plaisir que j'ai eu en relisant sa première version de Charles Perrault. Délaissant tout attrait au beau prince qui vient délivrer la belle princesse emprisonner et aux fées capables d'assujettir le destin de l'homme par leur volonté ou leurs voeux, ce conte est aussi une véritable école de la patience, le bon résultat vient parfois au tout dernier essai, comme pour atteindre la lumière, il faut passer par les ténèbres...
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Un Prince jeune et amoureux est toujours vaillant. Il entra dans une grande avant-cour où tout ce qu'il vit d'abord était capable de le glacer de crainte : c'était un silence affreux, l'image de la mort s'y présentait partout, et ce n'était que des corps étendus d'hommes et d'animaux, qui paraissaient morts. Il reconnut pourtant bien au nez bourgeonné et à la face vermeille des Suisses, qu'ils n'étaient qu'endormis, et leurs tasses où il y avait encore quelques gouttes de vin montraient assez qu'ils s'étaient endormis en buvant.
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Après les cérémonies du Baptême toute la compagnie revint au Palais du Roi, où il y avait un grand festin pour les Fées. On mit devant chacune d'elles un couvert magnifique, avec un étui d'or massif, où il y avait une cuiller, une fourchette, et un couteau de fin or, garni de diamants et de rubis. Mais comme chacun prenait sa place à table, on vit entrer une vieille Fée qu'on n'avait point prié parce qu'il y avait plus de cinquante ans qu'elle n'était sortie d'une Tour et qu'on la croyait morte, ou enchantée. Le Roi lui fit donner un couvert, mais il n'y eut pas moyen de lui donner un étui d'or massif, comme aux autres, parce que l'on n'en avait fait faire que sept pour les sept Fées. La vieille crut qu'on la méprisait, et grommela quelques menaces entre ses dents.
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Il était une fois un roi et une reine qui étaient si fâchés de n’avoir point d’enfants, si fâchés qu’on ne saurait dire. Ils allèrent à toutes les eaux du monde : vœux, pèlerinages, menues dévotions, tout fut mis en œuvre, et rien n’y faisait. Enfin pourtant la reine devint grosse et accoucha d’une fille. On fit un beau baptême ; on donna pour marraines, à la petite princesse, toutes les fées qu’on pût trouver dans le pays (il s’en trouva sept), afin que, chacune d’elles lui faisant un don, comme c’était la coutume des fées en ce temps-là, la princesse eût, par ce moyen, toutes les perfections imaginables.
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Le Prince aida à la Princesse à se lever ; elle était tout habillée et fort magnifiquement ; mais il se garda bien de lui dire qu'elle était habillée comme ma mère-grand, et qu'elle avait un collet monté ; elle n'en était pas moins belle.
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« La princesse Aurore grandira en beauté, en sagesse, aimée de tous ceux qui l'approcheront. Mais, avant que le soleil ne se couche sur son seizième anniversaire, elle se piquera le doigt à un fuseau... et elle mourra! »
La fée Maléfice, qui n'avait pas été invitée à célébrer la naissance d'Aurore, venait de se venger cruellement.
Le roi et la reine étaient anéantis. Les trois marraines de la petite princesse les regardaient tristement.
Soudain, l'une d'elles s'écria :
« Ne vous désolez pas! Gardez espoir! Je n'ai pas encore exprimé mon voeu! »
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Vidéo de Charles Perrault
Ouvrir un livre de contes commence toujours par un amusement. On se réfugie sous sa couette à la venue d'un ogre menaçant, on fait de longues promenades dans des bois inquiétants, on est subjugués par l'éclat d'une baguette magique, mais aussi invités à de somptueuses fêtes… tout semble alors pensé pour notre distraction. Il arrive pourtant que l'aventure aille un peu plus loin et que l'on en tire quelques morales qui nous seront bien utiles, tout au long de la vie…
Conte de Charles Perrault, lu par Julia Boutteville. Ce texte fait partie des Histoires ou Contes du temps passé également connus sous le nom des Contes de ma mère l'Oye, publiés en 1697.
"Les Contes scintillants, histoires de bijoux", une série originale de la Bibliothèque Nationale de France, en partenariat avec l'École des Arts Joailliers, soutenue par van Cleef & Arpels. Coordination scientifique : Charline Coupeau Coordination éditoriale : Constance Esposito Réalisation, et générique original : David Federmann Aide à la réalisation : Benjamin Orgeret Illustrations © Artwork Elisa Seitzinger
Pour aller plus loin, rendez-vous sur le site des Essentiels de la BnF : https://c.bnf.fr/TRC
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Les Contes de Perrault : Morales

La curiosité malgré tous ses attraits, Coûte souvent bien des regrets ; On en voit tous les jours mille exemples paraître. C'est, n'en déplaise au sexe, un plaisir bien léger ; Dès qu'on le prend il cesse d'être, Et toujours il coûte trop cher.

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