Fallait-il qu'elle soit prophétique, gênante parce que trop belle et aimée des Afghans cette voix de
Sayd Bahodine Majrouh pour que deux assassins soient mandés pour la faire taire un soir où il a ouvert sa porte. Mais le nom du poète reste connu et ses textes circulent alors que les assassins tombent dans l'oubli.
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