Est-ce pour des raisons morale, autant qu'esthétiques, que j'aime ces nouvelles ? J'en conviens, et je n'en suis pas gêné. En parlant des Misérables de Victor Hugo comme d'un livre de charité, Baudelaire ne le diminuait pas. Permettez que je parle ainsi du livre d'André Major qui, à une hauteur moindre assurément, au sein d'un désarroi qui est la marque de la sensibilité moderne, fait entendre dans la plupart de ses textes la très humble voix de la misère et de l'es...
>Voir plus